Lysandre

d’écriture codée remontent au temps des conflits entre la Grèce et la Perse au Vème siècle avant J.-C. L’emploi de la « Scytale » des Lacédémoniens, premier procédé de chiffrement militaire connu, nous est conté par Plutarque dans un extrait de la Vie de Lysandre : « Cette scytale est une telle chose : quand les éphores envoient à la guerre un général, ou un amiral, ils font accoutrer deux petits bâtons ronds, et les font entièrement égaler en grandeur et en grosseur, desquels deux bâtons ils en retiennent

le cas pour la base de Marathon qui est située sous la terrasse du côté sud du Trésor des Athéniens. Cette base comportait vraisemblablement des statues. Pour immortaliser aussi des victoires contre d'autres grecs comme le montre le monument de Lysandre après sa victoire sur les athéniens en 404. Conclusion: Le sanctuaire nous apparaît réellement comme l'ombilic du monde grec. En effet d'une part elle est le symbole de l'unité culturelle des Grecs. Les grecs se réunissaient pour des agones

stratège et on lui accorde les pleins pouvoirs. Mais cela ne dure pas, car l'un de ses officiers est responsable d'une défaite navale face à Sparte, alors Alcibiade doit se retirer de la vie politique. Le spartiate qui a remporté cette victoire : Lysandre. La fin d'Athènes Le roi perse augmente la somme qu'il accorde aux spartiates, le salaire des rameurs passe de 3 à 4 oboles, et les spartiates grâce à l'argent perse peuvent acheter des rameurs du côté d'Athènes. Les athéniens subissent une dernière

effet, ainsi la « forteresse » se transforme en piège lorsque la peste arrive en 429, la population est entassée, et 1/3 de la pop est ravagé en 3 ans. Finalement Les longs murs ainsi que la fortification du port furent démolies par le spartiate Lysandre en 404 lors de la paix, où les athéniens sont humiliés car perdant. Puis ils furent finalement remplacés en 393 par l'amiral athénien Conon.  Les longs murs reliant le Pirée à la ville d’Athènes. La deuxième partie du Pirée, c'est l'emporion

d’orgueil qui s’attribuent autant de mérites que leurs dirigeants. Cela se produisit à Lacédémone. D’un autre coté, des troubles peuvent encore se produire quand des hommes de grande valeur (vertu) sont bafoués par des gens d’un rend plus élève, comme Lysandre (général spartiate). Mais le principale cause des séditions qui détruisent les aristocraties, c’est la violation du droit dans les principes mêmes de la constitution. Pourtant, le principe essentiel de l'aristocratie paraît être d'attribuer la prédominance

termina tragiquement : les Latomies de Syracuse, bien connues des touristes, furent l’épouvantable dernière demeure du corps expéditionnaire athénien. Quelques décennies plus tard, abandonnée de ses alliés, Athènes fut écrasée par les Spartiates de Lysandre à Aigos Potamos (404 avant J.-C.) et dut capituler avec des conditions catastrophiques. Thucydide, l’historien de la guerre du Péloponnèse, attribue cette défaite non pas à une infériorité militaire mais à la soif athénienne d’hégémonie ainsi

aucun homme, qui les aurait pratiquées depuis l’enfance, de devenir sage - il n’est pas de nature exceptionnelle où 1. Voir Aristote, Métaphysique, A 6,987 b. 2. Diogène Laërce, Vies et opinions des philosophes illustres, III,5. 3. Voir Plutarque, Lysandre, 13, trad. J. Amyot, XXVI : « À raison de quoi il me semble que le poète Théopompe rêvait, quand il accomparait les Lacédémoniens aux taverniers, disant : “Qu'ils avaient donné à tâter aux Grecs du doux breuvage de la liberté, et puis y avaient mêlé

("N'est-ce pas Justina […] demandez pardon de nos fautes.") Situation du passage : J condamnée en tt que chrétienne, refuse de se convertir, arrivée de C qui se proclame chrétien, fureur du gouverneur d'Antioche. Tous les personnages sont en scène (sauf Lysandre). —> Dénouement, tous les fils narratifs reçoivent ici leur résolution. Scènes successives : - J et C se voient, hésitent à croire ce qu'ils voient (pourquoi ?) —> passage lyrique - Se raffermissent mutuellement dans leur foi - Entrée en scène

son témoin pour un duel, par un joueur de cartes, par deux amants en désaccord sur le sujet de la jalousie, par un chasseur, etc. – d'avoir avec elle le tête-à-tête qu'il désire. Dans la scène 3 de l'acte I, Eraste est même obligé de complimenter Lysandre sur la courante qu'il lui chante (Alceste, lui, se dispense de cette obligation envers Oronte...). Célimène se trouve chez elle. Pourtant, elle ne maîtrise en rien les entrées et sorties ; Alceste le déplore :  Quoi ! l'on ne peut jamais vous parler

parmi le peuple que nous nous ressemblons tous. Pour moi je m'en veux justifier, le plus qu'il me sera possible; et je les dauberai tant, en toutes rencontres, qu'à la fin ils se rendront sages. LE MARQUIS.— Dis-moi, un peu, Chevalier, crois-tu que Lysandre ait de l'esprit? DORANTE.— Oui, sans doute, et beaucoup. xviii Sur le théâtre: sur la scène* même. xix Les guillemets sont ajoutés par nous. xx VAR. que debout ou assis l'on peut (1682). 11 URANIE.— C'est une chose qu'on