Lycée de jeunes filles

Jupe-culotte et bicyclette, ou l'éducation des filles selon Zola La Préface de Comment on se marie est l'expression la plus claire du souci constant qu'eut Zola de l'éducation des filles. Lecteur de George Sand et de Michelet, il est convaincu de la nécessité d'instruire les filles hors des couvents ou de la « serre » du gynécée maternel, et de le faire sans censure, différant par là-même des positions plus timorées de Michelet. L'émancipation de la femme doit passer selon lui par une solide formation

p.2-3 s’agissant du travail, l’égalité réelle reste un leurre,… voir le monde mars 2012 n°41 http://education.francetv.fr/dossier/l-education-des-femmes-et-des-filles-dans-le-monde-o23616 Les femmes ont toujours travaillé et ont toujours été nombreuses à le faire. Contrairement aux idées reçues, le travail des femmes n’est pas d’origine récente. On peut distinguer deux périodes qui concernent le droit des femmes

L’éducation des filles au XIXème siècle Il n’est pas évident, de nos jours, de concevoir ce qu’était l’éducation des filles jusqu’au XIXème siècle. Ces quelques éléments devraient apporter plus de réalisme aux parties se déroulant à la “Belle Epoque”. ‘‘L’aiguille est à la femme ce que la plume est à l’écrivain.’’ Cette phrase est emblématique de la place des femmes dans la société du XIXème siècle, et par conséquent de l’éducation donnée aux jeunes filles de cette époque. Jusqu’à ce que

Une expérience de mixité dans l'enseignement secondaire à la fin des années 1930: le lycée Marcelin Berthelot à Saint-Maur-des-Fossés. Présentation de l'auteur: Cécile Hochard est allée à l'Université de Haute-Bretagne: Rennes. Elle a soutenu en 2002 à l'Université Paris 7 une thèse en histoire contemporaine sous la direction de M. André Guesclin. Sa thèse s'intitule: Les lycées de Paris et de la région parisienne de 1938 à 1947. Ce texte aborde la séparation des sexes dans l'enseignement

pour filles. En 1838 est alors crée la première école normale d'institutrices Puis en 1850, la loi Falloux fixa l'objectif d'une école primaire pour filles dans chaque commune de plus de 800 habitants. Aussi, en 1867, la loi Duruy aligne ce seuil sur les standards masculins en le fixant à 500. A cette époque, 41% de la population féminine est illettrée contre 25% pour la population masculine. Les couvents et congrégations prennent alors majoritairement en charge l'éducation des jeunes filles mais

l’éducation en France En France les filles ont pu accéder à la même éducation que les garçons seulement à partir du XX ème siècle. Effectivement, dans une ancienne France très attachée à la religion les jeunes filles étaient envoyées dans des institutions religieuse. Auparavant la place de la femme dans l’éducation était fortement marqué par les coutumes religieuse. Aujourd’hui ce genre d’enseignement est secondaire. Nous exposerons l’évolution de l’éducation des filles en France la situation actuelle

intègre cette mission fondamentale : il s'agit de préparer les élèves à vivre en société et à devenir des citoyens responsables, conscients des principes et des règles qui fondent notre démocratie (L'éducation civique, de l'école primaire au lycée, permet la pratique du dialogue, montre la nécessité du savoir pour dépasser les préjugés, développe l'autonomie). Distinction école privée / école publique. Permanence d'une forte implantation des écoles privées dans la région Bretagne

première révolution conséquente. Ensuite, l’apogée de la démocratisation de l’enseignement s’effectue avec l’œuvre de Jules Ferry, grand législateur. Enfin, l’ évolution de la démocratisation donne l’accès à la scolarisation dite « normale » aux filles aussi bien dans le primaire que dans le secondaire]. La naissance de la République est le point de départ de la démocratisation de l’enseignement accompagné par la laïcisation. Jusqu’en 1870, les écoles primaires étaient laissées aux mains des congrégations

Seule la Femme célibataire de 21 ans, la veuve et la divorcée peut bénéficier d'un minimum de liberté. Malgré ces droits limités, la loi Guizot autorise l'accès à l'enseignement aux filles, tout en indiquant que l'école n'est pas mixte. Par suite, c'est la loi Camille Sée qui autorise les lycées pour jeunes filles. Mais cela dit, la Femme se voit toujours autant priver de son autonomie et de sa liberté. Ensuite, la limitation des droits de la Femme se reflète dans la vie politique. En effet

Les filles n'ont accès à l'enseignement secondaire qu'à partir de 1880 avec la loi Camille Sée, donné dans les lycées et collèges de jeunes filles ; mais les programmes sont spécifiques et le diplôme de fin d'études secondaires ne leur permet pas d'entrer à l'université. Ce n'est qu'à partir de 1924, que les contenus, la durée, les horaires des enseignements sont les mêmes que pour les garçons et le baccalauréat identique pour filles et garçons, donnant enfin accès aux jeunes filles à l'université