Lymphocyte B

des lymphocytes (doc. 4-6, p. 91). • Activité 3 b : Le mode d’action des lymphocytes ayant reconnu l’antigène o Lors d’une infection bactérienne (fiches 3 et 4) o Lors d’une infection virale (doc. 4 à 6, p. 93) BILAN 3 http://www.educnet.education.fr/svt/anim/ticeamiens2004/JOBOUDIER/Flash/immunite_part2.swf Lorsque l’infection se poursuit, des réactions immunitaires plus lentes se mettent en place. Elles font intervenir d’autres leucocytes : les lymphocytes. Le

est assurée par deux types de cellules les lymphocytes T et les lymphocytes B (productrice des anticorps) - en faite après le premier contacte des agents pathogènes avec les macrophages( destruction dans la défense non spécifique ) ces macrophages vont présentés les antigènes de ces agents au niveau deux site : 1er site les lymphocytes T qui vont déffirencie en LT helper et LT cytotoxique et LT suppresseur , le 2eme site est les lymphocytes B, donc ces derniers vont se déffirencie après

peut-on dire à la lecture des graphiques du doc.A 2. Déterminer alors le rôle des lymphocytes B 3. Recopier les différentes étapes mises en évidence lors de la production des AC par les lymphocytes 1. J’observe des similitudes entre la quantité d’AC produite et le nombre de lymphocytes B circulant dans le sang quelque soient les lots de lapins donc je comprends que les AC sont produits par les lymphocytes. 2. Les lymphocytes B sont chargés de reconnaître les AG et ensuite de se multiplier pour produire

spécialisé dans l'ingestion et la digestion d'éléments étrangers. Phagocytose : ingestion et digestion d'éléments étrangers par un phagocyte. Lymphocyte : leucocyte intervenant dans une réaction immunitaire lente. Antigène : molécule étrangère à l'organisme, pouvant déclencher une réaction immunitaire. Anticorps : molécule, en forme de Y, produite par des lymphocytes B, pouvant se lier spécifiquement à un Ag. Séropositif : se dit d'une personne qui possède dans son sang des anticorps spécifiques à un

une molécule, l’antigène, en se liant à différents épitopes. Les anticorps sont synthétisés par certains lymphocytes (lymphocytes B) en réponse à l’introduction d’une substance étrangère antigénique. L’introduction de l’antigène provoque la prolifération des lymphocytes B qui reconnaissent l’antigène (chacun de ces lymphocytes forme donc un clone) puis la synthèse d’anticorps. Les lymphocytes appartenant à un même clone synthétisent des anticorps qui reconnaissent tous le même épitope mais les anticorps

infectées, ce sont les lymphocytes qui vont intervenir. Ils produiront des lymphocytes T Tueur qui détruiront les cellules infectée au contact. Ils produiront ensuite des lymphocytes T mémoire, Qui vont enregistrer la « carte d’identité » (la carte HLA) de la cellule pour pouvoir la repérer et la détruire ensuite. Si l’élément pathogène n’est pas l’une de nos cellules, ce sont les Lymphocytes B qui interviennent. Ils produiront, comme leurs collègues lymphocyte T, des Lymphocyte Mémoire qui vont, comme

de la SEP qui fut validé par la commission Européenne et la FDA (Food and Drug administration) en juin 2006. Le Natalizumab : un anticorps monoclonal. Commençons par expliquer ce qu’est un anticorps : c’est une molécule sécrété par les lymphocytes B (cellules du système immunitaire) lors de l’intrusion d’un agent étranger (appelé antigène c'est-à-dire la marquer qui fait que l’agent est reconnu par le système immunitaire) Ces anticorps se constituent d’une partie fixe identique chez tous

grâce au réarrangement génique et à l’épissage différentiel. Deux exemples : synthèse des Ig par les lymphocytes B (LB) et la synthèse des récepteurs situés sur les lymphocytes T. I. Réarrangement génique A.Structure des Ig Nous luttons contre les invasions d’agents pathogène (= antigène : substance protéique étrangère qui nous agresse) grâce à des anticorps synthétisés par les lymphocytes. L’anticorps (protéine) lutte contre les antigènes. Un antigène donné se fixe sur un anticorps donné

l'antigène. Pfeiffer et Bordet ont démontré qu'un système complémentaire assurerait cette fonction, ainsi est née l'idée du complément. Ils ont mis en évidence un composé sérique nécessaire pour détruire des bactéries Gram- ainsi que des hématies. B . Dé f i n i t i o n Il s'agit d'un système biologique complexe faisant intervenir de nombreuses protéines. Ce sont des globulines sériques, dont l'activité séquentielle peut se faire de deux manières : par la voie classique, déclenchée par la formation

anticorps anti-VIH. 1 Le VIH se développe dans les lymphocytes T. 1 Phase de primo-infection : 3 Le taux de VIH augmente puis diminue et se stabilise à une valeur supérieure à zéro. Le taux d’anticorps est nul puis augmente brusquement. Le taux de lymphocytes T reste stable puis il y a une légère diminution et il revient ensuite à son taux de départ. Le taux de VIH augmente car, après la contamination, le virus se multiplie dans les lymphocytes T. Il va donc détruire ces cellules ce qui explique