Locomotive

du 28/02/1944 au 28/02/1946. Retourne au chemin de fer et est nommé ouvrier ajusteur (réparation des locomotives) en 1946 à l'âge de 20ans. Change de statut à 22ans et est chauffeur de locomotive (il charge la chaudière et c'est le mécanicien qui conduit). En 1947, il est nommé élève conducteur et conduisait les locomotives jusqu'en 1962, où il passe conducteur et apprend à conduire les locomotives aux gens du pays, pour qu'en contre-partie de ce service rendu il garde ce statut en France. Il se marie

Le voyageur s'il peut percevoir l'odeur du charbon qui brûle dans la locomotive aura plus de mal à reconnaître de l'eau qui bout autrement que dans son imaginaire. Le poème n'est ainsi qu'une suite d'impression faisant appel à tous les sens. L'introduction de l'odeur de l'eau qui bout marque le dérèglement des sens chez les voyageurs emportés dans cet univers inquiétant. On assiste à une sorte de personnalisation de la locomotive assimilée à une foule de géants hurlants et suant pour tirer les wagons

et on trouve leur argumentation dans la personnification de la locomotive, les images de la neige, les adverbes et les adjectif qui grossissent les dimensions et les contrastes de couleurs, en ce qui concerne l’ámplification de la realite dúne part et d’autre part, les phases de la lutte de la Lison contre son adversaire redoutable qu’est la neige et le manque d’ássistance du coté hommes. La personnification de la locomotive est un procede qui marque tout le roman et qui en fait une figure

affrontement entre la neige et la locomotive. Tout d'abord, la Lison est personnifiée. En effet, comparée à un animal, elle donne l'impression d'être animée de vie. Cela se constate notamment à travers le champ lexical du souffle qui lui est attribué, présent à travers tout le texte: "d'un petit souffle court" L7, "haleine éperdue" L21, "expirante" L30... Est ainsi conféré à la locomotive une sorte de respiration qui donne au lecteur l'illusion que la Lison est vivante. La locomotive est donc présentée comme

composé d'une (ou plusieurs) locomotive(s), de voitures dans le cas de trains de voyageurs ou bien de wagons. Dans le cas où la locomotive peut pousser la rame au lieu de la tirer, on dispose de voitures pilotes, dotées d'une cabine de conduite. • Les locomotives peuvent être de plusieurs types, selon leur source d'énergie. Au par avant, on trouvait des locomotives à vapeur, brûlant du charbon ou du mazout. Actuellement, on trouve surtout des locomotives diesel, mues par un moteur thermique

(1892-1955) est un violoniste et compositeur suisse qui a beaucoup habité Paris. Les sources d' inspiration d'Honegger reflètent le 20s: on y trouve en effet les sport (Rugby) les machines (il avait une passion pour les locomotive) Il s'agit d'un parcours musical à bord de la célèbre locomotive à vapeur. Le morceau imite divers bruitages grâce aux instruments de l'orchestre symphonique: grincement de ferraille et fuites de vapeur rendus par les glissandi d'instruments aigus (violon), lourdeur du train au

liés la production d'un même type d'objet (textile, vaisselle, verre , métallurgie...) • La révolution industrielle va aussi bouleverser les moyens de transports. La machine à vapeur va être placée sur des roues et donner ainsi les premières locomotives du chemin de fer. Elle va actionner des roues à aubes puis des hélices et donner naissance à la marine a vapeur qui va progressivement remplacer la marine à voiles. On va faire rouler sur les routes des automobiles à vapeur et même de faire voler

femmes. - le mouvement : c’est un roman qui est dynamique, où les personnages agissent, bougent, se déplacent. - la machine : plus particulièrement la locomotive qui représente aussi le destin prédéterminé de tous ces personnages, ces « bêtes humaines », qui se laissent aller à leurs passions sans restriction. Ainsi la fin du roman montre la locomotive qui ne peut pas être arrêtée, qui file droit devant à la catastrophe, qui emporte le destin de tous ces hommes. Mais le dénominateur commun est l’explication

à l’égard de votre désir de créer un chemin de fer dans la belle et fortune Russie. Je suis réputé pour ma manœuvre dans le textile, pour être un sidérurgiste hors pair, et bien sure, un ingénieur constructeur de machine-outil, de rails et de locomotives. J’ai construit le premier haut-fourneau. On me désigne en tant que visionnaire, paternaliste, travailleur, ambitieux, courageux (ma devise est «Courage to the last ») et j’ai le sens de l’entreprise et du commerce. Je suis un grand voyageur à la

de la gare, une locomotive à vapeur, un cheminot venant vers moi. Ensuite en arrière-plan, je devine une partie de la ville de Paris. Ce que je vois d’autre : Plusieurs nuages de fumée qui emplissent la gare et le tableau : cette fumée résulte de la combustion du charbon qui fournit l’énergie permettant à la locomotive d’avancer. La gare est assez sombre. Il y a des rails qui semblent venir jusqu'à nous et qui nous invitent au voyage. Un wagon à l'arrêt contraste avec la locomotive qui part. La peinture