Loudun

Chaumont et ses hôtes, et enfin, à nommer Henri d’Effiat qui vient faire ses adieux à sa famille : « Toute l’escorte partit et, cinq jours après, entra dans la vieille cité de Loudun en Poitou, silencieusement et sans événement »3. Ce n’est qu’une étape – où il y aura un épisode important mais satellite, celui du couvent de Loudun – sur la route qui le mènera à Paris et à la cour. C’est par un procédé similaire que l’on entre dans La Chronique du règne de Charles IX : grâce à la formidable description

rejoindre Louis XIII au siège de Perpignan, le jeune Henri d'Effiat, marquis de Cinq-Mars, vient faire ses adieux à sa famille et jurer à la princesse Marie de Gonzague qu'elle sera à lui, sinon, dit-il, «ma tête tombera sur l'échafaud ». En passant par Loudun, il apprend que son ami l'abbé Quillet est inculpé dans une affaire de magie par M. de Laubardemont, un fidèle de Richelieu. Cinq-Mars, au cours d'un procès houleux, accuse le magistrat de scélératesse (chapitres I-VII). Pendant ce temps, à Narbonne

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. Son jury est composé de dix membres qui se recrutent par cooptation et assurent la présidence du Prix chacun leur tour, d'année en année. Un Prix Renaudot des Lycéens fondé par l'association "Les Amis de Théophraste Renaudot", sise au Musée de Loudun a été fondé en 1992. Purement honorifique, il est proclamé le même jour que le prix parisien. Un Prix Renaudot catégorie Essai est également décerné depuis 1996. Sans dotation, le prix Renaudot se veut une sorte d'anti-Goncourt. On considère

sociétés dont il n’était pas l’empereur. Sa générosité à su faire de lui un grand homme. Il devait certainement être le seul à faire des donations à son vassal, au comte d’Anjou Foulque à qui il accorde plusieurs places fortes, que ce soit le Château de Loudun ou autre. Même si l’Aquitaine à la chance d’avoir à la tête de son pouvoir un homme qui possède une réputation exemplaire, celui-ci est tout de même formé de divers problèmes, des complexités multiples. C’est ce que nous allons à présent étudier

l'édit). Clauses politiques et militaires : les protestants obtiennent une organisation politique et militaire et une centaine de places de sûreté, c'est le roi qui paie les garnisons de ces villes. Parmi les places de sûreté on trouve La Rochelle, Loudun, Mantes, Montauban, Montpellier, Nîmes, Saint-Jean-d'Angély, Saumur et Uzès. A cela se rajoute un grand nombre de clauses particulières (certaines sont mêmes secrètes). Elles portent essentiellement sur les concessions aux princes ou aux villes

d'Astaroth dans la rubrique Images. ATTUKU Démon qui, suivant une antique tradition Babylonienne le pouvoir de déchaîner les tempêtes et les ouragans à l'expresse demande des magiciens. AUSITIF Démon peu connu, qui est cité dans la possession de Loudun en 1643. AVERSIER Désigne au XI eme siècle le diable, on le rends responsable de tous les malheurs se produisant dans les campagnes. AZAEL L'un des anges rebelles qui se révoltèrent contre Dieu. Les rabbins disent qu'il est enchaîné sur des

politiques. - De 1610 à 1629, les protestants et le pouvoir royal sont aux prises, les uns pour maintenir leurs privilèges politiques, l’autre pour les anéantir. La reine mère, Marie de Médicis, nièce de cardinaux, renouvela en 1616, par le traité de Loudun, l’octroi de des places de sûreté. En 1617, l’assemblé général du clergé exprima le vœu que les biens d’Eglise du Béarn soient restitués aux catholiques. Mais en 1620 Louis XIII déféra à ce vœu. Le 25 Décembre, une assemblée générale des réformés

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