Lotharingie

déterminé tout le destin de l'Europe. En effet, par suite de la faiblesse de nos derniers Carolingiens puis de nos premiers Capétiens, les rois de Germanie purent annexer sans grande difficulté toute la fameuse zone médiane, à savoir en 880, la Lotharingie, puis en 1034, le royaume d'Arles, sans parler de l'Italie que leur livrait juridiquement leur accession au trône impérial ». Ce que veut dire René Grousset (est un historien français, spécialiste de l'Asie, et membre de l'Académie française) à

couronnement, très riche. Le symbole le plus marquant, est celui du lieu. Il s'agit d'Aix la Chapelle (ligne 4 « palais d'Aix la Chapelle »), située en Lotharingie et appartenant donc au royaume de Francie orientale depuis 925 (date à laquelle Henri Ier repousse les frontières du royaume vers l'ouest en récupérant à Charles le Simple la Lotharingie). Aix la Chapelle, n'était autre que la résidence de l'empereur Charlemagne, en quelque sorte sa « capitale », il y est également enterré dans la basilique

grande difficulté toute la fameuse zone médiane, à savoir en 880, la Lotharingie, puis en 1034, le royaume d'Arles, sans parler de l'Italie que leur livrait juridiquement leur accession au trône impérial » — René Grousset La Francie médiane disparaît rapidement. Dès 855, par le traité de Prüm, elle est partagée entre les trois fils de l'empereur : Louis II a la partie sud, le royaume d'Italie, Lothaire II a la Lotharingie partie nord et Charles le centre, le royaume de Provence. À la mort

tardivement par lesHistoires de Richer de Reims. Une fois au pouvoir, Louis d'Outremer souhaite s'éloigner de Hugues le Grand devenu duc des Francs et seconde personnalité du royaume après le roi. Dans un premier temps il se lance à la conquête de la Lotharingie(939). Cette expédition est un échec et son beau-frère Otton Ier ne tarde pas à le soumettre en assiégeant la cité de Reims(940). Dans un second temps, après la mort du comte des Normands Guillaume Longue Epée, Louis IV tente de prendre à son compte

pour parfaire ses connaissances en logique, Gerbert rejoint Reims, un des plus grands centres d’études d’Occident, où siège, depuis 969, l’archevêque Adalbéron. Ce dernier est lui aussi un fidèle des Ottoniens : il est issu d’une grande famille de Lotharingie (future Lorraine), le berceau du pouvoir carolingien, le c½ur de l’empire de Charlemagne. Adalbéron ne tarde pas à confier au brillant mathématicien la direction de l’école cathédrale, qui va devenir l’un des centres de la culture de la fin du xe

l'Empire à Verdun. Séparation en 3 ensembles : Charles le Chauve reçoit la partie Ouest du royaume de France, Lothaire reçoit la partie centrale (la Lotharingie) et enfin Louis le Germanique reçoit la partie la plus orientale (la Germanie ou Francie orientale). Et on prend l'habitude de considérer que celui qui détient l'Italie, donc la Lotharingie est empereur (car c'est le pape qui sacre). Donc le premier couronné empereur au moment du partage, c'est Lothaire. Au début de notré période, en 885

secoli XI e XII, Milano, 1962, I,p. 19-40. P. Nightingale, ''Monasteries ans Patrons in the Gorze Reform. Lotharingia vers 850-1000, Oxford, 2001. M. Pacaut, ''L'ordre de Cluny'', 909-1789, Paris, 1986. Michel Parisse, ''Noblesse et monastères en Lotharingie du IXe au XIe siècle'' dans R. Kottje et H. Maurer édition, ''Monastiche Reformen'' im 9. und 10. Jahrundert, Sigmaringen, 1989, p. 167-196. B. Rosenwein, T. Head et S. Farmer, ''Monks and their enemies. A Comparative approach'', dans speculum

la Germanie impériale, dans les années 1107-1111. Le renouveau monastique qui marque la fin du XIe et le XIIe siècle ne fait pas partie du sujet. Sur le plan géographique, la question concerne les royaumes de France et de Germanie, donc aussi la Lotharingie (conquise par le roi de Germanie en 925) et le royaume de Bourgogne-Provence (acquis par le roi de Germanie en 1033). Notez bien que l’Italie est exclue du sujet, alors qu’elle fait partie de l’empire germanique et qu’elle joue un rôle important

dorénavant on élit le roi. Charles le Gros est le dernier empereur à régner sur l’Empire Carolingiens et est deposé en 887. L’Empire Carolingien a définitivement céder la place à des royaumes : Francie Germanie Provence Italie Bourgogne Lotharingie (future Lorraine) On s’est apperçus que ceux qui avaient assurer la defense n’etaient pas forcement des carolingien comme Boson ou Eudes, conte de Paris élu roi de Francie en 888 issus de la famille de Robert le Fort, qui vont s’appeler les Robertiens

Neustrie (frère du défunt Eudes) chef théorique de la région contraint de céder Rouen au chef viking. La tentation lotharingienne Charles le simple qui a réussi à marquer des points en Francie occidentale, entreprend alors de recouvrer la Lotharingie. Seul carolingien régnant il estime naturel de réclamer l'héritage Lotharingien, d'autant que ses assises en Francie occidentale sont frontalières des terres de l'ancien royaume central. Pour cela Charles le simple est obligé d'en passer par l’alliance