Louis-Philippe Ier

aristocratie confrontée aux affaires du royaume depuis la Régence. Depuis la mort de Louis XIV en 1715, suivie de la Régence confiée à Philippe, duc d’Orléans, une coterie s’était organisée autour de la branche d’Orléans une opposition à l’absolutisme qui réunit alors de grands aristocrates. Le courant « orléaniste » se développa face à la royauté, puis s'estompa. Durant la Révolution de 1789, le duc d’Orléans, Philippe Égalité, fut même pressenti par certains (Mirabeau, Sieyès, Choderlos de Laclos)

Louis-Philippe : roi des « barricades » ou roi « bourgeois » ? Dans l’imaginaire national, Louis-Philippe figure tout au plus au rang de poire. Qu’elle soit molle, gâtée ou véreuse, toutes les déclinaisons en ont été données par le crayon acerbe des caricaturistes de son temps. Or la violence de cette charge révèle au fond toute la nouveauté de la monarchie de Juillet : née des barricades, elle a elle-même crée les conditions de sa propre critique. A ce titre, Louis-Philippe 1er (1830-1848) occupe

actualités cinématographiques de l'histoire, par les frères Lumière     5)  Les avancées scientifiques   1815 : Gay-Lussac découvre l’acide cyanhydrique    8 aout 1816 : ordonnance royale sur la publication d’un nouveau code pharmaceutique   1818 : Louis Jacques Thénard découvre l’eau oxygénée   1820 : André-Marie Ampère explique les principes de l’électromagnétisme   1829 : ordonnance royale organisant l’Académie de Médecine   1832 : premier cas et épidémie de choléra décelé à Paris et dans toute

ayant pour but de figer sous forme d’image une scène de la vie quotidienne en 1826 et réalise l’image « Point de vue du Gras » qui est considéré comme la première photographie en raison de sa stabilité, avant de mourir en 1833. l’artiste français Louis Daguerre, avec qui il communiquait activement au sujet de ses projets et de ses expériences. Ce dernier va, en 1839, présenter son « daguerréotype »,appareil constitué d’une chambre noire montée sur un trépied. Cette invention rend l’art de la photographie

en France de 1793 à 1795. Celle-ci se solde par un échec car elle est marquée par la terreur menée par Robespierre. A partir de 1830, une monarchie conservatrice est proclamée, à sa tête Louis-Philippe, duc d’Orléans , succède à Charles X. C’est dans un contexte politique difficile et sensible que Louis-Philippe Ier est contraint d’accepter une constitution dictée par les bourgeois. Les grands principes de cette constitution résident dans l’élection du Roi par les Français et non plus par la grâce

sur cahier avec la frise chronologique B/ Louis XVIII face aux oppositions Pendant son règne, Louis XVIII doit maintenir un équilibre entre les 3 grands courants politiques (ce sont des idées, et les personnes ayant les mêmes idées qui se rejoignent dans des courants politiques). Ce sont: -les Ultras (royalistes) qui sont pour la monarchie absolue (des anciens nobles, et des membres du clergé). -les Constitutionnels qui sont pour le régime de Louis XVIII (bourgeois), ils sont donc pour la monarchie

l’Europe au fur et à mesure de ses conquêtes. Il récompense aussi ses officiers victorieux en les faisant barons, comtes, ducs…Mais l’empereur n’a pas d’héritier. En 1809, il se sépare de Joséphine, avec qui il ne peut avoir d’enfant, pour épouser Marie-Louise, fille de l’empereur d’Autriche. En 1811, celle-ci lui donne un fils, proclamé « roi de Rome ». L’empereur veut tout diriger, tout contrôler, et supporte mal la critique. La police arrête les opposants. La presse et l’imprimerie sont étroitement surveillées

 La France de 1814 à 1914 La Restauration : 1814-1830 I - Le retour de Louis XVIII Après la chute de Napoléon en 1815, puis son exil à Ste-Hélène, Louis XVIII redevient roi de France, après avoir accepté de faire une Constitution (la Charte). Durant les années 1815-1816, des massacres de révolutionnaires et de Bonapartistes se produisent : c'est la Terreur Blanche. La Charte établit une monarchie constitutionnelle. Le Parlement est constitué de 2 assemblées : la Chambres des députés, dont

Ferdinand-Victor-Eugène Delacroix (né à Charenton-Saint Maurice le 26 avril 1798 - mort le 13 août 1863 à Paris). Son père avait été député à la Convention pendant la Révolution et avait voté la mort du roi. Mais surtout était un partisan de Napoléon Ier. Les frères de Delacroix ont combattu dans les armées impériales. C’est un admirateur de l’Empereur. Dès son adolescence montre des dispositions pour l’art en général (il était très attiré par la musique). En 1815, il rentre dans un atelier de peinture

Sorti de l'École royale du génie de Mézières, il est nommé dans différentes garnisons, dont Mont-Dauphin, où il exerce ses talents de Don Juan4. En garnison à Strasbourg à partir du 1er mai 1791, au début de la Révolution, il fait la connaissance de Philippe-Frédéric de Dietrich, maire de Strasbourg, dans une loge maçonnique. À la demande de celui-ci, il compose plusieurs chants patriotiques, dont : l'Hymne à la Liberté pour la fête de la Constitution célébrée à Strasbourg le 25 septembre 1791, dont