Logis seigneurial

Alain-Fournier (1886-1914), Le Grand Meaulnes (1913) Première partie, chapitres XIII et XIV : « La fête étrange » Chapitre XIII - La fête étrange Dès qu’ils eurent disparu, l’écolier sortit de sa cachette. Il avait les pieds glacés, les articulations raides ; mais il était reposé et son genou paraissait guéri. "Descendre au dîner, pensa-t-il, je ne manquerai pas de le faire. Je serai simplement un invité dont tout le monde a oublié le nom. D’ailleurs, je ne suis pas un intrus ici. Il est hors

| | |Le donjon. Le plus souvent, il est rond. Il constitue la | | |demeure seigneuriale et comprend chambres, salles communes, | | |bibliothèque et salle de travail. Aucun mur ne mesure moins |

Support: LA NUIT DU QUATRE – HUGO. Une scène pathétique et émouvante dans sa simplicité. La scène à laquelle nous assistions, est une scène émouvante et pathétique, propre à émouvoir le lecteur. Le cadre est simple et sobre. Nous ne savons rien du logis ou se trouvent les personnages, mais quelques touches suffisent à peindre un intérieur modeste et accueillant. Les quatres adjectifs descriptifs du v.2 « propre, humble, paisible, honnête »posent un cadre dépouille et propre. Le dernier adjectif apporte

muet et pensait à son sort. Il devait choisir : la vie éternelle ou la mort. Il avait choisis la vie éternelle en compagnie de Dracula et de Cristina. Il dit à Cristina son choix et se fait mordre par le vampire qui lui offre la vie éternelle, un logis et une nouvelle famille.

1. Quelle est l’orientation exacte en matière que souhaitent prendre M. et Mme Guénan ? Ils souhaitent améliorer l’accueil de leur clientèle française et étrangère. De plus, ils envisagent de demander dès que possible leur classement dans les « Logis de France », en effet les deux responsables pensent qu’ils réunissent un grand nombre de critères leur permettant l’obtention de ce label qui confortera leur image auprès d’une clientèle exigeante. 2. Dans quels domaines pensez-vous devoir agir

Dans le château du baron Thunder-ten-tronckh en Westphalie, yavait un jeune homme a la dégaine annonciatrice de son caractère. Il était pas du genre intellectuel çuila, plutôt simplet. S'est surement pour sa qu'on l'appelait Candide d'ailleurs. Les ancien serviteur de Mr le Baron Thunder-ten-tronckh laissaient croire que c'était le fils de la sœur de Monsieur le baron et d'un voisin gentilhomme, que selle si ne voulut jamais épouser à cause de ses ancêtres qui n'étaient pas assez nombreux pour égaler

L’enfant avait reçu deux balles dans la tête Le logis était propre, humble, paisible, honnête ; On voyait un rameau bénit sur un portrait. Une vieille grand-mère qui était la qui pleurait Nous le déshabillions en silence sa bouche, Pale, s’ouvrait : la mort noyait son œil farouche ; Ses bras pendants semblaient demander des appuis. Il avait dans sa poche une toupie en buis. On pouvait mettre un doigt dans les Trous de ses plaies. Avez-vous vu saigner la mure dans Les haies ? Son crane

'et'chausse'sans'façon'les'bottines'neuves. 1605 Voyons!d'abord!où!m'ont!jeté!ses!perfidies. Après'avoir'examiné'la'chambre'de'tous'les'côtés. Maison!mystérieuse!et!propre!aux!tragédies. Portes!closes,!volets!barrés,!un!vrai!cachot. Dans!ce!charmant!logis!on!entre!par!en!haut, Juste!comme!le!vin!entre!dans!les!bouteilles. Avec'un'soupir. 1610 P C'est!bien!bon,!du!bon!vin!!!– Il'aperçoit'la'petite'porte'à'droite,'l'ouvre,'s'introduit'vivement'dans'le'cabinet'avec'lequel'elle' communique,'puis'rentre'avec'des'gestes'd'étonnement

Victor Hugo, Les Châtiments, 1853 Souvenirs de la nuit du 4 L’enfant avait reçu deux balles dans la tête. Le logis était propre, humble, paisible, honnète ; On voyait un rameau bénit sur un portrait. Une vieille grand-mère était là qui pleurait. Nous le déshabillons en silence. Sa bouche, Pâle, s’ouvrait ; La mort voyait sn œil farouche ; Ses bras pendans semblaient demander des appuis. Il avait dans sa poche une toupie en buis. On pouvait mettre un doigt dans les trous de ses plaies

Dans la grande salle du palais des rois de Grande-Bretagne, le vieux roi Lear réunit ses filles, leurs maris et son fidèle ami le comte de Kent. Il annonce son désir de se retirer du pouvoir et sa décision de diviser son royaume entre ses trois filles, Goneril mariée au duc d'Albany, Régane épouse de Cornouailles et Cordélia, la plus jeune, courtisée par le duc de Bourgogne et le roi de France. La plus large part sera offerte à celle qui saura lui déclarer qu'elle l'aime le mieux. Alors que les deux