Loi De Baumol

approches en termes de déterminants de dépenses publiques a) La loi de Wagner C’est un économiste allemand, fin 19ème-début 20ème. C’est le premier auteur qui essaye de comprendre, de décrire le lien qu’il y a entre l’évolution économique et la part croissante des dépenses publiques. Etude sur le long terme : plus les richesses se développent, plus le PIB augmente, plus les dépenses publiques augmentent. Il arrive à une loi : loi de l’extension croissante de l’activité publique et de l’Etat. Les

publics, la presse, les professionnels de l’immobilier et les particuliers. Elle conforte la mission de service public notarial d’information sur les marchés immobiliers, mise en œuvre depuis de nombreuses années par le notariat et inscrite dans la loi de modernisation des professions juridiques et judiciaires du 28 mars 2011. QUESTION 2 La production est l'activité économique qui apporte de la valeur ajoutée par création et fourniture de biens et de services, ce qui signifie que la production

........................................ 2 1. L’aspect de demande : Les effets de club de consommation : ................................. 2 1.1. Le bien-réseau et l’effet de club de consommation : .......................................... 2 1.2. Loi de Metcalfe .................................................................................................... 2 1.3. Dynamique d’un réseau (effet rétroactif) ............................................................. 3 2. L’aspect de l’offre

L’entente est interdite par la loi, mais rien n’empêche les dirigeants d’entreprises à se réunir, «discuter »,… Le but du cartel est de fixer des prix de vente élevés pour maximiser le profit. Le résultat global de l’entente (somme des CA des différents membres de l’entente) serait plus élevé que si les firmes opéraient individuellement. Le cartel organise la production totale comme un monopoleur et maximise le profit collectif. Quelques exemples d’ententes condamnées par la loi Novembre 2005 : 6 prestigieux

monopole naturel : ce cas apparaît quand la technologie présente des économies d’échelles à un niveau de production aussi important que l’intégralité de la demande. B) L’équilibre du monopole Le monopole est un avantage : en CPP, c’est la loi de l’offre et de la demande qui joue alors qu’en concurrence imparfaite, le monopole est price maker. Ainsi, pour le producteur, le monopole apparait comme la meilleure solution puisque l’anticipation profit est plus élevé en monopole qu’en CPP. Cette

est vain et ne peut traduire que un désordre qui conduit à de l'inflation. La crise est donc une crise de surcapitalisation (opposé de Keynes). Préconisation= encourager l'épargne. Les néo-keynésiens et l'analyse de portefeuilleTobin, Modigliani, Baumol...L'idée selon laquelle le principal déterminant des fluctuations économiques est la recomposition par les agents de leur portefeuille d'actifs (les avoirs). Recomposition entre les actifs réels, financiers (placements) ou monétaire (liquide).Analyse

entreprise est plus rentable que plusieurs, plus rentable " qu’une myriade d’entreprises " comme disait SCHUMPETER. (Tous les économistes ne s’accordent pas pour en conférer le contrôle à la puissance publique, voir notamment Pascal SALIN ou encore BAUMOL, PANZAR et WILLIG.) Nous avons donc vu que le marché n’était pas capable de tout internaliser et que l’intervention de l’État était nécessaire dans certains domaines. Si l’État intervient en tant que suppléant du marché, il s’avère aussi être un

Abramowitz, M. 1989, “The Catch Up Factor in Postwar Economic Growth. Presidential Address to the Western Economic Association” Economic Inquiry, vol. 28, January, pp.1-18 Baumol, W. J. 1986 “Productivity Growth, Convergence, and Welfare: What the Long-Run Data Show” American Economic Review, vol. 76, n° 5, December, pp. 1072-85. Baumol, W. J. 2002 The Free Market Innovation Machine. Analyzing the growth miracle of capitalism, Princeton University Press. Blaug, M. 1999 « Le système de Ricardo » in La

durée plus éloignée dans le temps, par rapport aux évaluations dont ils font l’objet de la part de leur actionnaires. Se faisant, ils ne développent pas l’avenir de l’entreprise, et donc lèsent les intérêts à long terme des actionnaires. En fin, baumol traite les problèmes du chiffre d’affaires, en fait, un manager va chercher plus à augmenter le chiffre d’affaires de l’entreprise que de s’intéresser à la rentabilité des actifs. Il a présenté les problèmes dans le graphique suivent : Revenu

entreprise est plus rentable que plusieurs, plus rentable " qu’une myriade d’entreprises " comme disait SCHUMPETER. (Ndp, tous les économistes ne s’accordent pas pour en conférer le contrôle à la puissance publique, voir notamment Pascal SALIN ou encore BAUMOL, PANZAR et WILLIG. Nous avons donc vu que le marché n’était pas capable de tout internaliser et que l’intervention de l’État était nécessaire dans certains domaines. Si l’État intervient en tant que suppléant du marché, il s’avère aussi être