Luce Irigaray

reste hypothétique, mais nous savons que Léonard l'a toujours gardée avec lui, ne la livrant pas à son commanditaire. François 1er l'a acquise à Amboise où le peintre protégé par le roi, passa la fin de sa vie. On peut aujourd'hui visiter le Clos Lucé à Amboise. Ce parc donne une belle présentation du créateur, artiste, inventeur et penseur sous toutes ses facettes. Pourquoi ai-je choisis ce sujet : J'ai choisi ce sujet pour montrer la façon de la réalisation d'une œuvre aussi importante

talent de peintre et de scientifique : il est très évolué pour son époque. Très vite nommé peintre du roi, il se voit confier l’organisation de fêtes royales, des tableaux et autres rêves de François 1er. Le roi offre même à Léonard le château du Clos Lucé en 1516 en Touraine, à Amboise. Chacun de ses tableaux eu une immense influence De Vinci, avait ses propores techniques, comme le sfumato, ou encore l’emploi de jaune d’oeuf pour ses couleurs, et tout ceci fascinais les autres artistes de la Renaissance

3.2.1 Français 11.3.2.2 Italien Historique Ancien Régime et époque moderne Note d'Agostino Vespucci écrite en 1503 en marge d'un livre de l'université de Heidelberg, identifiant le modèle comme étant Lisa Gherardini. Le Château du Clos Lucé à Amboise Léonard de Vinci commence le portrait à Florence en 15034, et d'après Giorgio Vasari l'achève au bout de quatre années. La Joconde ne quitte jamais Léonard de son vivant. Il l’emporte à Amboise où François Ier le fait venir. Une copie de

sont plus chronologiques. A gauche la Joconde exposée au Louvre et a droite la Copie de la Joconde retrouvé à Madrid exposé au musée du Prado Léonard de Vinci se rend donc à Ambroise au château du Clos Lucé en 1516. Il emporte avec lui trois tableaux, dont la Joconde dont il ne se sépare jamais jusqu'à la fin de sa vie. A sa mort, ces tableaux passerons dans les collections royales. II Décrire et Analyser l'oeuvre C'est une peinture à

inventeur. Il fait à chaque fois preuve d’une grande maîtrise technique. On lui doit, entre autre, la célèbre Joconde, au sourire énigmatique (Paris, musée du Louvre). Né en Toscane (Italie), il meurt en France sur les bords de la Loire, au château du Clos Lucé à Ambroise où l’avait invité le roi François 1er. Michel-Ange (1475-1564) né en Italie, se considère avant tout comme sculpteur (L’Esclaves rebelle et L’Esclave mourant, Paris, Musée du Louvre) mais il excelle également dans l’art de la fresque

Autrement dit, lorsque vous ne possédez pas quelque chose ou quelqu'un, vous ne pouvez pas avoir le contrôle absolu là-dessus. Pris du texte Le corps-à-corps avec la mère écrite par Luce Irigaray est une citation qui montre la nécessité qu’une mère ne se voit pas dans sa fille et qu’elle valorise l’individualité. Irigaray dit, « C’est ça, oui : que tu ne te réduises pas à une fonction maternelle et que tu ne me réduises pas à une fonction d’enfant. Ça voudrait dire : c’est un conflit mortel, la mère

alors à tisser des liens pour obtenir, par cohérence, des réponses aux questionnements posés qui nous aiderons à mieux comprendre l'objet dans sa totalité. Selon la linguiste et psychanalyste Luce Irigaray, « Qui pratique l'analyse doit porter la question sur l'acte même de produire le discours. » (IRIGARAY, 1969 : pp.111-122) En effet, en plus d'interpréter un langage, l'analyse est un acte de création, dans le sens où elle produit quelque chose de nouveau, qui n'existait pas auparavant. C'est donc

est à des milles du courant égalitariste. Le féminin, donc la générosité, l’altruisme et la douceur, doit se dévoiler et conduire le projet social avec les hommes. Qualifiée à tort de french feminism, ce courant repose d’abord sur l’œuvre de Luce Irigaray, linguiste, psychanalyste et philosophe française. Dans sa théorie de la différence sexuelle, elle souligne que le sujet féminin a été écarté au profit du sujet masculin et encourage «l'émergence de deux sujets sexués puis d'une culture et d'une

L’une de celles-ci est venue de la psychanalyse et a provoqué l’approfondissement de la notion de « différence féminine ». À partir des années 1975 en effet, l’influence de la psychanalyse française et la critique qu’en fera, entre autres, Luce Irigaray dans Spéculum de l’autre femme 24, seront déterminantes à cet égard notamment aux États-Unis et en Italie. Le féminisme radical était basé, comme on l’a vu, sur une prémisse : l’existence d’un groupe social « femmes » partageant une oppression

So French ! (theory) : l’essentialisme, le substantialisme et l’universalisme font de la résistance Judith BUTLER déve­loppe sa cri­ti­que à tra­vers l’ana­lyse de la pensée de trois auteu­res fémi­nis­tes fran­çai­ses12 : Simone de BEAUVOIR, Luce IRIGARAY et Monique WITTIG, qui entrent aux Etats-Unis dans le corpus de la french theory13. BEAUVOIR et le maintien du phallogocentrisme essentialiste, en toute distinction Pour Simone DE BEAUVOIR, dans Le Deuxième Sexe, le mâle est tou­jours assi­gné