Ludovic-Oscar Frossard

(Raymond) Membre de la CGT. Secrétaire du syndicat des serruriers de la Seine. Spécialiste de l'enseignement professionnel. Membre du cabinet de René Belin, ministre du Travail, en 1944-1942 Fondateur du journal Le Front Syndicaliste. FROSSART (Ludovic-Oscar) Fondateur du parti Communiste Français en 1920, puis député socialiste. Plusieurs fois ministre entre 1935 et 1940, dans les gouvernements de gauche. Fonde la revue vichyste Le mot d'ordre. Mais étant juif, il ne peut la diriger. Membre du

commission administrative permanente, puis secrétaire général. Il quitte son poste en 1918 quand les minoritaires deviennent majoritaires. Au Congrès de Tours (1920), il est signataire de la motion Blum. Son successeur à la tête de la SFIO est Ludovic-Oscar Frossard. * Alexandre Millerand (1859/1943) : homme d'État français d'abord de tendance socialiste puis qui évolue à droite au fur et à mesure de son parcours ministériel. Il est surtout connu pour avoir été le premier socialiste (quoique indépendant)

venir fera écho. En 1940, les éditeurs français fonctionnent au ralenti du fait de la mobilisation mais aussi de la censure exercée depuis le mois d’août 1939 par le Commissariat général à l’Information, dirigés par Jean Giraudoux, puis Ludovic-Oscar Frossard et enfin Jean Prouvost. Dans les journaux les Drôles de Guerre nous avons des "placards blancs" c'est-à-dire des parties censurés ; on interdit la presse communiste après la signature du pacte germano-soviétique.  Par exemple, certains titres

socialistes de Jean Jaurès soutiennent la cause dès le départ. On trouve les radicaux, les francs maçons, les Protestants sont dreyfusards. Cela donne lieu à la création de la ligue des droits de l’homme qui se forme en 1898 à l’initiative du sénateur Ludovic Trarieux. Tous réclament la révision du procès. * Dans le camp des antidreyfusards, on trouve la majeure partie des catholiques (journal La Croix, le journal « le plus antijuifs de France »), les courants nationalistes (honneur de l’armée, la

enfants. Brise presqu tt les oppositions. Radicaux completement annihilés. Seule opposition importante: socialistes, fe plus en plus impressionnés par idees des Bolchiéviques. sFIO décide de refuser crédits Defense nationale. Oct 1918: éléction Ludovic-Oscar Frossard. opposition assez marginale, Clemenceau domine scène politique, utilise procédure des décrets loi. FRANCAIS et alliés repoussent. Armistice maintenue à cause révolution. 11 nov: pas de soldats français sur le sol allemand. Allemands parlent

radical. l’opposition de la SFIO en 1918 : une minorité de socialistes influencés par la Révolution russe et gagnés aux idées bolchéviques. juillet : votent une motion sur le refus des crédits de défense nationale. octobre : porte à sa tête Ludovic-Oscar Frossard instituteur de 29 ans pacifiste se rallie un temps au communisme lors du Congrès de Tours de 1920. conclusion générale : l’épreuve de la guerre confronte la démocratie et le régime parlementaire, même si la procédure des décrets- lois

des débats vifs sur la question du bolchevisme notamment au sein de la SFIO, débats et tension sur la 3ème internationale, sur les 21 conditions. La SFIO envoie deux dirigeants visiter la Russie en 20, les deux s’appellent Cachin et l’autre Ludovic Oscar Frossard. Ils apportent des informations qu’ils publient dans le journal, la SFIO se réuni en congrès à Tours. Les débats portent sur la stratégie, sur l’acceptation de la 3ème internationale, le vieux débat sur les réformes ou faire une révolution