Lobe frontal

collaborateurs ont étudié les processus attentionnels dans la détection visuelle. Ils ont mis en évidence un réseau attentionnel dans la partie postérieure du cerveau, qui est mobilisé dans la détection visuelle. Une autre zone du cerveau, dans le lobe frontal, est mobilisé dans les taches attentionnelles de traitement sémantique des mots : ce réseau appelé réseau attentionnel antérieur est activé lorsqu’on présente à un sujet l’épreuve de Stroop car la signification des mots interfère avec la couleur

à même de reconnaître les concepts qui forment l’objet. L’apraxie est l’impossibilité pour la personne de programmer, de planifier les gestes nécessaires. g) Fonctions exécutives Les lobes frontaux coordonnent l’ensemble des informations traitées par les autres parties du cerveau. En cas de lésions frontales, le blessé sera atteint de limitations au niveau de la logique, du raisonnement et de la planification. h) Langage L’ « aphasie » est l’absence de langage, la « dysphasie » est un langage

par la cognition sont interactivement connectées avec celles qui sont associées à nos émotions et nos affects, l'influence de ces dernières sur les premières pouvant aller de l'excitation à l'inhibition, comme cela été montré dans le cas des lobes frontaux (Favre, 1993b). En acceptant l'idée qu'émotion et cognition sont fonctionnellement indissociables chez un être humain, il devient possible d'examiner le type de relation « affective » que chacun instaure avec ses propres connaissances. Percevoir

tenu des circuits entre cette partie et la région limbique, une émotion forte peut saboter la capacité du lobe préfrontal à entretenir la mémoire active. C'est pourquoi, les perturbations affectives durables portent atteintes aux facultés intellectuelle et empêche d'apprendre convenablement. Antonio Damasio, neurologue, a étudié comment est affecté le comportement des patients dont le circuit lobe préfrontal-amygdale a été endommagé. Bien que leurs capacités intellectuelles et cognitives ne soient pas

du cerveau. a 2.2.2 Le cerveau : si`ge des traitements e D’un point de vue g´n´ral, le cerveau est compos´ de deux h´misph`res, gauche et droit, e e e e e ou de quatre lobes externes : le lobe frontal (front), le lobe pari´tal (sommet du crˆne), le lobe e a occipital (arri`re du crˆne) et le lobe temporal (des tempes vers le dessus des oreilles). e a 41 Chapitre 2. De l’intelligence cortex thalamus hypothalamus amygdale hippocampe tronc cérébral moëlle spinale cervelet Fig. 2

cause de leur poids et charrient les débris arrachés sur leur passage. Certains d'entre eux sont rejetés sur les côtés et forment les moraines latérales ; d'autres sont poussés par le front qui avance et constituent les moraines terminales ( ou frontales ). Lorsque le glacier fond – et par conséquent recule – les rocs détachés restent là où ils se trouvaient lors de sa plus grande expansion. Agassiz admit que les blocs arrondis ou anguleux du Jura y avaient été apportés par la glace venue des

s’intéresse par exemple au noyau accumbens, un des centres du plaisir ; à l’hippocampe, un des centres de la mémoire ; au cortex frontal, un des centres de décision ; au système visuel, un des lieux de sélection des messages. Si le cerveau était un cube, le lobe frontal serait la face avant, le lobe pariétal la face arrière, les lobes frontaux les faces latérales et le lobe limbique la face inférieure. © Groupe Eyrolles Les neurosciences pour percer les secrets de l’intelligence 35 1. Cortex

par la division de la trachée. Chacune des deux bronches, droite et gauche, s'enfonce dans leur poumon respectif. Une fois entrées dans les poumons, les deux bronches principales se subdivisent en bronches secondaires (ou lobaires), une pour chaque lobe pulmonaire. Les bronches secondaires se subdivisent à leur tour en bronches tertiaires (segmentaires), et ainsi de suite, les ramifications étant de plus en plus petites. On appelle bronchioles les conduits mesurant moins de 1 mm de diamètre.. Toutes

2.2.2.1 Définition : En effet, contrairement à la maladie d’Alzheimer qui touche la quasi-totalité du cerveau, la démence fronto-temporale touche les lobes frontaux et temporaux. Dans la démence fronto-temporale, les cellules nerveuses situées dans ces régions cérébrales sont endommagées et finissent par disparaître. La démence frontale est une maladie lente, évolutive mais malheureusement irréversible. Elle se manifeste principalement par des troubles du comportement, du langage et des émotions

d’avantage de stimulation pour ceux qui aiment le risque). On constate que la plupart des personnes au fur et à mesure, piochent de plus en plus dans les avantageux à long terme : courbe normale d’apprentissage (au sens de norme). Sauf pour TC du lobe préfrontal, poly consommateurs de substances, cocaïnomanes, alcooliques, opiomanes, criminels violents, joueurs pathologiques, TOC et les adolescents. Ils n’arrivent pas à s’adapter à la situation en prenant les situations les moins risquées. Il