Lotophages

chez des voisins, et doivent s'enfuir à la hâte. De là, une tempête les fait dériver pendant trois jours, puis le temps se calme ; mais, lorsqu'ils parviennent à hauteur du cap Malée, des vents contraires les déroutent de nouveau, jusqu'au pays des Lotophages, probablement dans une partie inconnue du monde. Ce peuple d'une grande hospitalité les accueille et leur offre leur nourriture : le lotos. Mais quiconque mange de ce fruit ne désire plus repartir, et Ulysse doit ramener de force aux navires ceux

Lʼordre linéaire du schéma narratif est-il conservé ? Complétez le tableau des aventures dʼUlysse avant et après son récit : La chronologie et la situation de communication dans L’Odyssée Lʼassemblée Des Dieux Les Kikones (IX) Calypso Les Lotophages (IX) Tempête Cyclope Polyphème (IX) Nausicaa La bienveillance dʼEole Récit d’Ulysse Lestrygons Circé Les enfers Retour à Ithaque Les Sirènes La reconnaissance dʼUlysse par Télémaque Charybde et Scylla Lʼépreuve du tir à lʼarc

(vers 129) ce qui, après un autre enjambement de strophe à strophe, se révèle être «Le Lotus parfumé», souvenir de l’‘’Odyssée’’ (IX) où, ayant goûté au lotus, les compagnons d'Ulysse oubliaient leur patrie, et ne voulaient plus quitter le pays des Lotophages. Ces voix nous invitent encore à de magnifiques vendanges puisqu’on y trouve «Les fruits miraculeux dont votre cœur a faim», ce qui répond au «vaste appétit» de l’enfant (vers 2). Elles nous invitent enfin à nous «enivrer» (voir ‘’Enivrez-vous’’

l'immortalité: Incarné par la proposition de Calypso: lui propose de rester jeune et beau => Il refuse. - Tentation du plaisir amoureux: Incarné par la magicienne Circé => Refus - L'oublie: le loto-plante qui vous fais oublié: pays habité par des Lotophages. - La jouissance perpétuelle => Sirène( oiseau) => leur chant leur procure un plaisir fou. 3 significations à ses différentes épreuves: 1) Signification divertissante 2) Signification morale pour les grecs ( condamnation de la démesure: hubris)

chez des voisins, et doivent s'enfuir à la hâte. De là, une tempête les fait dériver pendant trois jours, puis le temps se calme ; mais, lorsqu'ils parviennent à hauteur du cap Malée, des vents contraires les déroutent de nouveau, jusqu'au pays des Lotophages, probablement dans une partie inconnue du monde. Ce peuple d'une grande hospitalité les accueille et leur offre leur nourriture : le lotos. Mais quiconque mange de ce fruit ne désire plus repartir, et Ulysse doit ramener de force aux navires ceux

chez des voisins, et doivent s'enfuir à la hâte. De là, une tempête les fait dériver pendant trois jours, puis le temps se calme ; mais, lorsqu'ils parviennent à hauteur du cap Malée, des vents contraires les déroutent de nouveau, jusqu'au pays des Lotophages, probablement dans une partie inconnue du monde. Ce peuple d'une grande hospitalité les accueille et leur offre leur nourriture : le lotos. Mais quiconque mange de ce fruit ne désire plus repartir, et Ulysse doit ramener de force aux navires ceux

chez des voisins, et doivent s'enfuir à la hâte. De là, une tempête les fait dériver pendant trois jours, puis le temps se calme ; mais, lorsqu'ils parviennent à hauteur du cap Malée, des vents contraires les déroutent de nouveau, jusqu'au pays des Lotophages, probablement dans une partie inconnue du monde. Ce peuple d'une grande hospitalité les accueille et leur offre leur nourriture : le lotos. Mais quiconque mange de ce fruit ne désire plus repartir, et Ulysse doit ramener de force aux navires ceux

minutes avant de retourner au coffre et de me laver les pieds dans la mare qui clapotait auprès de la margelle. Pendant que je me massais les orteils, mon père vint s’asseoir à ma droite. — Alors, mon fils, te voilà séjournant chez les Lotophages ? — Les quoi ? — Les Lotophages. — Tu ne peux pas parler comme tout le monde ? — Non, j’évite. — Ça ne te gêne pas de ne pas être compris du premier coup ? — Ça m’enchante. Repérer l’imbécile, détecter l’ignare, traquer le médiocre a toujours constitué un de mes

chez des voisins, et doivent s'enfuir à la hâte. De là, une tempête les fait dériver pendant trois jours, puis le temps se calme ; mais, lorsqu'ils parviennent à hauteur du cap Malée, des vents contraires les déroutent de nouveau, jusqu'au pays des Lotophages, probablement dans une partie inconnue du monde. Ce peuple d'une grande hospitalité les accueille et leur offre leur nourriture : le lotos. Mais quiconque mange de ce fruit ne désire plus repartir, et Ulysse doit ramener de force aux navires ceux

larmes, ce qui attise la curiosité des Phéaciens qui lui demandent avec insistance son identité (VIII). Chants IX à XII Ulysse commence le récit de ses aventures. Il énumère ses escales : pillage et bataille chez les Cicones, arrêt chez les Lotophages où les marins gouttent la fleur de l'oubli, puis arrivée au pays des Cyclopes. Ulysse rencontre Polyphème auquel il échappe grâce à ses ruses. Polyphème, dont l'unique œil a été mutilé, maudit Ulysse en implorant son père Poséidon (IX). Ulysse fait