Lublin

Plus de 1 500 lois et décrets sur les Juifs ont déjà été promulgués en 1935, les Juifs sont aussi victimes de pogroms, de spoliation de leurs biens, ils sont concentrés dans des ghettos dès l'annexion de la Pologne (1940 : ouverture des ghettos de Lublin et de Lodz puis de Varsovie). L'élimination des Juifs et le « remodelage racial » de l'Europe sont donc au cœur de l'idéologie nazie. • Une première solution à la « question juive », considérée comme « pacifique » par les nazis, a été envisagée

d'extermination. Tout d'abord, le rassemblement des Juifs dans des ghettos en Pologne : Le premier ghetto où sont entassés les Juifs est ouvert le premier mai 1940 à Lodz. Viennent ensuite celui de Varsovie le 12 octobre 1940 et celui de Lublin en mars 1941. Ces quartiers fermés font partie de l'extermination des Juifs en Europe car ce sont des espaces de mort programmée. En effet, ceux-ci sont surpeuplés : la superficie du ghetto de Varsovie représente 2,4% du territoire de la ville, pourtant

«faire réduire la taille des entreprises? Pourquoi» près de 50% . dit la réduction des effectifs est une réponse à un ralentissement économique. While over 40% Alors que plus de 40% cité la nécessité de «améliorer l'utilisation du personnel» (Lublin, 1994), en faisant la même quantité de travail avec moins de personnel (Greenburg, 1991). (Greenburg, 1991). de nombreux rapports indiquent la r tre entreprises pour rester compétitif et à améliorer l'organisation performance (McKinley et

participer au pacte FR-SOVIET ce qui ne plait pas à DG. > TEMPS FAIBLE. - Entretient du 8 décembre : marchandage de Staline > TEMPS FORT. - 9 décembre : intermède : la tension monde entre français & soiètiques + rencontre entre DG et le comité de Lublin > TEMPS FAIBLE. - Soirée du 9 décembre : point culminant : repas stupéfiant, « parade », signature du pacte à 4h du matin ! > TEMPS FORT. B. La puissance descriptive Dans ce chapitre, on peut relever un grand nombre d’atmosphères retranscrites

Goldman est un auteur-compositeur-interprète français. Il est né le 11 octobre 1951 à Paris (19ème arrondissement). Ils sont quatre enfants et il est le troisième. Sa mère, Ruth Ambruun, né à Munich (Allemagne), et son père Alter Mojze Goldman, né à Lublin (Pologne), furent héros de la résistance. Il a pour frère cadet, l’auteur-compositeur Robert Goldman, son associé depuis toujours. Sa sœur Evelyne est médecin ; son demi-frère Pierre Goldman était un révolutionnaire, il fut assassiné en 1979. En

l’extermination des Juifs. Transformés en vastes prisons souvent surpeuplées, ils permettent aux nazis de regrouper les Juifs et de mieux les contrôler. Ainsi sont créés les ghettos de Varsovie, Lodz, Budapest, Cracovie, Vilnius, Minsk, Częstochowa, Będzin, Lublin, Kielce, Radom, Marcinkance, Pinsk, Riga, Sosnowiec, Focşani Kolozsvár, Lakhva, Bialystok, Lviv et la ville-garnison de Theresienstadt qui sert de « ghetto modèle » à la propagande nazie. N’ayant progressivement plus le droit de sortir en ville (ils

grand ampleur et Heydrich et Eichmann qui seront les exécutants. L’élimination des juifs se fait dans des camps d’extermination situés en Pologne, où les juifs seront déportés. Quelques noms de camps : le plus célèbre Auschwitz, mais aussi Treblinka, Lublin, Maidanek, Sobibor et Belzec. Après avoir appliqué un plan d’euthanasie des personnes handicapées ou malades mentales en Allemagne les nazis on acquis une expérience qui leur a servi à l’élaboration d’une technique d’élimination avec des gaz toxiques

comparative : Le triomphe de la mort, Félix Nussbaum 4. Lexique et bibliographie a) Biographie de Jean-Jacques Goldman Racines : Jean Jacques Goldman est né le 11 octobre 1951 à Paris d’un père polonais juif (Alter Mojze Goldman né à Lublin en 1906) et d’une mère allemande également juive (Ruth Ambrunn née à Munich en 1922) tous les deux de grands résistants. C’est à 15 ans que le père de Goldman arrive en France pour fuir l’antisémitisme. JJ Goldman est le troisimère d’une famille

d’alliance. Au cours de diverses réceptions (xx intell.), constate que le peuple / bridé. En échange du traité d’alliance, Staline veut que de Gaulle reconnaisse le gouvernement polonais du comité de Lublin mais il s’y refuse. Le sort des Balkans est évoqué (mainmise soviétique). Reçoit le comité de Lublin (impression médiocre) et des représentants américains & anglais. Passe en revue Normandie-Niémen. Soirée d’adieux : les toasts et la négociation. Un accord est néanmoins signé le 10 décembre :

contexte pour affirmer sa fermeté sur la question de la Pologne. Il refuse de céder au chantage de Staline. Au départ, Staline acceptait de signer ce pacte franco-russe à condition que la France reconnaisse officiellement l’existence du comité de Lublin (gouvernement provisoire polonais mis en place par les russes). De Gaulle refuse jusqu’au bout car il ne veut pas voir d’influence soviétique en Pologne. Il se présente en champion de l’indépendance polonaise. De Gaulle se met en avant et semble être