Logarithme complexe

départ des perturbations qui conditionnèrent ultérieurement la névrose du jeune homme, devenu adulte. Freud met en évidence le conflit entre les tendances passives féminines du petit garçon, correspondant au complexe d’Œdipe inversé, et ses tendances masculines correspondant au complexe d’Œdipe positif ou direct. Ces tendances masculines, après avoir été élaborées finiront par prendre le pas sur les tendances homosexuelles inconscientes conduisant le patient vers la guérison. Mais les aspects psychotiques

Série1 : Les nombres complexes (1) Résultats importants ! Lycée « Chebbi » MORNAG • Année scolaire : 20122013 Un nombre complexes Définitions :    Partie réelle noté Re(z) Un nombre vérifiant : i²=-1 Partie imaginaire noté Im(z) • Niveau : 4ème Maths • Enseignant : Houssem Eddine Fitati Le conjugué du nombre complexe : z = a+ib est Le module du nombre complexe z = a+ib est : A tout nombre complexe z = a+ib on associe le point M(a,b) dans le plan rapporté au repère orthonormé

d’un point de vue médical rien ne pouvait expliquer l’origine de sa douleur. Dans un premier temps, nous étudierons le concept de la transmission familiale à travers l’exemple de la famille de Tony. Dans un second temps, nous verrons le concept du complexe d’Œdipe qui nous aidera à mieux comprendre les problèmes de cette famille. Dans un troisième temps, nous expliquerons le concept de l’image inconsciente du corps et les pathologies qu’elle a pu engendrer dans l’entourage de Tony. Et pour finir, nous

Chapitre 1 LES NOMBRES COMPLEXES 1.1 Introduction Dans ce chapitre comme dans la suite du polycopi´, nous utiliserons les symboles suivants : e 1. Symboles ensemblistes • ∈ : appartenance ; si E est un ensemble, x ∈ E se lit : “x appartient a E”. ` • ⊂ : inclusion ; si E et F sont deux ensembles, F ⊂ E se lit : ”F est inclus dans E” ; il ne faut pas confondre ce symbole et le pr´c´dent, le symbole d’inclusion sert e e uniquement a comparer des ensembles ; ainsi la propri´t´ x ∈ E s’´crit ´galement

phallique et le stade de la latence. Nous le reconnaissons du fait que l’enfant n’a plus de désir incestueux vis-à-vis du sexe opposé et ses pulsions se dissipent. D’ailleurs l’enfant devient disponible pour la socialisation. Ce stade demeure assez complexe pour l’enfant car il est dans un paradoxe. Il sait qu’il y a des interdits mais inconsciemment il veut vivre son désir. Souvent de manière détournée il va tenter de le faire. Dans ma pratique professionnelle, j’ai pu observer un enfant qui était

lieu de la cuisse (lieu où son père mettait sa jambe). -> “Jambes douloureuses commencent aussi à parler”. Charcot expliquait hystérie par conditions de vie “faites-la moins travailler” Freud parle de mécanismes inconscients, arrière-scène du complexe d’Oedipe, amnésie infantile. 1er à parler de sexualité infantile -> choc à l’époque. “pulsion sexuelle se montre déjà chez l’enfant”. Les événements de l’enfance, on en gardent que des fragments de souvenirs, ils sont apparament tombés “dans

par convention, que c'est –¥ afin d'assurer la comptabilité de certaines relations sur les degrés) · On peut définir des fonctions polynômes avec des coefficients dans un ensemble A autre que . (Cela peut être par exemple le corps des nombres complexes ). Cependant l'ensemble A doit posséder un certain nombre de propriétés algébriques (A doit être un anneau commutatif(1)). (1) Notion de groupe Un ensemble G est un groupe si il est muni d'une l.c.i * (loi de composition interne) vérifiant les

EXERCICE 2 (6 points ) (Commun à tous les candidats) Soient f et g les fonctions définies sur l’intervalle [0; +∞[ par : f (x) = xe−x et g(x) = x2 e−x . On note Cf et Cg les représentations graphiques des fonctions f et g dans le plan complexe muni d’un → − − → repère O, i , j . Partie A → − − → La courbe représentative Cf de la fonction f dans un repère O, i , j est donnée ci-dessous. − → j Cf − → i O 1. D’après le graphique, quelles semblent être les variations de la fonction f et sa

Khôlle n°2 : Le complexe d’Électre Introduction : Le complexe d’Électre est un concept qui fut lancé par le médecin psychiatre Carl Gustav Jung. Cet homme d’origine Suisse et de langue Allemande vécut aux XVIIIème – XIXème siècle et fut le précurseur du courant de la psychologie analytique. En outre, il fut un collaborateur de Sigmund Freud ce qui le dirigea sur le chemin de la psychanalyse et ce qui l’emmena même à contre dire une grande partie des théories énoncées par son précepteur. Mais

d’affixe z tel que est un réel est : z 1 b. le segment ABprivé de A a. la droite ( AB) privée de A c. le cercle de diamètre ABprivé de A 2) Soit z un nombre complexe de module 3 Alors le conjugué de z est : 3 9 3 b. c. a. z z z 3) Soit z un nombre complexe ; |z +i| est égal à : a. |z|+1 b. z 2 1 c. | iz-1| 4) Soit z un nombre complexe non nul d’argument θ. Un argument de a.  2 2   c. 3 3 3 5) Soit  le point d’affixe 1−i. L’ensemble des points M d’affixe z = x +iy vérifiant |z −1+i|