Loi de Prairial

il contribue à faire cesser la politique de déchristianisation et fait voter, en qualité de rapporteur, le décret du 18 floréal an II, par lequel « le peuple français reconnaît l’existence de l’être suprême, et l’immortalité de l’âme », et la loi de Prairial, dite de « Grande Terreur ». Attaqué et isolé au sein de la Convention par d'anciens dantonistes et des envoyés en mission rappelés, mais aussi au sein du gouvernement révolutionnaire par le Comité de sûreté générale et des collègues du Comité

Arrestation de Robespierre, le 27 juillet 1794 Un an après son entrée au Comité de Salut Public (le gouvernement révolutionnaire), le 27 juillet 1793, Robespierre est arrêté. Le peuple et de nombreux députés sont las de vivre dans la peur et la loi de Prairial (10 juin 1794) autorisant l’arrestation et l’exécution du moindre suspect les inquiète. C’est pourquoi les députés de la Convention finissent par s'insurger et décrètent l'arrestation de Robespierre et de ses proches le 9 thermidor An II (27

droits de l’homme et du citoyen. Avant toutes choses afin d’établir des réformes politiques, économiques et religieuses efficace, il fallait que les opposantsà la révolution ne puissent pas les contester, c’est pourquoi la loi des suspects fut établie en septembre 1793. Cette loi définissait que toute personne ayant commis ou pouvant commettre des actions allant contre les lois révolutionnaires devait être arrêtée, jugée et punie. Elle eu des répercutions sanglantes puisque sous cette lois on exécuta

il contribue à faire cesser la politique de déchristianisation et fait voter, en qualité de rapporteur, le décret du 18 floréal an II, par lequel « le peuple français reconnaît l’existence de l’être suprême, et l’immortalité de l’âme », et la loi de Prairial, dite de « Grande Terreur ». 2. Les ennemis du peuple et de la république sont: - "Ceux qui auront trahi la République dans le commandement des places et des armées, entretenu des intelligences avec les ennemis de la République"- les anciens

 Becquet Claire «  Décret du 22 prairial an II » Le 5 Septembre 1793, l'assemblée parisienne avait mis «la Terreur à l'ordre du jour» mais la répression, les arrestations arbitraires et la peur de la guillotine n'avaient pas suffi à faire reculer les menaces qui pesaient sur la Révolution française et la République. Celles-ci étaient tout à la fois menacées par l'opposition royaliste, les catholiques et les gouvernements étrangers. Depuis la suppression des tribunaux révolutionnaires de province

seront alors arrêtés et transféré vers le tribunal révolutionnaire par le comité de sureté générale. A cette époque, un très grand nombre de personne pouvaient être considérés comme suspecte par le gouvernement révolutionnaire suite à la parution de la loi des suspects du 17 septembre 1793. 2. L’apparition du comité de salut public : l’apogée d’une société sous le joug d’un contrôle du gouvernement révolutionnaire. En Avril 1793 la convention décide de créer le Comité de salut public. Cette nouvelle

Souvent malade (il était dépressif) et absent des réunions du Comité de Salut public, il inquiéta ses collègues de la Convention, aussi bien les plus radicaux comme Fouché et Barras que ceux du Marais, après l’instauration de la Grande Terreur (loi de prairial an II - 10 juin 1794) jugée inutile après l’éclatante victoire de Fleurus, le 26 juin 1794. Arrêté en réaction le 9 Thermidor an II (27 juillet 1794), il fut exécuté le lendemain sans procès avec vingt et un de ses amis politiques dont Saint-Just

1793 afin de faire face à la situation d’urgence créée par les troubles extérieurs (guerre) et intérieurs (contre-révolution). C’est un organe de surveillance de l’exécutif, qui s’est progressivement arrogé de vastes prérogatives politiques. Par la loi du 14 frimaire an II, la Convention lui confère formellement le pouvoir exécutif. Cette politique de Terreur semble fonctionner puisque les victoires militaires se succèdent et que les exécutions systématiques, jugées devant le Tribunal révolutionnaire

administrative et judiciaire. Il s’agit là d’une réponse aux Sans-Culottes qui réclame du pain et la guillotine partout dans Paris. La Terreur est alors décrétée par le Comité de Salut Public, notamment par le jacobin Royer et l’Enragé Roux. Pour cela la Loi des suspects est adoptée en 1793. Le Comité de Salut Public, composé de onze conventionnels, devient l’organe essentiel du Gouvernement révolutionnaire. La Police et la Surveillance du pays sont placés entre les mains du Comité de Sûreté Générale. Il

il contribue à faire cesser la politique de déchristianisation et fait voter, en qualité de rapporteur, le décret du 18 floréal an II, par lequel « le peuple français reconnaît l’existence de l’être suprême, et l’immortalité de l’âme », et la loi de Prairial, dite de « Grande Terreur ». Attaqué et isolé au sein de la Convention par d'anciens dantonistes et des envoyés en mission rappelés, mais aussi au sein du gouvernement révolutionnaire par le Comité de sûreté générale et des collègues du Comité