Locomotive

Relation Jacques et la Lison La Locomotive, la Lison C’est l’engin ferroviaire sur lequel Jacques travaille avec Pecqueux. Bien que ce ne soit qu’un objet figurant dans le récit parmi tant d’autres, pour Jacques la Lison représente quelque chose de bien meilleur, de bien plus important. Examinons ainsi les trois aspects important de cet engin. Premièrement, la Lison est un outil de travail pour Jacques. C’est la locomotive qu’il conduit chaque jour, sur la ligne Le Havre – Paris, transportant

les nouvelles machines et méthodes mises au point. À partir de ce moment, l’économie se relance. La population a de nouveau un pouvoir d’achat ce qui entraine une demande chez les marchands et par la suite, une nouvelle création de leur part. La locomotive ainsi que la roue à aubes font leur entrée. Avec l’électricité, il est désormais possible de travailler jour et nuit. Avec la seconde révolution industrielle, le rendement se développe encore grâce à la mise en place du travail à la chaine (taylorisme)

explications? Relevez dans le texte toutes les évocations du travail du mécanicien. Evoque son expérience de « quatre ans » de conduite. L’une des tâches du mécanicien est de veiller à « la bonne vaporisation », il s’agit en effet à l’époque d’une locomotive à vapeur. Le texte contient un vocabulaire technique qui décrit ce mécanisme : « On prétendait que, si elle démarrait avec tant d’aisance, cela provenait de l’excellent bandage des roues, et surtout du réglage parfait des tiroirs », « qualité du

l’Europe. Gare Saint Lazare, Monet peint l’extérieur de la gare. Le pont de l’Europe est ancré dans le paysage parisien, reconnaissable à ses façades typiques. Cette oeuvre est révélatrice de la façon dont l’artiste aborde le motif de la gare. La locomotive est découpée par le cadrage et les quelques silhouettes présentes sont simplement esquissées par quelques taches de couleurs pâles. La présence des ouvriers est anecdotique aux yeux du peintre, qui ne cherche guère à faire oeuvre sociale ou réaliste

la Lison, une locomotive. Zola nous présente d’une façon réaliste la généralisation de la machine à vapeur au 19e siècle, qui entrainera un bouleversement dans l’essor industriel de la plupart des pays. Pour montrer que la personnification de la Lison est flagrante, nous verrons tout d’abord les caractéristiques humaines attribuée à la Lison, puis en second plan, la déchéance jusqu’à la mort de la locomotive démontré. Dans cet extrait, la comparaison entre la locomotive et un cheval se

recueilli et soigné par Séverine, la tue et l'on inculpe Cabuche, que des preuves mal interprétées semblent accuser. Lantier échappe à la justice, mais son chauffeur Pecqueux, dont il a séduit la maîtresse, se bat avec lui. Ils tombent tous deux de la locomotive qui entraîne le train vers la mort à une vitesse folle. On va vers la guerre (chap 11-12). Personnages clés : Roubaud : Au debut de l’œuvre il est presenté comme un homme modele et un mari amoureux de sa femme, il est impulsif et devient tres

du CMFTLF Organisation générale Politique qualité UP1 : maintenance du matériel à voyageurs………………………11 Environnement du travail Travaux de maintenance UP2 : maintenance du matériel moteur………………………………14 Environnement du travail Le démarrage de la locomotive Exemple de panne Fonctionnement de l’équipement électrique Procédure et opérations UP3 : tour en fosse……………………………………………………………. 17 Environnement du travail La machine HEGENSHEIDT Caractéristiques techniques générales Construction Programme d’intervention

traction d'un train peut être assurée par plusieurs locomotives. On dira qu'elles sont en « unité multiple » si la commande est assurée depuis un seul poste de conduite et en « double traction » si un conducteur est nécessaire par machine. Lorsque d'autres machines sont attelées au convoi mais ne sont pas en marche, il s'agit de locomotives en marchandise roulante (France) ou comme véhicule (Belgique), ou si le train ne comporte que des locomotives: d'un train de machines. La longueur totale peut atteindre

le monde. Dans l’extrait à l’étude d’un de ces voyages extraordinaires tiré du livre Le Tour du monde en quatre-vingt jours, montrez l’opposition entre les bêtes et la locomotive, et les réactions diverses que suscite cet obstacle chez les voyageurs. Cette analyse littéraire traitera d’abord du fait que les bêtes et la locomotive sont présentées comme étant ennemies et, ainsi que, la puissance du train est inférieure à celle des ruminants. Ensuite, certaines personnes abord train vont décider d’attendre

voir une personne s’avançant sur les rails. Deuxième plan : Une locomotive entre en gare .On peut apercevoir la gare et quelque personnes sur les quais. Au premier plan comme au deuxième la fumée est présente. Arrière-plan : Des pâtés de maisons et une locomotive sont aperçus entre des nuages de fumées. Le tableau donne une impression de profondeur grâce à la toiture, le changement de couleurs des fumées et l’espace entre la locomotive et le wagon. Monet utilise un point de vue frontal qui permet