Lucrèce De Rerum Natura Livre Iv

Lucrèce Lucrèce (en latin Titus Lucretius Carus) est un philosophe-poète latin du Ier siècle av. J.-C., (peut-être 98-54). La vie de Lucrèce nous est à peu près inconnue. On raconte (mais ce point est loin d'être prouvé) qu'il se serait suicidé après avoir été rendu fou par un philtre d'amour, dans sa quarante-quatrième année. Il fut très proche de Cicéron et nous connaissons le personnage auquel est dédié son livre, Memmius, un ambitieux lettré. Il vécut dans une période troublée par des guerres

Petite biographie de OVIDE OVIDE nait à Sulmone en 43 ACN et meurt en 17 ou 16 PCN. Il est originaire d’une famille aisée (de l’ordre équestre) et s’instruit en allant notamment à Athènes et en étudiant la rhétorique à Rome. Il entame une carrière juridique mais finit par l’arrêter pour commencer une carrière de poète. Il fréquente déjà les poètes HORACE, TIBULLE, et PROPERCE et à l’âge de 24 ans, il inaugure sa carrière par les Amours dédié à sa muse Corinne

Commentaire, texte n° 1 Eloge d’épicure, Lucrère, De natura rerum Introduction : - Haute société romaine : attiré par la culture grecque  font venir des philosophes et/ou envoient leurs enfants fréquenté les écoles de Philo grecs - Moins intéressés par les spéculations sur la nature que par les réflexions morales ils accordent leur faveur à 2 philosophies : stoïcisme, épicurisme - Cette deuxième école fondée en 306 av J-C est

Commentaire éloge d'Épicure De rerum natura est un vaste poème didactique rédigé par Lucrèce. Lucrèce expose à son destinataire les principes de la philosophie épicurienne dont il s'agit d'adoucir l'amertume. Après une invocation à Vénus, Lucrèce fait l'éloge de son maître Épicure en un héros épique et un libérateur. Lucrèce s'attaque dans cette extrait à la religion ou plutôt à la superstition religieuse. Lucrèce ne fait que suivre Épicure. La vision nouvelle renverse l'ordre établi et le menace

ni la foudre avec son grondement menaçant ne l’arrêtèrent, sed eo magis irritat acrem animi virtutem, mais excitèrent d’autant plus l’ardeur de son courage, ut cupiret primus ecfringere arta claustra qu’il désira le premier briser les verrous naturae portarum. des portes de la nature. ergo vivida vis animi pervicit ainsi la force de son esprit triompha complètement et processit longe et il s’est avancé au-delà extra flammantia moenia mundi des barrières enflammées du monde atque peragravit

le passionné : d’avoir trouvé un être incomparable, unique et exceptionnel, ce qui peut être incompréhensible ou ridicule pour des regards extérieurs. Deux textes peuvent être en ce sens médités. Premièrement , un passage du De Natura rerum de Lucrèce, et un autre de Molière extrait du Misanthrope. La passion trop souvent ferme les yeux aux hommes et ils attribuent à la femme aimée des mérites qu'elle n'a pas. En est-il assez de contrefaites et de laides, dont on les voit faire leurs délices

Lucrèce : - 98, - 55. Dates probables. De sa vie on ne sait pas grand-chose. Son choix philosophique : Epicure, lui-même disciple de Démocrite. Œuvre : De Rerum Natura , destinée à exposer la doctrine d’Epicure. C’est le premier romain à se lancer dans cette entreprise dans un texte en vers. Ce qui, d’après ce qu’il dit lui-même, l’expose parfois à créer des néologismes, vu la pauvreté de la langue romaine « si pauvre est notre langue et nouveau mon sujet ». L’ouvrage est divisé en trois

Texte 4 : Le bonheur epicurien, Livre II De Lucrèce Traduction Suave Il est doux turbantibus aequora ventis les vents troublant les flots mari magno sur la haute mer e terra spectare de contempler de la terre magnum alterius laborem; le grand effort d’autrui ; non quia vexari quemquam non parce que quelqu’un soit tourmenté est jucunda voluptas, est un plaisir agréable, sed quia cernere suavest mais parce qu’il est doux de discerner quibus ipse malis careas à quels maux soi-même

I°. LIBER GENESIS LA PAROLE MYTHIQUE Mythes d’origine et genèse de la nature Hésiode : Les travaux et les jours (Le livre de Poche, 1999 trad. P. Brunet, p 110-119) La Bible L’Ancien testament, Genèse, Pléiade, tome 1, 1956,) p 3-9 Lucrèce : De natura rerum (GF, 1964, traduction H. Clouard, livre III, p 110-114) Ovide : Les Métamorphoses (Folio Classique, Gallimard, 1992, livre I, p 42-70) Virgile : Les Géorgiques (Folio Classique, 1997, traduction Florence Dupont, p 215- 253, Troisième Géorgique)

Lucrèce, De rerum natura Livre IV       ​Apologie du poème.  La forme poétique qu’adopte Lucrèce pour exposer les thèses épicuriennes et atomistes, constitue un moyen pour le lecteur d’intégrer les révélations parfois amères dont il se fait le héraut (comme le désintérêt des dieux pour la vie humaine) : « espérant par mes vers captiver ton esprit ». Lucrèce imprègne ses leçons « du doux miel de la poésie ». Cette forme poétique est fondamentale tant pour Lucrèce (captive le lecteur) que pour