Locarno

la presse En 1938, un juriste réputé, J. Barthélémy, publia dans Le Temps un article qui fit grande impression : « Conscience angoissée ». Il y démontrait méthodiquement que le traité de 1925 ne valait plus car il était l’accessoire du pacte de Locarno qui lui-même n’était plus en vigueur, et concluait ainsi que « la France n’est pas obligée de faire la guerre ». Un tel article, sérieusement présenté, avec des arguments objectifs, découragea certains opposants aux accords, et joua contre la Tchécoslovaquie

diplomatique Gustav Stresemann devient Ministre des affaires étrangères, le 30 novembre 1923. Avec ses actes diplomatiques il permet au Reich de vite regagner son statut de grande puissance mondiale. Le 16 octobre 1925,l'Allemagne signe les accords de Locarno avec la France, l'Angleterre et la Belgique. Ces accords visent à assurer la sécurité collective en Europe et fixer et les frontières de l'Allemagne. L'Allemagne doit renoncer à l'usage de la force pour remettre en cause ses frontières occidentales

Conseil vote aussi les sanctions contre les pays belliqueux comme l’embargo... b) Les succès de la SDN. Le ministre des affaires étrangères français, Aristide Briand incarne dans les années 20 l’esprit de Genève en signant le pacte de Locarno en 1925. Ce pacte reconnaît les frontières franco-allemandes. Briand permet aussi permet l’entrée de l’Allemagne dans la SDN. Enfin, les Accords Briand-Kellogg mettent la guerre hors la loi. Au départ la SDN arrive à régler de nombreuses crises

va former un gouvernement d’union national qui va réussir à stabiliser monétairement le pays. La France voulait faire payer à l’Allemagne les dettes  L’Allemagne n’a pas les ressources/moyens. Pour autant la France va occuper la « Roure ». Pacs LOCARNO/BRIAND KELLOGG qui a pour ambition d’introduire un nouvel ordre mondiale  transparence nationale En 1926  L’Allemagne est intégré dans la société des nations. Le partie communiste se développe au bord des périphériques dans les banlieues ouvrières

inter étatiques. Il n'autorisait la guerre qu'après le recours à des procédures et l'expiration d'un délai de 3 mois. Ainsi en son article 12 il est recommandé aux Etats de recourir à l'arbitrage ou à l'intervention du Conseil. - Les traités de Locarno (1923) : Ils excluent tout procédé de guerre entre l'Allemagne, la Belgique et la France - Le Pacte Briand - Kellog (1928) : Ce pacte, signé initialement par 15 Etats condamnait en son ait 1er « le recours à la G le règlement des différends

une position dominante dans les relations économiques internationales en Europe, tout en réussissant à éviter tout engagement politique, fidèles en cela à leur refus d’adhérer à la Société des Nations. Ils ne furent pas partie prenante du pacte de Locarno entre la France, l’Allemagne, le Royaume-Uni et l’Italie, qui garantissait les frontières occidentales de l’Allemagne, mais signèrent le pacte Briand-Kellogg sur le maintien du statu quo en Europe en 1928, signature qui n’impliquait d’ailleurs aucun

collective. Lors de la 5ème assemblée générale de la SDN, Aristite Briand (ministre français des affaires étrangères) soutient la ratification par la France d’un protocole sur l’arbitrage, la sécurité et le désarmement. Le 16 octobre 1925, traité de locarno ( Italie), A.Briand signe avec stresmann qui garantie les frontières avec la France, l’Allemagne et la Belgique et qui établie un pacte d’alliance mutuel. Ce traité permet d’intégrer l’Allemagne dans la SDN à partir de 1926. En 1929, Briand et Stresmann

la Ruhr a ternit la réputation française et divise l'opinion. * Conf de Londres été 1924 : Herriot s'engage à évacuer Ruhr mais n'obtient pas « la garantie britannique de la frontière franco-allemande ». (GB ≈ arbitre) * 1925 : traité de Locarno : Allemagne reconnaît la frontière avec France et la perte Alsace-Lorraine plus désarmement précoce rive gauche du Rhin (1930) * Pacte Briand-Kellogg : guerre hors-la-loi. * plus Adhésion Allemagne à SDN. L'Allemagne critique le traité Versailles

sept 1926). • Une politique qui est maintenant par la suite par Aristide Briand, ministre des affaires étrangères de 1925 à 1931, on le surnomme le « pèlerin de la paix ». Il a permis un rapprochement franco-allemand. Par exemple, lors du traité de Locarno en octobre 1925 : sont garantis de nouvelles frontières à l’Allemagne et est décidé la démilitarisation de la Rhénanie. • Cependant, il n’y a pas de véritables remises en cause des alliances défensives avec les pays de la petite entente, tels la Yougoslavie

démocratie s’étend, prospérité éco s’installe : l’heure est à la paix fondée sur la sécurité collective et le progrès. 1) Le temps des pactes (1925-1930) LA dynamique de paix repose sur le rapprochement franco-allemand permis par le pacte de Locarno d’octobre 1925. Ce pacte permet l’admission de l’All à la SDN en 1926. ⇨ Il n’y a plus de clivage vainqueurs/vaincus mais partenariats entre égaux. Pacte Briand-Kellog (1928) = nouvelle étape de la réconciliation internationale : le traité