Lobe frontal

part le système glutamatergique peut agir sur le système dopaminergique, et d’autre part une fonction glutamatergique réduite a pu être associé à un faible niveau de performance à des tests qui nécessitent le fonctionnement de l’hippocampe et du lobe frontal, dont on sait également qu’ils sont impliqués dans la schizophrénie. Des essais cliniques ont aussi étayés cette théorie en montrant que des molécules qui sont des co-agonistes du complexe associé au récepteur NMDA sont efficaces pour réduire

blague et essaye d’en prédire l’issue alors il y a une activité électrique positive au sein du cerveau .On révèle la chute de l’histoire, mettons qu’elle est différente que celle attendue, l’activité électrique va s’inverser et devenir négative, le lobe frontal droit (cf. Extérieur du cerveau) va réinterpréter la situation et va envoyer l’information à l’aire motrice (cf. Extérieur du cerveau) qui va nous faire rire. La Colère Avant de pousser des cris, des hurlements, afficher un visage agressif

d'effectuer l'action, ils vont le faire. Il faut qu'ils soient stimuler par les autres. Ils n'arrivent plus à faire, à se stimuler par eux-mêmes : _ dysfonctionnement du lobe frontal : programmation de l'action, planifie, organise. _ perturbation des relations entre les noyaux gris centraux et le cortex frontal. II / Vigilance et états de conscience : A / Attention et vigilance : Conduites marquées par des niveaux d'activité différents. Il y a différents niveaux de vigilance

comme pénible et incontrôlable. Itzhak Fried, professeur de neurologie à l’école de médecine de Los Angeles a conduit ces expériences. Afin de localiser le foyer des crises d’une épileptique de 16 ans, plusieurs zones de l’aire corticale de son lobe frontal gauche ont été stimulées à l’aide d’électrodes. En certains points, l’envoi de faibles courants a entraîné un sourire, celui de courants plus forts à conduit à un fou rire sans mouvements ni paroles, accompagné, disait la jeune fille, d’une véritable

t’arrivait droit dans l’oeil. Tu as feint, plus tard, d’avoir eu peur, mais n’essaie pas de m’en faire accroire. Tu te moquais bien d’être éborgnée, ou d’avoir les quatre dents plantées dans la joue, l’arcade sourcilière percée et la fourchette dans le lobe frontal. Cela t’aurait plutôt fait plaisir. (La fille démantelée, p.170-171.) Jacqueline HARPMAN - 20 Anita poussait la délicatesse jusqu’à adresser quelques mots à Léopold, comme si elle n’était venue que pour lui parler. Même si elle était pleine

d'une atrophie corticale qui touche d'abord le lobe temporal interne et notamment l'hippocampe, régions importantes pour la mémoire. Les premiers symptômes consistent en des pertes de souvenir (amnésie) qui se manifestent initialement par des distractions mineures qui s'accentuent avec la progression de la maladie, tandis que les souvenirs plus anciens sont relativement préservés. L'atteinte neurologique s'étend par la suite aux cortex associatifs frontaux et temporo-pariétaux, se traduisant par des

dysfonctions au niveau du lobe frontal. Dans plusieurs études, des taux plus faibles de dopamine et de sérotonine ont été observés chez les enfants hyperactifs, comparativement aux enfants normaux. On émet l’hypothèse qu’une déficience sélective de la disponibilité de la dopamine pourrait être en jeu (c’est-à-dire que dans certaines régions du cerveau des taux plus faibles de dopamine seraient disponibles). Des indications claires suggèrent l’existence d’un déficit des lobes frontaux chez les personnes

l’activation du cortex pariétal postérieur pour l’attention visuelle, et du champ oculaire frontal, qui contrôle le mouvement des yeux Apres avoir traversé ces différentes aires corticales, les informations sont dirigées vers 2 grands ensembles qui se séparent. Tout d’abord, la voie dorsale qui se termine dans le lobe pariétale est impliquée dans la perception visuelle de l’espace. Ensuite la voie ventrale terminée dans le lobe temporale est essentielle dans la reconnaissance d’objets ou de personnes. Dans

tactiles L'asomatognosie Les stéréognosies 289 291 291 297 299 299 299 300 301 305 306 307 307 308 309 309 310 Chapitre 4. Les troubles psychiatriques des syndromes topographiques Article Article Article Article Article 1 2 3 4 5 - Le syndrome frontal Le syndrome temporal Le syndrome occipital Le syndrome pariétal Le syndrome du corps calleux Chapitre 5. Le syndrome confusionnel Article Article Article Article 1 2 34- Présentation Le syndrome psychique Le syndrome physique Les formes cliniques

partie du lobe temporale, à l’arrière de l’hémisphère, région crucial à la tâche de lecture. Ces anomalies s’appellent ectopies. Normalement, il y a migration de neurones à la surface du cerveau pour créer la couche cérébral appelé le cortex. Chez certaines personnes, sous l’effet de la testostérone, ces neurones migrent au mauvais endroit (c’est trop loin) ce qui créé des ectopies qui empêchent le bon fonctionnement de cette région. Une personne non dyslexique a un cerveau qui a dans le lobe temporal