Loggia

vient définir plus fortement l’espace devant l’hôpital, les arcs l’utilisation de la pierre plutôt que la pietra serena utilisée pour les colonnes. Chmodule du portique est un cube surmonté d’une demi sphère. On se retrue. Dans ce cas cependant la loggia n’est pas une partie indé Les colonnes qui portent les arcs sont d’uen pietra serena. Co aspect monolithi colonnes et un souhait de Brunelleschi suivant ses principes de valorisation la structure du bâtiment. En 1424 débute la construction

Giocondo. Elle est l'épouse d'un marchand florentin. Lorsque le tableau est commencé l'âge de Lisa est de 24 ans, celui de Léonard 51 ans. C'est à Florence que la toile a été réalisée. Elle met en scène une jeune femme, représentée à mi-corps, dans une loggia. Vêtue avec une grande simplicité, elle adopte une pose de trois quarts, dirige son regard vers le spectateur et esquisse un léger sourire. Sa silhouette se détache sur un fond de paysage brumeux, à l'arrière plan son caractère est irréel, au premier

architecturaux sont présents dans cette œuvre : En partant de l’arrière plan, on distingue la basilique paléochrétienne (IVème – Xème siècle après JC) de Saint-Pierre. L’édifice dans lequel est présent le pape est de style renaissance (présence de loggias des années 1500) Les colonnes de gauche qui représentent le septizodium (monument de la Rome antique construit en 203) et soutiennent une partie de l’entablement sont de style corinthiennes (inventé aux alentours de 380 avant J-C) tandis que celles

Certains de nos chats ont des sensibilités pulmonaires, fumez-vous ou utilisez-vous de l’encens à l’intérieur de votre logement ?LES CONDITIONS DE VIE DU CHATD’un point de vue du mode de vie :[ ] Intérieur uniquement (avec ou sans accès balcon/loggia sécurisé)[ ] Intérieur avec sorties contrôlées (ex : brassière, temps défini, en présence de l’humain, jardin sécurisé …)[ ] Intérieur/extérieur libre (ex : chattière, fenêtre/baie vitrée entrouverte)[ ] Extérieur strict (pas d’accès

architectes au XVIIe siècle. Rotonda est un nom propre, celui d’une église romaine circulaire surmontée d’une COUPOLE, ou petite cuve. Les habitations s’ouvrent désormais sur l’extérieur, grâce à des aménagements nouveaux, le BALCON, la BALUSTRADE ou la LOGGIA. L’influence italienne donne à nos palais du faste, de nouvelles proportions : les voilà GIGANTESQUES, GRANDIOSES. Pour faciliter la circulation dans ces vastes espaces intérieurs, on adopte le CORRIDOR. Puis, L’APPARTEMENT restera la partie

était une coutume de l'époque, non un signe de deuil. Pour seuls accessoires, elle porte un voile sur ses cheveux, et une écharpe sur son épaule. Ses bras reposant sur un accoudoir de fauteuil, ses mains expriment grâce et sérénité. Assise dans une loggia, entre intérieur et extérieur, une lumière chaude (ocre), venue de l'intérieur, contraste avec la lumière froide (bleu/vert), du lointain paysage, un peu étrange et atemporel. En effet, il n'y a aucun signe de vie, à part ce pont sur la droite

conformément à la mode de l'époque, elle ne présente ni cils, ni sourcils. Elle est assise sur un fauteuil dont on aperçoit le dossier à droite du tableau. Ses mains sont croisées, posées sur un bras du fauteuil. Elle se trouve probablement dans une loggia, on peut voir un parapet juste derrière elle au premier tiers du tableau, ainsi que l'amorce de la base renflée d'une colonne sur la gauche. À l'arrière plan se trouve un paysage montagneux dans lequel se détachent un chemin sinueux et une rivière

François Ier lui-même, qui admire « le sourire quasi divin » de la dame. Il devient rapidement par la suite une œuvre emblématique des collections françaises. UNE COMPOSITION CLAIRE Le tableau représente la jeune femme de trois quarts, assise dans une loggia ouverte sur un paysage. Elle regarde le spectateur et sourit. L’avant-bras gauche appuyé sur l’accoudoir d’un fauteuil, les mains posées l’une sur l’autre, elle domine l’ensemble de la composition. Sa silhouette s’inscrit dans une forme pyramidale

l’antiquité gréco-latine, il place l’homme au cœur du monde dans une conception profondément optimiste et individualiste. Commentaire : La Joconde est une représentation réaliste de cette femme, Lisa Del giocondo, nommée aussi Mona Lisa, dans sa loggia dessus d’un paysage imaginaire, peint d’une manière illusionniste. Le trompe l’œil est obtenu Grace à l’intention de la perspective, au moment de la renaissance. L’illusionnisme est également rendu grâce à la lumière traduite avec le clair-obscur

composent l'ensemble. Le choix est fait de représenter un mi-corps : buste et bras de la jeune femme, assise, positionnée de trois quarts mais pointant son regard vers le spectateur. Elle est assise sur un fauteuil sans dossier dans le cadre d'une loggia : on perçoit le rebord plat d'un muret et la naissance de deux colonnes, à gauche et à droite. La Joconde est au centre de la composition, reflétant par ce lieu géométrique la place primordiale que l'humanisme accorde à l'individu. Et l'intersection