Loi du χ²

(xn , n ≥ 1) qui soit la r´alisation (Xn (ω) , n ≥ 1) e e e d’une suite de variables al´atoires ind´pendantes de mˆme loi donn´e ? e e e e (2) Si une telle suite de nombres nous est donn´e, comment d´cider si c’est une r´alisation e e e acceptable de la loi demand´e ? e Nous verrons que d’un point de vue th´orique, la r´ponse ` ces deux questions se ram`ne au e e a e cas de la loi U([0, 1]) uniforme sur l’intervalle [0, 1] ; c’est ce qu’on appelle des nombres pseudoal´atoires. Pour la seconde question

contrario, une g´om´trie e e e e e e complexe de l’´lectrode de travail conduit ` un comportement anormal appel´ aussi come a e portement de d´phasage constant : dans un certain r´gime, l’imp´dance spectroscopique e e e varie selon une loi de puissance avec un exposant qui peut ˆtre reli´ ` la rugosit´ de e e a e l’interface et, en particulier, ` sa dimension fractale. On trouve un autre exemple d’une a forte influence de la g´om´trie dans les processus de la respiration des mammif`res

proposées en quatrième et dernier chapitre de cette partie, afin d’introduire les applications marketing. tel-00208003, version 1 - 18 Jan 2008 34 CHAPITRE 1 COULEUR ET PHYSIOLOGIE « Si la sensation que l’on appelle ‘couleur’ obéit à quelque loi, cela doit être quelque chose dans notre propre nature qui détermine la forme de ces lois…La science de la couleur doit par conséquent être considérée pour l’essentiel comme une science de l’esprit » James Clerk Maxwell31 (1872), cité par Zeki & Marini

collaboration Chapitre II Droit social 1 Le droit social constitue une branche distincte du droit public. L'unite du droit social ne resulte pas de Pexistence d'un ordre de juridictions specialisees dans le contentieux social (article 95 de la Loi fondamentale ) car celles-ci ne sont pas compotentes pour tous les litiges relevant du droit social. L'unite du droit social, s'est plutöt developpee sous Timpulsion de la pratique et de la doctrine qui ont pris conscience progressivement de la

est la suivante : χ²obs =i=1k(ni-ti)²ti L’établissement des distributions des probabilités pi va dépendre de la nature du test du χ ²(hypothèse H0) mais l’estimation des effectifs théoriques ti sera identique à tous les tests. Si n est l’effectif total étudié, l’effectif théorique attendu, ti pour la modalité i de la variable aléatoire X est : ti = n * pi (loi des grands nombres en

charge d’espace 3. Donner l’expression du profil de dopage (N distribution en fonction de x 4. Représenter le profil de dopage et le diagramme énergétique du barreau à l’équilibre thermodynamique en fonct 5. Que dire de cette jonction. 6. Donner la loi de variation une section s = 1 cm 2 et = µn = µp = 1000cm 2 /Vs) 7. Calculer R pour un barreau de 2 cm de longueur. Exercice 15 On considère une jonction P-N réalisée en Si avec une partie P dopée à N une partie dopée ND = 1x10 15 cm 1. Evaluer l’énergie

microfilm ou tout autre moyen ainsi que la conservation des banques de données. La loi française sur le copyright du 9 septembre 1965 dans la version en vigueur n’autorise une reproduction intégrale ou partielle que dans certains cas, et en principe moyennant le paiement de droits. Toute représentation, reproduction, contrefaçon ou conservation dans une banque de données par quelque procédé que ce soit est sanctionnée par la loi pénale sur le copyright. L’utilisation dans cet ouvrage de désignations, dénominations

linéaire gaussien 2.1 tests et intervalles de confiance . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.1.1 Rappel sur les tests statistiques . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2 L’estimateur des mco dans le modèle linéaire gaussien . . . . . . . ˆ ˆ 2.2.1 Loi du couple (β, σ 2 ) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.2 Test sur la valeur d’un paramètre : la statistique de Student 2.2.3 Test unilatéral sur un coefficient . . . . . . . . . . . . . . . 2.2.4 Test bilatéral sur un coefficient . . .

. . . 225 . 225 . 225 . 227 . 228 . 231 . 233 . 233 . 240 . 246 . 255 CONTENTS 5.4 5.5 5.6 5.7 5.8 ix Que croire? Les contenus des repr´esentations . . . . . . . . . . . . . 5.4.1 Croyances environnementales (χ) . . . . . . . . . . . . . . . 5.4.2 Croyances sociales (σ) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.4.3 Croyances relationnelles (α) . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5.4.4 Croyances personnelles (ω) . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Le

2.2.1 Le contexte 2.2.3 L’Act of Peel 3.Controverses sur l’équilibre monétaire 3.1 Loi de Say et équilibres monétaires 3.1.1 Loi de Say et équilibres monétaires réels 3.1.2 La théorie de fonds prêtables 3.2 L’équilibre monétaire classique sous la loi de Say 3.2.1 L’équilibre monétaire ricardien 3.2.2 L’équilibre monétaire de Walras 3.3 L’équilibre monétaire classique hors loi de Say 3.3.1 Les classiques hors la loi (Malthus et Sismondi) 3.3.2 La dissidence néoclassique (Patinkin et Wicksell) 4. Constitution