Loi De Baumol

ou effectuer des placements financiers. L'analyse keynésienne de la demande de monnaie a été prolongée par les modèles de Baumol et de Tobin. Baumol introduit dans la théorie de la demande de monnaie les taux d'intérêt et l'arbitrage entre monnaie et titres. Parce que la détention d'encaisse présente un manque à gagner et que la détention de titres à un coût, Baumol s'attache à déterminer pour un taux d'intérêt donné le stock optimal d'encaisse. Celui-ci dépend de trois variables : • •

Ex : quand je spécule à la baisse je vends aujourd’hui une action que je n’ai pas mais que je rachèterai à bas prix pour la livrer dans une semaine. Avec les droits à polluer les entreprises vont s’entendre pour se répartir ces droits selon la loi de l’O et de la D => le risque de pollution demeure ; répartition de la pollution non optimale Coase : « internalisation des effets externes => Répartition optimale de la pollution entre pollueurs et pollués. Inéluctable = inévitable Eponyme =

conditions de validité des résultats ..................................................................... 23 L'incertitude du réglementeur sur les coûts et les dommages........................................... 25 3.1 3.2 Le second rang à la Baumol (1972)........................................................................... 25 Prices versus quantities (Weitzman, 1974) ............................................................... 26 4 La différenciation spatiale des dommages ...

(politique monétaire, l’indemnité chômage est politiquement incorrect). 3. Les instruments sont plus ou moins efficaces en fonction des objectifs. Les pouvoirs publics ont intérêt à utiliser les instruments les plus adaptés aux objectifs visés (loi de MUNDELL). Par exemple si l’économie repart et que l’Offre ne répond à la demande intérieur on crée de l’inflation et on creuse le déficit commercial. La BCE augmente alors les taux d’intérêt, ce qui se répercute sur les banques. 4. Les conditions

caractéristiques (qualités, services après-vente, designs, etc.). 1/ Qu'est-ce qu'un marché en concurrence pure et parfaite ? Le modèle économique fondé sur la théorie de l' « équilibre général » de Léon Walras (économiste néo-classique), postule de la « loi du marché » soumise à cinq hypothèses de la concurrence pure et parfaite, traduite par le plus grand nombre de régularités observées sur les marchés considérés comme naturels. Ces hypothèses sont : l'atomicité : il y a un grand nombre d'offreurs

Développement de l’industrie chimique Développement technologique Innovations thérapeutiques Amélioration de la santé des populations, Développement d’un mode de vie moderne, productif, et compétitif DRAMES HISTORIQUES Décès à l’élixir de baumol, Phocomélie à la thalidomide, Cancer vaginaux au diethyl-stilbestrol, Maladie de Creutzwald Jacob et hormone de croissance, SIDA et produits sanguins…. EXIGENCE DU CONSOMMATEUR Omniprésence des média Concurrence commerciale CONCEPT DE SECURITE

égal à 0, donc tous les facteurs de production sont rémunérés. Limites de la CPP : . Rien n’est dit sur le fonctionnement interne de la firme (vue comme une « boite noire »). La firme est considérée de firme-point (aucune épaisseur). . Pour Baumol, l’entrepreneur est un simple calculateur passif (les prix s’imposent à lui, ainsi que la technologie). La CPP ne prend pas en compte l’innovation. . Le producteur est parfaitement rationnel c’est-à-dire qu’il est capable de prendre la meilleure

Cobden, famille Krupp. Les dynasties et leurs stratégies de « pérennisation » A retenir : La loi des trois générations (les Marshall, Pouyer Quertier et La Foudre), les différentes stratégies matrimoniales, la dynastie des MotteBossut. (d) Les formes juridiques des entreprises A retenir : Code du commerce (1807), société en nom collectif, commandite simple, commandite par actions, la Société Anonyme (loi de 1867). 3) LES « GRANDES ENTREPRISES » MODERNES A PARTIR DE LA FIN DU XIXE SIECLE (a)

de productivité. Sur un siècle, moins de un point de productivité : croissance d’abord extensive. Innovation avec un effet très faible. Dans cette croissance, partage de la VA se répartit de façon extrêmement faible en faveur de la consommation : loi d’Airain des salaires où le profit est le grand bénéficiaire de la croissance. Lors de la 1ère RI, logique de textile qui ne nécessite pas d’investissement lourds donc pas de rôle important pour les banques du fait que les entreprises s’auto-financent

l’ouverture des frontières permet un rééquilibrage automatique de la balance des paiements. Limite : cette théorie suppose que toute l’offre est absorbée par la demande. Il n’y a donc pas de contrainte de prix. §2 Les théories suédoises 1°) La loi des dotations des facteurs Eli F. Hecksher et Berthil Ohlin (1899-1979 ; prix Nobel en 1977) reformulent en 1933 la théorie de l’avantage comparatif en tenant compte des facteurs de production. Chaque pays va se spécialiser dans la production utilisant