Louis Xviii Un Monarque éclairé

pas apprendre la vérité des choses. Ce n'est pas avec la censure qu'on développe l'esprit critique. Il est d’usage en histoire littéraire de désigner chaque grande periode par une expression qui en résume la principale caractéristique . Ainsi le XVIII siècle est connu comme « siècle des lumières » Ce terme imagé évoque à la fois un idéal intellectual et un engagement . il s’agit de connaître tous les domaines de la réalité , en ne se fiant qu’à la raison. Ces nouvelles « lumières » de l’esprit doivent

des formes de gvt. Ex : Angleterre. Montesquieu le peuple = democratie Le pvr executif : par le roi (monarchique) Le pvr judiciaire : exerce par les nobles = aristocratie, oligarchie. Donc l'angleterre est un model pour montesquieu (noble eclaire) L'abbe Mably (Precurseur de la sociologie), va penser la répartition du pouvoir entre toutes les couches de la societe francaise. La république est forcement démocratique. Beaucoup ont laisse de cote la notion de gvt mixte, la démocratie prends

rectangulaire, il sollicite son ambiance à se modeler sur lui même. Les Alchimistes s'expliquaient ainsi la vertu de leur fameuse pierre philosophale, qu'ils représentaient par un cube. Un symbole inattendu se rencontre sur les documents maçonniques du XVIII° siècle. C'est la pierre cubique à pointe entamée par une hache. Cet instrument que les Maçons doivent emprunter aux charpentiers, indique, sans doute, qu'il faut ouvrir la pierre, la fendre pour arriver à son contenu, à son ésotérisme. Le couronnement

citoyen ne puisse pas craindre un autre citoyen. Lorsque, dans la même personne ou dans le même corps de magistrature, la puissance législative est réunie à la puissance exécutrice, il n’y a point de liberté ; parce qu’on peut craindre que le même monarque ou le même sénat ne fasse des lois tyranniques, pour les exécuter tyranniquement. Il n’y a point encore de liberté, si la puissance de juger n’est pas séparée de la puissance législative et de l’exécutrice. Si elle était jointe à la puissance législative

la milice. Chap. XV. Des choses pour lesquelles tous les hommes, et surtout les princes, sont loués ou blâmés. Chap. XVI. De la libéralité et de l'avarice. Chap. XVII. De la cruauté et de la clémence, et s'il vaut mieux être aimé que craint. Chap. XVIII. Comment les princes doivent tenir leur parole. Chap. XIX. Qu'il faut éviter d'être méprisé et haï. Chap. XX. Si les forteresses, et plusieurs autres choses que font souvent les princes, leur sont utiles ou nuisibles. Chap. XXI. Comment doit se conduire

Chap. XV. Des choses pour lesquelles tous les hommes, et surtout les princes, sont loués ou blâmés. Chap. XVI. De la libéralité et de l'avarice. Chap. XVII. De la cruauté et de la clémence, et s'il vaut mieux être aimé que craint. Chap. XVIII. Comment les princes doivent tenir leur parole. Chap. XIX. Qu'il faut éviter d'être méprisé et haï. Chap. XX. Si les forteresses, et plusieurs autres choses que font souvent les princes, leur sont utiles ou nuisibles. Chap. XXI. Comment

des traditions très fortes et très anciennes une liaison entre souverainete et nationalité , le titulaire de la souverainete est français qu'il s'agisse du peuple français , ou éventuellement des personnes dote du droit de vote , qu'il s'agisse du monarque dans la monarchie traditionnelle , la France ne peut être gouverne que par un français. ce principe dans le cas français explique par exemple une règle "la loi salik" autrement dit dans le droit monarchique ancien le principe dans lequel seul les

restaurée par Louis XVIII, son caractère n’est pas absolutiste. La Charte « octroyée » par Louis XVIII en 1814 est constitutionnelle, comme au Royaume-Uni l’opinion s’éveille, lit les journaux, s’anime aux débats des Chambres. Charles X, qui va succéder à Louis XVIII, va être beaucoup moins habile que son frère et beaucoup plus autoritaire. En 1824, il donne le sentiment de vouloir interpréter la Charte de manière autoritaire, il refuse cette « nationalisation » de la monarchie que va tenter Louis-Philippe

L2 SEMESTRE2 CM Art et Littérature  Cours divisé en 4 parties : - Antique : grec et latin. - Moyen-âge - Littérature du XVI° - XVIII° - Littérature du XIX – XX° Examen : texte avec une question ciblée. Critère de correction : orthographe, syntaxe. BV : Littérature et histoire de l’art. 1. LA LITTERATURE ANTIQUE : Approche des genres littéraires Une perspective chronologie Des récits pour comprendre les sujets des peintres et des sculpteurs. Cour de façon générique plutôt

subjugua facilement. Les rois Philippe V de Macédoine et Antiochus de Syrie furent écrasés successivement. En -168, Rome établit son protectorat sur le monde grec, mais cette fois sans haine. Elle avait eu peur de Carthage, elle n’avait pas eu peur des monarques hellénistiques. De leur côté, les Grecs considéraient les Romains comme leurs disciples et n’ont guère résisté à la cité du Latium. D’ailleurs, la culture grecque s’imposa à Rome, comme Horace le constate : « La Grèce vaincue a conquis son noble