Longrine

sol (murs enterrés) - contraintes sismiques 6 Résistance au feu - stabilité au feu - degré coupe feu et inflammabilité 7 Jonctions avec les fondations, les planchers, la toiture - liaison avec l’infrastructure (plots, longrines, murs..) - planchers et toiture en appui sur les murs - planchers et toiture dans les murs 8 Dilatation et retrait - type et localisation des joints 9 Baies de portes et de fenêtres - taille, proportion et position

période froide, elle représente une grande surface de déperdition thermique. Dans les bâtiments de logements modernes, la couverture des bâtiments est généralement constituée par une toiture-terrasse dont la structure comprend : - Des hourdis en longrines en béton et blocs creux, ou une dalle de béton armé ; - Une isolation thermique est généralement placée au-dessus de la structure porteuse ; - Une couche d’étanchéité ; - Un béton de forme ; - Une protection superficielle constituée par des

utilisation spécifique des locaux, les joints de dilatation doivent être prévus uniquement pour les dallages non couverts. 5.6.4 Joint d'isolement De type 1, il a pour but de désolidariser le dallage de certains éléments de construction (poteaux, longrines, murs, massifs...) dont les déformations verticales et/ou horizontales diffèrent de celles du dallage. Il règne sur toute l'épaisseur du dallage. NOTE Des joints complémentaires ou des renforts d'armatures doivent être réalisés pour limiter la

765 2.5.2 Acier à haute adhérence (AHA) kg 1 119 895 2.6 COFFRAGE 0 2.6.1 Coffrage en fondation et en infrastructure 0 2.6.1.1 Coffrage de semelles m² 3 221 2 577 2.6.1.2 Coffrage de chaînages et longrines m² 3 221 2 577 2.6.1.3 Coffrage pour amorce de poteaux noyés m² 3 221 2 577 2.6.1.4 Coffrage pour amorce de poteaux isolés m² 3 915 3 132 2.6.1.5 Coffrage pour banchage m² 4 343 3 475 2.6.2 Coffrage en superstructure

semelles filantes : 30 kg moyenne ; semelles isolées : 50 kg moyenne ; chaînages bas : 70 kg moyenne (avec des aciers longitudinaux Ø8 et des aciers transversaux Ø6 avec un espacement des cadres e = 20 cm) ; poteaux : 90 kg moyenne ; poutres et longrines : 110 kg moyenne ; chaînages hauts : 70 kg moyenne (avec des aciers longitudinaux Ø8 et des aciers transversaux Ø6 avec un espacement des cadres e = 20 cm) ; acrotères en béton armé : 40 kg moyenne ; dalles pleines de 15 cm : 90 kg moyenne ; voiles

e e t d é v e l o p p e m e n t . De ux cents ans avant la locomotive, le rail était né. Dès le début du XVII e siècle, les mines de Newcastle utilisaient des chariots dont les roues, munies d’un rebord, roulaient sur des longrines de bois, fixées sur des traverses. Ces longrines furent ensuite p r o t é g é e s contre l’usure par des plaques de métal. C’était une préfiguration du rail. Quant à la locomotive, elle remonte aux premières années du XIX e siècle. En 1671, Denis Papin avait découvert la

prix ...........................................N°200-05 200-06 Béton pour B.A en fondation y / compris Fourniture et façonnage d’acier Tor Béton exécuté en B3compris toutes sujétions prévues aux généralités, concerne les semelles, poteaux, longrines, chaînages et voiles etc… Ouvrage payé au mètre cube au prix……………………………………..…N°200-06 200-07 Herrissonage en pierres sèches Les formes sur terre – pleine seront fondées sur un blocage de pierres sèches de 0.20m d’épaisseur. Les pierres seront

protection contre les chutes de pierres ; ➢ passages à niveau, y compris les installations destinées à assurer la sécurité de la circulation routière ; ➢ superstructure de la voie ferrée, notamment : rails et contre-rails ; traverses et longrines, petit matériel d'assemblage, ballast, y compris gravillon et sable ; appareils de voie ; ➢ chaussées des cours à voyageurs et marchandises, y compris les accès par route ; ➢ installations de sécurité, de signalisation et de communication

Paroi moulée = appui linéaire élastique avec une rigidité de 500MN/m² suivant l’axe vertical Y et suivant les axes X et Z translation de 1020 MN/m² pour rigidifier la structure Le choix de ne pas tenir compte de la longrine et donc de ne pas la modéliser a été fait, car cette longrine ne serait pas déterminante pour le dimensionnement des pieux. 4.4. Cas de charges réalisés pour le dimensionnement des pieux Les cas de charges ont été choisis à l’aide du Fascicule n°62 - Titre V [3], l’article

les effets du trafic ne sont pas les seuls à provoquer l’usure et la détérioration des joints. Par exemple, la tenue aux cycles de gel/dégel, et aux sels antiverglas du béton sur lequel ils sont fixés n’est pas toujours parfaite. Les désordres des longrines d’appui compromettent la tenue du joint lui-même, voire de ses abords immédiats, par suite de défauts de nivellement. 2. Méthodes d’auscultation des ponts Les techniques d’auscultation diffèrent suivant la nature des désordres constatés, mais