Louis-Armand de Lom d'Arce

Dialogues de Monsieur le Baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique a été écrit au début du dix-huitième siècle qui a reçu le nom du siècle des « Lumières » particulièrement en France. Le progrès dans l’atmosphère d’économie et un engouement pour les sciences dans cette époque-là ont amené toutes sortes d’inventions et de découvertes qui ont touché profondément les valeurs de la société. Ce siècle est marqué par le mouvement culturel et philosophique qui favorise l’argument de l’usage de la

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Le sauvage n’est pas décrit de la même façon dans les deux textes |Argument principal 1 | | (Ressemblances) Dans les deux textes, les «sauvages» ont une grande ouverture d’esprit fasse à la culture. | |Sous-argument 1.1 |Sous-argument

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Non, dans les deux textes de Cartier et de Lahontan, les Français ne sont pas présentés de la même façon. Argument principal 1 À première vue, on remarque que les deux textes se conforment sur le point de supériorité des Français à l’égard des Amérindiens. Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2 Dans l’extrait de Jacques Cartier, la supériorité des Français est évoquée par le complexe d’infériorité chez les Amérindiens. dans l’extrait de

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Non, malgré certaines ressemblances, la représentation du « sauvage » est très différente entre Cartier et Lahontan. |Argument principal 1 | |     Les deux hommes veulent, tous les deux, documenter les coutumes et habitudes de vies des amérindiens. Ils veulent transmettre aux | |Européens ces informations qui se

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Oui. Dans les deux textes à l’étude, la présentation des Français est davantage semblable que différente. |Argument principal 1 | |      Dans les extraits présentés, Jacques Cartier et le baron de Lahontan présentent les Français comme étant un peuple matérialiste. | |Sous-argument 1.1

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Le « sauvage » n’est pas présenté de façon similaire par les deux auteurs. Cartier tente de nous montrer le « sauvage » comme un être dominé. Tandis que chez Lahontan, cette relation dominé/dominant n’est pas présente dans le texte, on le perçoit plutôt supérieur à l’homme blanc. Par contre, les deux auteurs tentent de dénaturer le « sauvage », de l’assimiler. |Argument principal 1

Quelques conseils avant de réaliser votre devoir 1 Avant de procéder à votre premier devoir, qui portera sur des extraits des textes Récits de voyage, de Jacques Cartier, et de Dialogues de Monsieur le baron de Lahontan et d’un Sauvage dans l’Amérique, de Lahontan, vous devez lire le chapitre 1, « Une identité en construction : la littérature des origines », dans le Texte de cours. Ce chapitre est divisé en quatre sections : 1. Les écrits de la Nouvelle-France (1534-1763) : une identité en construction ;

Certains Québécois les respectent puisque nous sommes sur leur territoire. D’autres les détestent et les trouvent paresseux. Le fait de partager ou de ne pas partager une opinion ne date pas d’hier. Prenons pour exemple Jacques Cartier et Louis-Armand de Lon d’Arce de Lahontan, tous deux voyageurs européens ayant séjourné au Canada. Ils ont tous les deux côtoyé des Amérindiens, qu’ils appelaient «sauvages». Jacques Cartier nous en parle dans son texte «voyage (1534) » alors que le baron de Lahontan

|autochtone en donnant des exemples de richesse de la France. | Étape 2 : Rédaction de l’introduction À l’époque, les Français cherchaient à comprendre les peuples autochtones, anciennement appelé les «Sauvages». Jacques Cartier et Louis Armand de Lom d’Acre sont deux voyageurs ayant eu de multiples approches avec des Amérindiens. Dans les deux cas, il y a eu des échanges linguistiques entre les Français et les Indigènes. Dans les lignes qui suivent, nous verrons la façon dont les Français

Étape 1 : Plan comparatif du développement Point de vue : Non. Malgré que les deux extraits traitent du Français comme étant un être supérieur, ceux-ci diffèrent tend à la manière d’approche que les Français ont à l’égard du sauvage. Argument principal 1 À première vue, le Français est représenté d’une façon similaire, puisqu’il est lié dans les deux extraits à la supériorité qu’il a sur le Sauvage. Sous-argument 1.1 Sous-argument 1.2 Dans Voyages en Nouvelle-France, la ruse utilisée par le Français