LM

sépare du S-IVB. Après l’injection trans-lunaire, la trajectoire était presque parfaite et ne nécessita qu’une légère correction. Lors du voyage trans-lunaire, il y eu une transmission télévision pendant laquelle on pouvait voir l’intérieur du CM et du LM ainsi que de la Terre. On y voyait aussi l’équipage effectuant des tests ou des contrôles. L’orbite lunaire L’insertion insertion en orbite lunaire commença à TM 075:49:50.37, le 19 juillet à 17h27. A une hauteur de 160,5 km au dessus de la Lune

des méthodes de construction) (3 points) Les tracés seront soignés, les sommets nommés et vous laisserez tous les traits de construction. 1/ Construire un triangle ABC tel que AB = 6 cm, AC = 13 cm et BC = 9 cm. 2/ Construire un triangle LMN tel que LM = 8 cm, MN = 5 cm et LMN = 100°. 3/ Construire un triangle PQR tel que PQ = 3 cm, PQR = 30° et QPR = 120°. 3) Peut-on construire un triangle avec pour longueurs des côtés 6 cm, 12 cm et 5,8 cm ? (Justifier votre réponse sur votre copie double). Exercice

et les restrictions pour respecter la réglementation. |Local. |Surface m² |Flux lumineux de surface au sol|Salle et local concerné dans ERP | | | |(lm/m²) | | | | | |OUI |NON | |Dégagement |20

----.---h h P courbe IS courbe LM Le point d'intersection: (R0, r0), donne les valeurs de R et r à l'équilibre. L'observation d'un tel graphique permet par exemple d'examiner l'incidence d'une politique fiscale (action sur G, qui déplace la courbe IS), ou d'une politique monétaire (action sur M, qui déplace LM). (Les dénominations: IS et LM, sont anglo-saxonnes: IS pour Investisment-Saving, et LM pour Liquidity-Money.) r G croît courbe IS r0 M croît courbe LM R0 Modèle dynamique R On

écoles ont répondu à ces impératifs. ¤ L'Ecole de la Synthèse: Etablit des modèles pour aider les gouvernements, et en particulier deux modèles: -> Le Schéma IS-LM: Pour agir sur le revenu national, il faut tenir compte d'une variable monétaire, le taux d'intérêt. Taux d'intérêt est pour Hicks la variable d'equilibre. la courbe LM représente le marché monétaire (L = Demande de monnaie, M = offre de monnaie), qui aumente avec le RN. Si l'offre de monnaie par la BC est fixe, le taux d'intérêt augmente

qu’il produit -Analyse de l’équilibre macroéconomique : Fondée sur l’analyse proposée par Keynes et développée par Hicks et Hansen dans le cadre du modèle IS/LM -Objectifs du chapitre : Comprendre au travers du modèle IS/LM la manière dont se détermine la production et le taux d’intérêt dans le cours terme. 1)le modèle IS/LM #L’équilibre sur le marché des biens (IS). Si l’on note Q la production totale vendue(ou l’offre vendue) par les entreprises et Z la demande globale des agents ;

modèle IS-LM IS : la partie réelle : le marché de biens et service, 2 variables : r taux d’intérêt  (concrètement r : le taux d’intérêt réel à ne pas confondre avec i taux d’intérêt nominal) Y le revenu (vu dans l’optique PIB, production du richesse) LM : la partie monétaire : demande – offre de monnaie  qui va trouver l’équilibre sur un graphique qui va lui aussi utiliser les deux variables r et Y. Quand le taux d’intérêt augmente, l’investissement diminue du côté de IS, du côté de LM il y a

8. Unités électrochimiques conductivité siemens par mètre σ conductivité molaire siemens×m² par mole λ kg·m-3 (ou kg/m3) m3·kg-1 (ou m3/kg) N J W Pa N·m-1 (N/m) N·m A C V Ω S -1 V·m (V/m) T F H K δ cd lm cd·m-² (cd/m²) lx = lm·m-2 (lm/m²) Bq Gy mol mol·m-3 (mol/m3) S·m-1 (S/m) S·m2·mol-1 Compléments et unités usuelles (hors système) unité de masse kilogramme C'est bien le kilogramme (kg), et non le gramme, qui est choisi pour unité du système international

monétaires, expansives ou restrictives, permettent théoriquement de résoudre des problèmes macroéconomiques d’un pays. Mais ces 2 types de politiques peuvent aussi avoir des effets indésirables et sont donc critiqués. Nous utiliserons le modèle IS-LM pour synthétiser les conséquences possibles des différentes politiques monétaires. Si une politique monétaire permet d’améliorer la conjoncture macroéconomique d’un pays, aucune ne peut être considérée comme une solution parfaite. A/Les conséquences

correspond à la puissance totale de rayonnement d’une source lumineuse, fournie dans toutes les directions. Il s’exprime en lumen (lm). Un lumen vaut un candela par stéradian. Le flux lumineux exprime donc la notion de "débit" de lumière. Surface Rayon Exemples : Lampe H4 en position route Lampe D2S LED haute luminosité 1600 lm 3200 lm 240 à 350 lm Un stéradian (sr) est un angle solide qui correspond à une portion de sphère d'un rayon de 1 mètre et de surface de 1 m²