Livie

profit de la paix, au profit de la société. Féminisme : v. 1210 Essayez sur Cinna ce que peut la clémence. C’est Livie, la femme d’Auguste qui inspire cette action à son mari, elle n’a pas une grande place dans la pièce, mais cette place est extrêmement importante. Auguste a souvent puni vainement des conspirateurs et cela n’a servi à rien, les conspirations continuent. Livie n’est pas seulement plus pratique mais de plus elle a pensé à la paix qui règnera. Sources : texte de http://Abu.cnam

ce dilemme, Auguste reçoit sa femme Livie qui lui conseille de changer de politique et de pardonner. Émilie a appris que Cinna a été appelé chez Auguste, elle doute que le complot est découvert. Maxime vient lui proposer de fuir et s’offre à exécuter plus tard sa vengeance, mais Émilie décide d’aller trouver Auguste. Auguste rappelle à Cinna tout ce qu’il a fait pour lui. Il lui demande enfin, de décider son sort. Cinna le brave demande la mort, mais Livie introduit Émilie : celle-ci explique

Octave-César Auguste, Empereur de Rome. Livie, Impératrice. Cinna, fils d'une fille de Pompée, chef de la conjuration contre Auguste. Maxime, Autre Chef de la conjuration. Émilie, fille de C. Toranius, tuteur d'Auguste, et proscrit par lui durant le Triumvirat. Fulvie, Confidente d'Émilie. Polyclète, Affranchi d'Auguste. Évandre, Affranchi de Cinna. Euphorbe, Affranchi de Maxime. Résumé[modifier] Acte I[modifier] L’empereur Auguste a jadis fait exécuter Toranius, le père de la jeune

rivière, n'ayant pas voulu survivre au déshonneur. Dans un long monologue, Auguste s'interroge sur les décisions à prendre : vaut-il mieux punir Cinna, ou se tuer pour éviter que Cinna retire quelque gloire de son crime. L'empereur reçoit alors sa femme Livie, qui lui conseille de pardonner. Emilie comprend que le complot a été découvert et projette de se tuer, lorsque Maxime, qui n'est en fait pas mort, lui propose de s'enfuir avec lui. Mais Emilie préfère plutôt aller parler à Auguste. Du coup, Maxime

magnanimité, caractéristique principale qui anime le personnage d'Auguste. L'œuvre a pour titre complet: « Cinna, ou la clémence d'Auguste ». L'histoire se déroule à Rome, et les personnages de la pièce sont: Octave César Auguste, empereur de Rome; Livie, impératrice; Cinna, fils d'une fille de Pompée et chef de la conjuration contre Auguste; Maxime, autre Chef de la conjuration; Émilie, fille de C. Toranius, tuteur d'Auguste, et proscrit par lui durant le triumvirat; Fulvie, confidente d'Émilie; Polyclète

contre Auguste, amoureux d’Emilie. Emilie : fille de Caius Toranius, amoureuse de Cinna. Maxime : Autre chef du complot. Fulvie : Confidente d’Emilie. Euphorbe : Affranchi de Maxime. Polyclète : Affranchi d’Auguste. Evandre : Affranchi de Cinna. Livie : Impératrice. Résumé Acte 1 : Emilie exprime son désir de venger son père (Caius Toranius) car l’empereur Auguste a proscrit et fait assassiner celui-ci. L’empereur considère Emilie comme sa fille adoptive. Malgré cela, elle prie son amant

de la grâce, Corneille ne cesse de se demander comment mettre fin à la spirale de la violence. Sa réponse est une apologie du pouvoir fort, dont la magnanimité est précisément l'un des attributs. Octave-César Auguste, Empereur de Rome. Livie, Impératrice. Cinna, fils d'une fille de Pompée, chef de la conjuration contre Auguste. Maxime, Autre Chef de la conjuration. Émilie, fille de C. Toranius, tuteur d'Auguste, et proscrit par lui durant le Triumvirat. Fulvie, Confidente

rend mes amis. » Auguste éprouve un dilemme, il hésite entre rendre ou conserver le pouvoir, punir ou pardonner. Finalement, sous les conseils de son épouse Livie, Auguste fait preuve de clémence, idéal de grandeur humaine. 2. Un héros divinisé par son action Son action est grandiose et couronnée par les dieux via la tirade de Livie « ce n’est pas tout, Seigneur, une céleste flamme d’un rayon prophétique illumine mon âme » « après cette action vous n’avez rien à craindre » «Rome vous prépare

déterminé, selon Maxime, par la géographie (v. 541-544, véritable « théorie des climats » avant Montesquieu), d’Antoine et d’Attale (v. 993-998), encore de Brutus (v. 829-832 et 833-836) et des nombreuses conjurations que la sévérité d’Auguste a, selon Livie, suscitées (v. 1202-1206). 38. Cicéron, De or., II, 9. Document téléchargé depuis www.cairn.info - - - 79.85.71.165 - 17/11/2011 19h25. © P.U.F. Marqué par un mouvement qui va, cette fois, du particulier au général, ce raisonnement par induction

de Lyon et de Vienne, très tôt), puis des Espagnols, des Africains et même des Orientaux. REGNE D'AUGUSTE Auguste règne de 27 av. J.-C. à 14 ap. J.-C. Il meurt à 76 ans, et laisse son trône à Tibère qui est son fils adoptif de sa troisième femme (Livie). AUGUSTE REFORME DE L'ARMEE Auguste réforme l’armée, qui devient définitivement une armée de métier. La charte militaire (condito militiae) lui donne son statut légal : service de 12 ans pour les prétoriens, de 16 ans pour les légionnaires (porté