Loudun

vient de plus loin, inattendue ; elle brise des clôtures ; elle déborde les canalisations sociales ; elle s’ouvre des chemins qui laisseront après son passage, quand le flux se sera retiré, un autre paysage et un ordre différent. » (La possession de Loudun, présentée par M. de Certeau, coll. Archives, n° 37, éd. Julliard, 1970, p. 7) Cette évocation saisissante de quelque chose d’inconnu et d’insaisissable qui surgit, - « force à l’affût » qui, montée de ses secrètes profondeurs, ébranle la tranquillité

Joséphine Philippine Davaillaud à Loudun (Poitou-Charentes). Après la mort d'un premier mari, elle se remarie le 12 août 1928 avec Léon Besnard et devient ainsi Marie Besnard. L'Affaire : Léon Besnard meurt le 25 octobre 1947. Malheureusement pour Marie Besnard, quelques jours avant sa mort, son mari aurait confié à une de leur amie Louise Pintou que sa femme a versé un liquide étrange dans sa soupe. Après sa mort, la rumeur se répand dans la petite ville de Loudun (de 8000 habitants à l'époque)

Données stablesALEXANDRE PAUL ESI 1ER année -IFSI AMBOISEDEMARCHE DE SOIN CLINIQUE N°1 STAGE DU 18.10.2021 au 19.11.2021 Nom : Mr A Sexe : Masculin Age : 31 ans Lieu d’habitation : Centre pour migrants à Loudun Nationalité : Nigérienne (anglophone) Prise en charge financière : Il touche la CMU (230€/mois) Situation Familiale : Célibataire Personne de confiance : NR Personne à prévenir : NR Macro-cible entréeMotif entrée : Entré le 08/10/2021 pour cirrhose

fragile. Il décède en 1927, à 29 ans de la tuberculose laissant sa femme dans une très grande tristesse. Le 12 août 1928, elle épouse Léon Besnard à Loudun et découvre rapidement les relations tumultueuses de la famille Besnard. Les empoisonnements : Le 25 octobre 1947, Léon Besnard, le second mari de Marie Besnard, meurt d’une crise d’urémie à Loudun. Cette mort aurait pu rester sans suite si le défunt n’avait pas confié à un proche, quelques jours avant sa mort, avoir surpris sa femme lui servir

Besnard, à Loudun, petite ville de province, en 1947. Son mari va mourir brutalement le 25 octobre 1947, et elle va être accusée de l’avoir empoisonnée suite à la confidence faire de Me Pintou, amie du couple. Cette dernière fera cette confidence quelques jours après la mort de M. Besnard à un ami, M. Massip. Celui-ci va le 4 novembre 1947, en informer le juge d’instruction de Loudun. Peu à peu, la rumeur va saisir la ville. Me Besnard est alors surnommée « l’empoisonneuse de Loudun ». La rumeur

lumière ou l’esprit des ténèbres ? Michel de Certeau étudiant des cas de possession du monastère de Loudun en France, au XVIIe siècle, montre le glissement qui s’est opéré dans la mentalité des esprits éclairés de l’époque entre la sorcellerie, phénomène maléfique par excellence, et possession, au point que les deux manifestations du mal se succédaient. (M. de Certeau, la possession de Loudun, Gallimard/Julliard, 1980, pp 10 et 11) Puisque c’est le diable qui possède les religieuses, il ne peut

était situé sur la rive gauche de la Vena, en face de l'église appelée aujourd'hui San Lesmes. Il fut confié en 1091 par Alphonse VI (v.1040-1109) aux bénédictins dela Chaise-Dieu. Son premier prieur fut San Lesmes, en français Saint Aleaume, de Loudun. Du monastère, il ne restent aujourd'hui que le cloître et la salle capitulaire tous deux de style Renaissance. Ses belles ruines ont été rénovées pour abriter un musée Marceliano Santamaria, réunissant cent cinquante toiles de ce peintre de Burgos

plantation, agrafes. Colomat Clôtures, ciment, bois rond (tuteur) Marot loudun Gravier, sable Terrena Produit chimiques Pépinière de la classe à Thouars Arbres, fleur , végétaux MAS vaonnaise Réparations d'outils (pièces) Gam vert Grillage, pavés, pots, plants de légumes Pépinières ripaud (vendé) végétaux Activités de l'entreprise: L'activité de l'entreprise sur trouve sur un rayon de 45 kms aux alentours de LOUDUN, la majorité des activités se trouve le plus souvent dans un rayon

(1965-1966) De natura sonoris no 1 (1966) Dies Irae (1967) - en mémoire des victimes d'Auschwitz Concerto pour violoncelle et orchestre no 1 et 2 (1967-1972) Capriccio pour violon et orchestre (1967) Quatuor à cordes no 2 Die Teufel von Loudun (Les Diables de Loudun), opéra (1969) Canticum canticorum salomonis (1970) Utrenja (1970-1971) De natura sonoris no 2 (1971) Partita pour clavecin, guitare électrique, guitare basse, contrebasse et orchestre (1971, révisé en 1991) Symphonie no 1 (1973)

guérison. Dans son ouvrage Les invasions mystiques, Sophie Houdart déclare que Surin ne cesse de rappeler, dans sa correspondance avec Jeanne des Anges, « qu'il ne faut pas oublier ce qui s'est passé à Loudun, et d'affirmer que les anciennes religieuses doivent cultiver chez les jeunes ursulines de Loudun la mémoire de la possession »[12]. Ceci le positionne donc dans la lignée de Polybe ou François de Rosset, qui prônent l'enseignement du passé afin d'en tirer des leçons. Ainsi, au XVIIe siècle,