Loi De Baumol

L’autre point de vue, il convient de compenser les inégalités de production par la mise en place de redistributions, d’une solidarité. On doit réfléchir à l’efficacité sociale. La forme extrême du libéralisme, c’est la jungle : la loi du plus fort, il n’y a pas de place pour les plus faibles : « efficacité économique ». Cependant, l’efficacité sociale n’est pas forcément meilleure, car comme dans les « ETS » (économie de type soviétique), il n’y a pas d’innovation ou d’investissement

aux firmes des permis de polluer. Ces permis sont négociables : chaque firme peut vendre ses droits à polluer à une autre firme. Ce système des droits à polluer est appliqué aux Etats-Unis dans la lutte contre la pollution de l’air. Depuis 1990, la loi sur l’air de 1970 comprend un système de permis négociables : par exemple, dans une région où la pollution de l’air a atteint le taux maximal, une nouvelle firme peut toujours s’installer dès lors qu’elle parvient à racheter aux autres firmes de la

télécommunications avec l'arrivée de la téléphonie mobile par rapport aux lignes de cuivre. ). 2. Si la fourniture de ce produit ou service à cette même clientèle est interdite, soit par l’État (cas du monopole légal Le monopole légal est fixé par la loi ou par un organisme réglementer . Il permet de restreindre la concurrence pour atteindre des objectifs politiques comme la sécurité, l'aménagement du territoire, la gestion d'un bien stratégique, la solidarité... Exemple : La Poste, EDF, la SNCF avant

puisque le PIB par habitant sera plus faible. Solow a montré que si le capital reste stable, une augmentation de la main-d’œuvre disponible se traduira par une diminution du capital par tête, et donc d’une augmentation plus faible de la production (loi des rendements décroissants). Par ailleurs, le calcul du PIB ne prend pas en compte les externalités, positives comme négatives : « quand un homme épouse sa cuisinière, il fait baisser le PIB » (Arthur Pigou). Par exemple, le PIB ne tient pas compte

l’essor important et rapide du secteur tertiaire confirme donc la théorie du déversement sectoriel d’Alfred Sauvy mais peut laisser entrevoir une optique pessimiste quand à l’issue de ces modifications de l’appareil productif, comme le prévoit la loi de Baumol ou encore la théorie de Jérémy RIFKIN quant à la fin du travail dans son ouvrage de 1995.

l'écolier qui fréquente l'enseignement primaire ou secondaire, et l'étudiant qui fréquente un établissement d'enseignement supérieur ou post-secondaire. Dans la très grande majorité des états, la scolarisation est obligatoire jusqu'à un âge fixé par la loi (généralement entre 15 et 18 ans), par conséquent la quasi-totalité des personnes ont un jour la qualité d'élève ou d'étudiant. Divers pays, notamment en Amérique latine, célèbrent une journée de l'étudiant (Día del Estudiante). Episodiquement, le

— Baumol traite également le déversement sectoriel de l’emploi dans « Macroeconomics of unbalanced growth  » en 1967 (la croissance s’est déséquilibrée à cause du déversement dans les secteurs à faible gain de productivité) Il considère une économie simplifiée à 2 secteurs :- un secteur progressif fondé sur l’activité industrielle (gains de productivité grâce aux innovations)- un secteur non-progressif : dont la productivité stagne.— D’après Baumol on assiste

recouvrait énormément d’activités. On nationalise Renault au nom de l’intérêt général car ils avaient collaborés au régime nazi. Avantage : adaptation facile du droit à l’évolution technique, historique, des besoins. On n’a pas besoin de réécrire la loi pour faire entrer un nouveau service dans le secteur public. Problème : l’Etat se légitime par des activités de services publics alors que c’est lui-même qui les détermine. Incitation à développer un maximum de services publics pour satisfaire

de comportements de firmes avec les modèles d’oligopole, l’analyse des politiques de barrières à l’entrée, de recherche-développement, de brevets… 2. Le paradoxe : un acteur clé, mais sans dimension et passif. « Hamlet without Prince » image de Baumol en 1968 a) Les traits centraux de la firme néoclassique : firme point et firme automate La firme néoclassique peut être caractérisée par deux traits complémentaires : - elle se présente comme un agent sans épaisseur ni dimension. Une «firme point» ;

», en vertu duquel l’équilibre de concurrence en statique exclut toute possibilité que l’offreur prenne des libertés avec les prix et s’en serve comme d’un outil de stratégie commerciale. Chapitre 1 Introduction 11 Jevons (1871) • Introduit la loi d’indifférence selon laquelle un marché est parfait si, à tout moment, un seul prix prévaut pour chaque bien homogène (absence de discrimination tarifaire). Chapitre 1 Introduction 12 2- Ensemble de conditions Walras (1874) et les néo-classiques