Lucrèce De Rerum Natura 2

discipline comme « l’ensemble des principes purement humains qui devraient permettre au plus grand nombre d’accéder à une existence pleinement satisfaisante et pleinement significative, c’est-à-dire à une réalisation heureuse de la personnalité ». 2 PRINCIPES ÉTHIQUES Les philosophes ont cherché à définir la valeur positive ou négative de la conduite humaine en se rapportant à deux principes majeurs : ils ont considéré certains types de conduite comme bons en soi ou bons parce que conformes

mettre en évidence plusieurs choses : · l’imitation est un ressort de l’admiration  ; on imite car on admire. Il y a une idée de «  marcher dans les pas  » (Lucrèce - de rerum natura ). · le classicisme : les genres littéraires sont considérés comme des moules. On reprend la forme pour composer quelque chose de personnel. La perfection

discipline comme « l’ensemble des principes purement humains qui devraient permettre au plus grand nombre d’accéder à une existence pleinement satisfaisante et pleinement significative, c’est-à-dire à une réalisation heureuse de la personnalité ». | | 2. | PRINCIPES ÉTHIQUES | Les philosophes ont cherché à définir la valeur positive ou négative de la conduite humaine en se rapportant à deux principes majeurs : ils ont considéré certains types de conduite comme bons en soi ou bons parce que conformes

| T él éc ha rg é le 2 0/ 05 /2 02 2 su r w w w .c ai rn .in fo ( IP : 1 90 .1 15 .1 79 .5 )© A ssociation Le Lisible et l'illisible | T éléchargé le 20/05/2022 sur w w w .cairn.info (IP : 190.115.179.5)www.cairn.info/publications-de-Emmanuel-Blondel--79835.htm?WT.tsrc=pdfhttps://www.cairn.info/revue-le-philosophoire-2007-1-page-147.htmhttp://www.tcpdf.orgINEDIT © A ss oc ia tio n Le L is ib le e t l 'il lis ib le | T él éc ha rg é le 2 0/ 05 /2 02 2 su r w w w .c ai rn .in

science ou la poésie. Il est commun de rappeler que Platon, aux livres VI et VII de La République, avait dévalorisé l’imagination comme un degré inférieur de l’opinion. Les prisonniers de la caverne sont victimes de leurs illusions. Dans le De natura rerum, Lucrèce dénonçait aussi les illusions de l’imagination, les fausses représentations. Néanmoins, même si la tradition socratique s’est détachée des mythologies de la Grèce archaïque et homérique, Platon a recours aux mythes, comme soutien sensible de

désir recevrait donc des formes diverses qu’une définition ne parviendrait pas à rassembler, dont la définition ne pourrait restituer l’unité. Faut-il donc distinguer des espèces variées du désir comme les stoïciens ont pu le faire ? 2) L’autre raison de cette difficulté tiendrait au fait que le désir nous maintient dans un flux incessant. Nous aurions toujours la curieuse impression d’être pris dedans. La difficulté tiendrait au fait qu’on ne pourrait y échapper pour l’observer. La

SOMMAIRE I. Ouvertures > p. 17 1/ Une définition élargie de la poésie 2/ Un regard plus réflexif 3/ La poésie et les autres arts 4/ Le poète moderne 5/ L’héritage poétique II. La puissance des formes poétiques IV. Courants esthétiques et formes poétiques au XIXe et au > p. 18 1/ Poésie et sacré 2/ Poésie et musique 3/ Poésie et science 4/ Poésie et invention III. Le système traditionnel et sa remise en question 1/ La rime 2/ Le vers 16 Nouvelle Revue Pédagogique - Lycée / n° 31 / septembre 2008

demie après l’endormissement survient une phase toute différente : le tonus musculaire disparaît complètement et le dormeur est 1 Petit Larousse : 1. Ensemble d’images, d’idées souvent incohérentes qui se présentent à l’esprit durant le sommeil. 2 : sens figuré : idée poursuivie avec l’espoir de réussir (des rêves de fortune). 3 : chimère, idée sans fondement (« cet espoir n’est qu’un rêve ») 1 comme paralysé, mais apparaissent des mouvements oculaires rapides et des phénomènes neurovégétatifs

tous les genres, c=est le lyrisme, la satire, l=analyse, la morale, la métaphysique, l=épopée. Ce sont toutes les activités de l=esprit humain en action dans des horizons sans limites. C=est en ce moment la seule littérature vivante du monde entier@.2) Hugo Gernsback ( 1884-1967, Etats Unis ): ALa scientifiction c=est une histoire romanesque attrayante à laquelle se mêlent des éléments scientifiques et une vision prophétique@.3) Frederic Brown ( 1916-1972, Etats-Unis ):

des corps en fonction de leurs affinités (d'ordre purement mécanique). Tous les corps n'existent que par l'effet de la conjugaison du hasard et d'une nécessité aveugle. Voilà un système dépourvu de toute finalité et de tout dessein providentiel. Lucrèce, le disciple romain d'Epicure qui avait lui-même repris les thèses atomistes de Démocrite, exprime fort bien - d'une façon qui préfigure le darwinisme - ce refus de croire que les choses qui nous paraissent ordonnées le seraient en vue d'une fin