Loi sur la mémoire historique

Mémoire et Histoire Définitions Histoire : contenu événementiel, discipline académique, ou forme de conscience collective Mémoire : propriété de conserver des informations et de les restituer Dates 8 Août 1945 : début du procès de Nuremberg (crimes contre l’humanité) Juillet 1995 : discours de Jacques Chirac devant le monument du Vel’d’Hiv reconnaissant la responsabilité de l’état français entre 1940 et 1944 dans la déportation des juifs. Citation  * « L’homme de l’avenir est

de susciter une réflexion plus critique et moins épidermique sur le devoir d’histoire , et le droit de mémoire, - de servir aussi de relais aux polémiques qui animent le débat actuel ( abrogation de la loi du 23 février 2005 sur le rôle positif de la colonisation, loi du 21 mai 2001 sur la traite négrière et l’esclavage, dite loi Taubira, pétitions et poursuites de toutes sortes : historiens, ( l’affaire Pétré Grenouillau), domiens (le

H 1 – L’historien et les mémoires de la Seconde Guerre mondiale. La Seconde Guerre mondiale, compte tenu des événements s’étant déroulés en France entre 1940 et 1945, a donné naissance à différentes visions, différentes mémoires concernant le conflit. Depuis la fin du conflit et avec le travail des historiens, ces mémoires ont évolué. Comment se sont construites les différentes mémoires françaises de la guerre (mémoires de Vichy et de la Résistance, de la déportation et du génocide)

L’Histoire et les mémoires de la guerre d’Algérie Introduction : Histoire et Mémoire Mémoire et histoire sont loin d’être synonymes. * La mémoire est un rapport personnel subjectif au passée à des événements dont on a été témoin ou qui ont été rapportés. Elle peut être collectif : familiales, nationales, de groupes victimaire (de victimes). La mémoire est chargée d’affecte (tristesse, colère, fierté). Elle a un lien fort avec l’éthique, elle instable parfois exacerbé, parfois victime de

Chapitre 1 : L'historien et les mémoires (page 20-21) I. Mémoire et histoire jusqu'aux années 1960 A/ Le Résistancialisme 1) Définition 2) Le consensus résistancialiste 3) Les communistes et les gaullistes au cours du mythe B/ La lente Renaissance de la conscience juive de la libération à la fin des années 1960 1) Mémoire patriotique de la déportation 2) L'attitude des juifs rescapés 3) La renaissance de la conscience juive II. Mémoire et histoire après 1970 A/

BANQUE D’ALGERIE MEMOIRE DE FIN D’ÉTUDES En vue de l’obtention du DIPLÔME SUPERIEUR D’ÉTUDES BANCAIRES g{¢Åx M Value-At-Risk: Outil de risque management (cas de la BNA) Elaboré par : M. BENDJEDDOU Hichem Novembre 2004 6ème promotion Mémoire de fin d’études Value-at-Risk : outil de risk management Introduction générale C ette dernière décennie a été marquée par un ensemble de changements profonds opérés sur la scène économique et financière internationale. Ces changements

particulier pour la période dite contemporaine, s'appuyer sur des témoignages, solliciter la mémoire des acteurs ou des spectateurs des événements. Toutefois, cette trace mémorielle est souvent pas facile à manier car l'empreinte des enjeux sociaux et politiques la rendent subjective. Dès 1962, la mémoire de la guerre d’Algérie a été un enjeux politique qui a plutôt bloqué l'élaboration du récit historique. Du côté français, l'amnésie est de rigueur. Et du côté algérien, en revanche, la guerre d'indépendance

Les Historiens et le Mémoires de la 2nd Guerre Mondiale Rappel : > Bilan humain : 550 000 morts dont 45% civils ( 160000 Déportés, 170000 soldats, 76 000 victimes des chambres à gaz, 40000 STO ) > La France vainqueur ? : régime de vichy... > Mémoires → plusieurs / parfois remisent en question comme JM LE PEN ( donc ces mémoires posent encore des problèmes aujourd'hui malgré le temps écoulé... ) → mémoires évoluent dans le temps, grâce aux travaux des historiens notamment I.

Ce qu'il rajoute en plus : il définie une méthode. C'est-à-dire qu'il ne va garder que les bons témoignages. Donc il vise une certaine exactitude encore plus rigoureuse qu'Herodote. On peut donc voir deux caractéristiques de l'objectivité historique. . 1) L'histoire n'est pas un mythe mais un récit rationnel basé sur des témoignages et sur des informations vérifiées. 2) Le but de cette histoire est de comprendre les faits passés mais aussi tirer des leçons du passé. Comprendre l'être humain

et de démocratie : le général de Gaulle et tous les combattants français au côté des Alliés et dans la Résistance. La mémoire de cette époque troublée est complexe. Le travail des historiens consiste donc à mieux comprendre comment s'organisent ces mémoires, tant individuelles que collectives. L’histoire étudie et tente de comprendre les événements du passé tandis que la mémoire en ravive le souvenir et les préserve de l’oubli. Toutes deux sont donc liées, mais de nature différente. Depuis plusieurs