Logorrhée

musical monotone Son œuvre est une cantilène interminable Squalide Sale malpropre ; qui inspire le mépris Une maison squalide Industrieux Qui montre de l'habileté, de l'adresse, de l'activité C'est un homme industrieux Une logorrhée Flot de parole désordonné Vos paroles sont des logorrhées insupportables Liminaire Qui est placé en tête d'ouvrage Il commença par des propos liminaires Hypnagogique Relatif à l'endormissement, période avant le sommeil Des rêves hypnagogiques Poudre de succession Autre nom de

Traumatisme du narrateur (Je ne vis plus que dans cette chute. Toujours) Docteur Lucy. hémorragie, coma de Cémence. Métaphore « saigner à blanc » but des Allemands durant la bataille de Verdun. Description de la clinique, hôpital, blessés. Humour noir. Logorrhée du soldat traumatisé. Enfant a été sauvé. Clémence a perdu trop de sang. Docteur aspergé de sang. Grande envie du narrateur de tuer le docteur. Arrestation de 2 déserteurs quelques semaines plus tard. Ils sont conduits à la mairie. La foule les désigne

vieille bête) ; de même elle n’est plus le personnage auquel se confie l’héroïne tragique (cf. par exemple Phèdre avec Œnone). A l’inverse des tirades de la tragédie classique, la nourrice monopolise au contraire toute la parole dans une sorte de logorrhée agressive (D'où viens-tu, mauvaise ? / Réponds donc, fanfaronne ! / hypocrite !) : Antigone ne parle presque pas, sinon pour prononcer des paroles que la nourrice ne peut pas comprendre. Le Oui répétitif dans ses répliques (Oui. J'avais un rendez-vous

cloche bordel,j'aurais du ressentir non?Sentir peut etre,experimenter un émotion,qui sait un poil qui se hérisse un cil qui se courbe,un oeil qui cligne,un nez qui gratte quelque chose. Evidemment je ne suis pas mort a l'intérieur mais presque ,la logorrhée dont vous êtes les témoins imaginaires vous les lecteurs fictifs que j'abhorre (je me devais de mettre abhorrer ca passe mieux après logorrhé) Alors pour en revenir a nos moutons prenons un homme , jeune de préference,sans histoire partirculiere

haché * Diminution du stock verbal * Articulation perturbée * Syntaxe et grammaire perturbée * Parle en style télégraphique Aphasie de Werniche : * Syntaxe et grammaire peu touchée * Débit verbal rapide et incontrôlé * Logorrhée * Vocabulaire riche, articulation normale * Les mots et les propos s’enchainent sans suite logique * Jargonaphasie, paraphasie, dyssyntaxie * Anosognosie des troubles et néologisme VII- AVC ischémique : Mécanisme : *

inadapté, une expression émotionnelle excessive et changeante, une suggestibilité importante, une dramatisation, un théâtralisme et une exagération de l’expression émotionnelle. Insomnie : Altération de la durée et de la qualité du sommeil. Logorrhée : accentuation du débit verbal, qui se traduit par un flot précipité et surabondant de paroles organisées autour d’un thème dominant ou plus souvent dispersées. Mélancolie : état dépressif intense caractérisé par une douleur morale importante

et d’accumulation pour valoriser ses propos : « Sachez-le, souvenez-vous en Jusqu’à l’heure de votre mort » on remarque l’accès d’autorité car le professeur ne cesse de donner des ordres à l’impératif. Le discours se caractérise par une espèce de logorrhée et c’est ainsi qu’on débouche sur le comique de mot. Il est très présent car le professeur utilise une syntaxe compliquée : «toute langues n’est en somme qu’un langage» cette définition n’apporte rien, c’est une lapalissade, un pléonasme. On remarque

colère, ce qui le rend disponible à un autre élément de son courage, l’amour. Le vers 245 traduit l’hésitation de son esprit, traduit également par l’hésitation entre les deux langages. Matamore n’est donc qu’un être qui existe par son discours (logorrhée). C’est un être de langage. Le héros futur, guerrier et amant, n’existera que sous le regard des autres, que par le paraître, et c’est au théâtre qu’il appartient de le faire naître des entrailles de la société. Le héros était tour à tour, fantasmatiquement

pièce, mais c’est son dénouement qui en est le paroxysme. Les couples Martin et Smith font ici rire aux éclats le spectateur. Comment cette scène exprime-t-elle le paradoxe de la pièce ? Il s’agit d’abord de voir le comique absurde et vide de la logorrhée que constitue ce dénouement, puis sa dimension réellement tragique vis-à-vis de l’humanité en général. Cette dernière scène est marquée par une accumulation de paroles plus ou moins liées, dites de plus en plus vite : les personnages se

manque de volume, qui est généralement la conséquence de trouble du diaphragme, des muscles respiratoires ou des cordes vocales . Aphasie de Wernicke: aphasie sensorielle, la lésion est temporale postérieure, le langage spontané est abondant (logorrhée) mais les paraphrasies sémantiques sont nombreuses exemple, prononcer un couteau au lieu de stylo, parfois jargonophasie totalement incompréhensible, faite de néologismes, la compréhension est totalement perturbée, le malade n’a pas