Lutte sénégalaise

apparait chez Saint Simon, A. Thierry, E. Quinet, c’est la prise conscience radicale de la bourgeoisie comme classe et toute l’histoire, ils l’interpretent comme une lutte des classes. Ce n’est pas Marx qui invente la comprehension de l’histoire comme lutte des classes, c’est l’ecole historique bourgeoise du 19eme siecle : 1789, oui, c’est la lutte des classes, ils se trouvent frappes de cecite lorsqu’ils voient couler a la surface actuelle du corps social, ce drole de flux qu’ils ne connaissent pas : le

qui eux veulent une augmentation de salaires et qui possèdent la force de travail qu’ils vendent pour subsister. Ces rapports de production entrainent la différenciation en groupes sociaux séparés et inégaux. De plus, il faut prendre en compte la lutte des classes qui est le concept principal utilisé par Marx, c’est le moteur de l’histoire : lorsque les classes sociales qui sont, la bourgeoisie et le prolétariat s’opposent fortement, voire violemment en raison de l’exploitation des prolétaires par

la dialectique (= le conflit a une valeur indéniable dans le sens qu’il fait avancer la société) Marx transforme idealiste en matérialiste Conflit que constitue un moteur des sociétés = lutte des classes Avec interet antagoniste : Bourgeois VS prolétaire Lutte des classe va inverser ordre des puissance pendant dictature du prolétariat (periode). Fin de l’Histoire-> apres avenement d’une société sans classe Condition matériel d’existance ->

donnée. Plusieurs approches ont été élaborées pour délimiter le système de stratification selon des indicateurs prescrits. Nous citons : l’holisme de Karl Marx qui dit que la société est hiérarchisée selon une donnée purement économique et que la lutte des classes en est le seul forgeant. Quant à Max Weber, il ajoute, dans sa théorie individualiste deux autres critères, qui sont le prestige et le pouvoir. Alors que Pierre Bourdieu propose une analyse structuraliste qui combine les deux théories

mobilisation sociale Théorie marxiste de la lutte des classes : K.Marx | Les Nouveaux Mouvements Sociaux :A.Touraine | Société divisée en 2 classes antagonistes * Prolétaire VS BourgeoisClasses définies par : * La place occupée dans les rapports de prod° -> grpe partageant une situation commune et ayant des intérêts communs : «Classe en soi» * La conscience de classe -> « Classe pour soi »Conflits du travail : expression de la lutte des travailleurs contre l’exploitation  | Caractéristiques

caractérise pour avoir contester principalement l’œuvre de David Ricardo en ayant associé à chaque facteur de production une classe sociale – la terre à la noblesse, le capital à la bourgeoisie, le travail au prolétariat – d'avoir nourri les théories sur la lutte des classes Ensuite les milieux progressistes qui eux revendique le fait que les théories classique légitimer un maintient des salaire très bas pour les ouvriers. Les économistes prennent alors consciences du besoin de prolonger la théorie classique

sur une conception matérialiste de l’histoire ainsi que sur la méthode dialectique, l’ensemble constituant le matérialisme dialectique. Pour Marx et Engels : «l’histoire de toutes les sociétés humaines jusqu’à nos jours n’est que l’histoire de la lutte des classes ». Ils identifient au cours de l’histoire 3 modes de production : l’esclavagisme, le féodalisme et le capitalisme. L’évolution des moyens de production (usine, entreprise, etc) change les conditions économiques et amène au pouvoir de nouvelles

paraissaient immuables, doivent alors changer. La Lutte des classes[modifier] L’idée que la société n’est pas homogène, mais que ses membres ont des aspirations divergentes, et parfois contradictoires, n’est pas nouvelle. Mais Marx a pour la première fois avancé l’idée que les oppositions entre ces différentes classes sociales constituent le fil conducteur qui permet de comprendre la succession des sociétés et des périodes historiques. La théorie de la lutte des classes avance qu'exceptées les communautés

facilement dans les grandes entreprises. De plus, la culture ouvrière étant moins forte qu'auparavant, moins de fierté d'appartenir à cette PCS qui est le plus touché par le chômage, il est difficile d'imaginer un syndicat aussi puissant qu'au moment de la lutte des classes. D'autres facteurs expliquent la désyndicalisation. La cause à laquelle on pense en premier est la crise économique provoquant un chômage de masse et donc un sentiment d'insécurité pour les travailleurs de faire grève et préfèrent suivre

d’appartenance à la classe moyenne est le plus répandu (Question 3, document 2) - Il traduit l’émergence d’un consensus politique d’appartenance au centre (ni prolétaire, ni bourgeois) (Question 2, document 2) et peut-être une moindre adhésion à l’idée de la lutte des classes et à l’idéal du « grand soir ». II) … il semble aujourd’hui être remis en cause… … à trois niveaux : A- Numériquement, on assiste à la croissance plus ralentie à partir des années 80 des catégories intermédiaires et le développement