Lydie

Personnages : Uranie (Melle de Brie) Elise (Melle Molière) Climène (Melle du Parc) Galopin Le marquis (Molière) Dorante (Brécourt) Lysidas (du Croisy) Résumé détaillé pour mieux appréhender les allusions à cette pièce dans l'Impromptu de Versailles Scène 1 : Elise et Uranie, deux cousines, discutent au sujet des visites que les marquis leur font. Elise déplore ces marquis extravagants qui n’offrent que des discussions creuses et vaines. A « ces sottes visites », elle préfère la solitude

Les Séfarades tirent leur nom de l’hébreu Sefarad qui désigne la péninsule Ibérique. Ce mot est un hapax, c’est-à-dire un terme dont on ne connaît qu'une occurrence (pour celui-ci dans la Bible), et désignerait Sardes, la capitale de la Lydie sur le fleuve Pactole, dont le fameux Crésus fut roi au vie siècle av. J.-C. Un rapprochement de sonorité avec les Hespérides, nymphes de l’occident, n’est pas exclu. Il est possible aussi de voir dans le mot « séfarade » un lien avec l’akkadien et surtout

cependant que Mèdes et Perses avaient assis progressivement leur pouvoir et développé leur puissance, dans le cours du premier millénaire, dans les régions qu'ils occupaient. En quelques années Cyrus vainc le roi des Mèdes, Astyage (555), conquiert la Lydie, royaume de Crésus (546), s'empare de Babylone (539), et étend sa domination sur l'Asie Mineure tout entière, sur la Mésopotamie et jusqu'aux confins de l'Inde. Son fils Cambyse (529-521) annexe l'Égypte et meurt prématurément, en Syrie, au retour

CRÉSUS, roi de Lydie (~561-~546) Dernier roi de Lydie (561 av. J.-C.-546 av. J.-C.), mort en 546 av. J.-C. Héritier de la dynastie des Mermnades, Crésus aurait été vice-roi et chef des armées avant de succéder à son père, Alyatte, dont la couronne était également convoitée par son demi-frère. Devenu souverain, il achève la conquête des régions littorales de l'Ionie en soumettant Éphèse et d'autres cités de l'Asie Mineure occidentale. La faible puissance maritime de la Lydie lui fait préférer

premiers à utiliser des pièces métalliques furent les Grecs de Lydie vers 650 avant J-C. Elles était composé d’un mélange d’or et d’argent et se sont actuellement les pièces de monnaies les plus anciennes retrouvé. Grâce au progrès de la métallurgie, on pu séparé l’or de l’argent et alors crée un système composé d’une pièce d’or pure et un pièce d’argent pure. Se système fut inventer au VIe siècle avant J-C par le Crésus, Roi de Lydie. Ce système fut donner comme nom : Système Bimétalliste

véritablement) 500 ans après la guerre de Troie et 715 ans av. J.-C. Candaule, roi de la Lydie,(La Lydie est un ancien pays d'Asie Mineure, situé sur la mer Égée et dont la capitale était Sardes. Elle était connue par Homère sous le nom de Méonie. La Lydie est évoquée dans les légendes d'Héraclès et Omphale, ou de Tantale et Pélops (ancêtres des Atrides)) Héraclide par Alcée, fils d'Héracle et aussi roi de Lydie Description de la ville preparée pour le marriage et des preparatifs des gens communs

La monnaie serait donc, à la base, un symbole ostentatoire? Eh bien… Oui si l’on en croit les récits historiques! Il en allait ainsi des pièces en électrum (un alliage d'or et d'argent) frappées à Sardes par le roi Alyattès, qui régna sur la Lydie entre 610 et 560 avant JC. Ses pièces portaient son emblème, une ou plusieurs têtes de lion. Elles pouvaient s'échanger localement comme de quelconques bijoux par exemple. [pic] Statère d’or de Philippe II de Macédoine

sous la domination romaine jusqu'au IIIème siècle après JC. On désigne ces monnaies sous le nom de « Monnaies Provinciales Grecques ». Présentation des monnaies grecques antiques de la période archaïque [pic] Monnaie archaïque en électrum de Lydie (6ème siècle avant JC. Il s'agit d'une des plus anciennes monnaies grecques antique. Les monnaies grecques antiques de la période classique Les plus grosses cités ont alors produit de nombreuses monnaies d'or et d'argent, qui présentent pour

certaines cotés grecques de l’Asie Mineure comme Phocés (Marseille) , Milet, Ephèse et Samos ; les premières monnaie sont en électrum (alliage nat. ou artificielle d’or et d’argent) et souvent anépigraphes (sans inscription), et iconographies variées. Lydie région, avec sa capitale Sardes, avec le fleuve Pactole (d’où touché le pactole !). Phocés : un phoque. Ephèse : un cerf renvoi divinité Artémis. Milet : lion allongé Lydiens, sous Crésus : monnaie électrum aux protomés de lion et de taureau (collé

L'extrait conte l'histoire d'un berger, prénommé Gygès, qui au détour d'une crevasse se retrouve en possession d'un anneau d'or. Par hasard,il se rendit compte que cet anneau pouvait le rendre invisible. Aussitôt, le berger séduisit la reine de la Lydie et tua le roi afin de s'emparer du pouvoir. Ce mythe de Gygès a pour fonctiond'illustrer l'explication, la réflexion de Glaucon sur la justice et l'injustice qui suit dans la deuxième partie du texte. Que fait le berger ? Pourquoi ? 3° Gygès