Lycophron

constellation du Taureau. Puis au IIIème siècle avant Jésus-Christ dans l’antiquité, le mot « pléiade », devient le nom d’un groupe de sept poètes grecs d’Alexandrie (Apollonios de Rhodes, Aratos de Soles, Philiscos de Corcyre, Homère le Jeune, Lycophron de Chalcis, Nicandre de Colophon, Théocrite). Ronsard comparait sept poètes de son époque avec les sept étoiles de la pléiade, et dresse une liste de ces poètes. Le choix de ce nom « la pléiade » montre ainsi leur attachement à l’antiquité.

nom emprunté à une constellation par lequel un groupe de poètes alexandrins du IIIe siècle avant notre ère se fit connaître. Le Canon alexandrin y dénombre notamment : Apollonios de Rhodes, Aratos de Soles, Philiscos de Corcyre, Homère le Jeune, Lycophron, Nicandre de Colophon, Théocrite. La Pléiade est un groupe de sept poètes français du XVIe siècle, la plus célèbre créée en 1553 (nom adopté en 1556 remplaçant La brigade), comprenant Pierre de Ronsard, Joachim du Bellay, Étienne Jodelle, Pontus

Jaccottet, Michel Leiris). Publié en 1969 au Mercure de France, Quignard devient parallèlement lecteur dans cette maison et chez Gallimard. Il entrera au comité de lecture de ces éditions en 1976. Il publie plusieurs essais, sur Maurice Scève, Lycophron et Michel Deguy, un premier roman en 1976, Le lecteur, considéré par certains comme largement inspiré de la pensée de Maurice Blanchot, puis un deuxième, Carus, qui reçoit le prix des Critiques en 1980. Il publie alors, parallèlement à son œuvre

toujours font semblant d’expliquer pour mieux perdre (ô Dédale !), et même les (trop ?) fameux quatrains de Michel de Nostredame: Ce qui vivra et n’ayant aucun sens Viendra leser à mort son artifice... On peut suivre le fil qui va de Mallarmé à Lycophron : il passe certainement par Malherbe. Non que Malherbe cherche à se faire obscur. D’ailleurs il ne l’est pas ; mais la rigueur du verbe alliée à la précision quasi horlogère de la métrique donne à ce poème comme à tant d’autres un caractère monumental

Sénèque est le seul auteur romain a avoir reporté le mythe de la fille de Minos et de Pasiphaé. Composée de 5 actes et d'un prologue écrits en vers, intitulée simplement Phaedra, Phèdre en latin, Sénèque se serait inspiré pour sa pièce Sophocle, Lycophron et Ovide, mais surtout de la première pièce d'Euripide dont elle reprendrait la forme, c'est Phèdre elle-même qui avoue son amour à Hippolyte. La Phèdre de Sénèque fait le récit de l’amour incestueux de Phèdre pour Hippolyte. A la mort de Thésée

Jaccottet, Michel Leiris). Publié en 1969 au Mercure de France, Quignard devient parallèlement lecteur dans cette maison et chez Gallimard. Il entrera au comité de lecture de ces éditions en 1976. Il publie plusieurs essais, sur Maurice Scève, Lycophron et Michel Deguy, un premier roman en 1976, Le lecteur, considéré par certains comme largement inspiré de la pensée de Maurice Blanchot, puis un deuxième, Carus, qui reçoit le prix des Critiques en 1980. Il publie alors, parallèlement à son œuvre

chants et leur résister. Ses compagnons qui rament et celui qui tient le gouvernail se sont bouché les oreilles avec de la cire d’abeille. Le bateau passe. La sirène qui tombe est sans doute en train d’amorcer son suicide, d’après la tradition (?) (Lycophron (753 sqq.) qui raconte que les deux échecs successifs infligés par Orphée et Ulysse les auraient contraintes au suicide ). Œuvre liée : Odyssée d’Homère. Peinture Picasso : Ulysse et les sirènes. 1947 Antibes S. Mathiesen Arts Plastiques

Pléiade désigne à l'origine une constellation de sept étoiles qui serait les filles d'Atlas et de Pléioné, « La Brigade » se fait donc appelé comme cela à partir de 1553. Le nom de «  Pléiade » avait déjà été utilisé, c'était en effet le nom donné à Lycophron ( poète grec au IV-III ème siècle avant Jésus Christ) et à six de ses contemporains dans l'Antiquité et qui a inspiré Ronsard. Cette fascination pour l'Antiquité durant la Renaissance s'explique par la redécouverte de ses textes durant cette période

Autelz et Jacques Peletier du Mans. Vont s’appeler la Pléiade. Qui désigne à l’origine une constellation de sept étoile, filles d’Atlas et Pléioné. Le nom de la constellation fut une première fois évoquer pour désigner 7 poètes Alexandrins dont Lycophron dont s’inspire Ronsard. À travers leurs œuvres littéraires et leurs textes théoriques, leur ambition était de renouveler et de perfectionner la langue française afin de la rendre indépendante d'autres idiomes alors plus « nobles » comme

dédoublement impossible. Et c’est aussi dans cette période de sa vie qu’il a écrit ses admirables poèmes où il y a peut-être les plus beaux vers de la langue française, mais aussi obscurs que du Mallarmé, obscurs, a dit Théophile Gautier, à rendre clair Lycophron : Je suis le ténébreux... « Des jeunes filles dansaient en rond sur la pelouse en chantant de vieux airs transmis par leurs mères, et d’un français si naturellement pur que l’on se sentait bien exister dans ce vieux pays de Valois où pendant plus