Lothaire II de Lotharingie

plus tard. En raison de son incapacité à soumettre l'envahisseur, les grands du royaume, ayant à leur tête Robert le Fort, se rebellent contre Charles et demandent l'aide de son frère Louis II de Germanie. Au cours de l'automne 858, tandis que Charles II assiége l'île d'Oscelle occupée par des Vikings, Louis II quitte Worms et envahit le royaume de Charles[13]. Il reçoit l'hommage des Aquitains, de la plupart des vassaux de la couronne et d'une faible minorité de prélats sous l'autorité de l'archevêque

de Fulda relatent cet évènement d'une manière concise et imprécise. À la mort de Louis le Pieux, en 840 son fils aîné Lothaire s'arroge sa succession. Ses deux cadets, Louis le Germanique et Charles le Chauve, s'allient et battent leur frère et demi-frère aîné à la bataille de Fontenoy-en-Puisaye en 841. En 842 ils renforcent leur alliance par le Serment de Strasbourg. Lothaire finit par céder et signe avec ses frères le traité de Verdun[4]. En août 843[5], par le traité dit de Verdun, les trois

déterminé tout le destin de l'Europe. En effet, par suite de la faiblesse de nos derniers Carolingiens puis de nos premiers Capétiens, les rois de Germanie purent annexer sans grande difficulté toute la fameuse zone médiane, à savoir en 880, la Lotharingie, puis en 1034, le royaume d'Arles, sans parler de l'Italie que leur livrait juridiquement leur accession au trône impérial ». Ce que veut dire René Grousset (est un historien français, spécialiste de l'Asie, et membre de l'Académie française) à

siècle) : lors d’une assemblée à Strasbourg Charles le Chauve et Louis le Germanique s’allient contre Lothaire qui veut le pouvoir pour lui tout seul. Ils prêtent serment l’un envers l’autre. Traité de Verdun : il partage l’empire carolingien entre les 3 fils de Louis le Pieu (Fils de Charlemagne). Francie Occidentale : Charles le Chauve. Francie orientale : Louis le Germanique. Francie Médiane : Lothaire. Bataille du Lechfeld (955-Xe siècle) : Otton Ier (Un saxon, non un carolingien) bat les Hongrois

de l’empire de Louis Le Pieux entre ses trois fils : Pépin, Lothaire et Louis, issus de son premier mariage avec l’impératrice HERMENGARDE. Ce principe du partage avait été accepté jusqu’à ce que JUDITH DE BAVIERE, sa deuxième femme, réclame une part pour son rejeton (Charles). S’en suivit une série de guerres et querelles, allant même jusqu’à la déposition temporaire de Louis Le Pieux par ses fils le 30 juin 833. A sa mort en 840, Lothaire (l’aîné) s’empare du titre impérial, en face, il y a le jeune

fil ainé de Clotaire II qui le fait roi d’austrasie en 622 a la mort de son père il se fit reconnaitre roi de Neustrie mais du abandonner l’aquitaine a son frère. Mais lorsque celui-ci mourut, il reconstitua l’unité du royaume franc. Il fut le dernier merovingien a exercé personnellement le pouvoir entouré de conseillers de qualité ( st Ouen et st Eloi ). Il dut l’indépendance de l’Austrasie en 634 et placé a sa tête son fils ainé Sigebert. Avant de mourir, il assura a Clovis II, la Neustrie et la

des opposants dont le plus sérieux fut l'archevêque de Reims Foulque qui proposa la candidature de Guy de Spolete. Mais celui-ci retourne vite en Italie. D'autres, surtout des évêques de la province ecclésiastique de Reims, mais aussi le comte Baudoin II de Flandre ne désarment pas tout de suite et proposent la couronne occidentale à Arnulf qui les éconduit. Il faut compter aussi avec les autres grands : Richard le Justicier dans la partie occidentale de la Bourgogne intégrée au royaume de Francie

Childéric en 482) et le goth Alaric II accèdent à la royauté. 508 561 . Baptême de Clovis . Mort de Clotaire 1er et partage de son royaume entre ses quatre fils 591/2-615 594 ` 612-629 629-639 Règne de Clotaire II Règne de Dagobert 1er 687 .Séjour de l’irlandais Colomban sur le continent . Mort de Grégoire de Tours . Pépin II de Herstal est maire du palais d’Austrasie et de Neustrie 711 . Musulmans envahissent la péninsule ibérique 714 721 . Mort de Pépin II . Victoire d’Eudes à Toulouse face

pour parfaire ses connaissances en logique, Gerbert rejoint Reims, un des plus grands centres d’études d’Occident, où siège, depuis 969, l’archevêque Adalbéron. Ce dernier est lui aussi un fidèle des Ottoniens : il est issu d’une grande famille de Lotharingie (future Lorraine), le berceau du pouvoir carolingien, le c½ur de l’empire de Charlemagne. Adalbéron ne tarde pas à confier au brillant mathématicien la direction de l’école cathédrale, qui va devenir l’un des centres de la culture de la fin du xe

relatent cet évènement, de manière malheureusement concise et imprécise. Cet ouvrage est la production de deux membres du clergé. Prudence, évêque de Troyes, commence à rédiger de 829 à 861 puis Hincmar ( conseiller de Charles, va le sacrer roi de Lotharingie en 869 à Metz) , archevêque de Reims, continue la rédaction de cette œuvre jusqu’en 882. Traité de Verdun Aout 843 : Dimension historique : Il est souvent présenté comme le début de la dissolution de l'empire unitaire de Charlemagne,