Légalité Des Pouvoirs Exceptionnels Du Président

pas dans le domaine exécutif et/ou législatif. L’expression de « Libertés Publiques » entre dans le cadre de la conquête de l’administré d’obtenir plus de droits de l’Administration. Ce sont les Droits de l’Homme qui sont activement liés à cela (pouvoir d’auto-détermination). Elles vont conduire à un élargissement des catégories qui seront concernées, nouvellement reconnues. Cela va conduire à prendre en compte des aspects immatériels (Libertés Publiques de formes non-humaines, animaux, végétaux

l’administration est en partis soumis à un droit particulier → droit administratif. Le droit administratif c’est développé à l’époque où l’Etat était assez rebelle et se soumettait difficilement au droit et donc aux tribunaux. C’est pour ça que les pouvoirs publics ne pouvaient facilement accepter de se soumettre à la même règle de droit que les particuliers. C’est pour ça que la jurisprudence à développé des règles dérogatoires au droit commun. Le cciv admet la responsabilité civile des personnes

loi d’habilitation 2/ L’adoption des ordonnances 3/ La ratification des ordonnances 5
Le sens de cette disposition : Si les ordonnances de l’article 38 découlent de la pratique des décretslois, puisqu’elles reposent sur une délégation de pouvoir du Parlement au profit du gouvernement, elles doivent faire l’objet d’une autre lecture. En effet, la Constitution de 1958 repose sur une délimitation entre un domaine de la loi (article 34) et un domaine réglementaire (article 37). Article 34

caractère du pouvoir hiérarchique . Le pouvoir hiérarchique est un pouvoir de droit (CE, 30 Juin 1950 QUERALT) . Le pouvoir hiérarchique s’exerce pour des raisons de légalité et d’opportunité . Il peut s’exercer spontanément ou sur recours Parag.2 : Les modalités d’exercice du pouvoir hiérarchique A/ Le contrôle sur les personnes (mesures d’instruction ou sanctions) . L’autorité supérieure dispose du pouvoir de nomination et de mutation des agents placés sous son autorité. Cependant le pouvoir de sanction

pouvoirDans les années 1929, Gaston Jèze à écrit un article dans lequel il évoque le recours pour excès de pouvoir. Il explique avec enthousiasme que le « le recours pour excès de pouvoir est la plus merveilleuse création des juristes, qu’il s’agit là de l’arme la plus efficace, la plus pratique et la plus économique qui existe au monde pour défendre les libertés »Le recours pour excès de pouvoir est apparu dans les débuts du XIXème siècle par création jurisprudentielle. Deux arrêts viennent illustrer

s’exprime par des prérogatives, une capacité à agir. Ce sont les prérogatives de puissance publique (PPQ). Elles sont liées à la notion de souveraineté, lien avec le pouvoir ultime dans l’ordre politique et juridique. L’administration peut édicter des actes administratifs unilatéraux. Il existe un lien entre l’administration et le pouvoir, une dimension politique du droit administratif (ce n’est pour autant un droit partisan), c’est un droit de la place de l’Etat par rapport à la société civile. Le

la différence entre l’Etat et le régime ? Droit Constitutionnel: organisation et fonctionnement de l’Etat. La vie politique est la souveraineté. Polis: exercice du pouvoir --->politique. Les institutions politiques sont la manifestation du pouvoir politique. Le droit constitutionnel ce sont les règles d’acquisition et d’exercice du pouvoir et des rapports entre les institutions ainsi que les droits et libertés des citoyens. Le droit constitutionnel est au service d’une société. Le droit constitutionnel

regroupant des chômeurs et demandeurs d’emploi, forment un recours pour excès de pouvoir contre les deux arrêtés ministérielles au motif que les conséquences seraient catastrophiques pour les demandeurs à l’embauche. Le Conseil d’Etat, après l’examen des arrêtés, a vu les graves irrégularités qui les entachés. Néanmoins, le Conseil d’Etat était face à un dilemme important, puisqu’en effet une annulation pour excès de pouvoir entraîne une nullité absolue, ce qui veut dire que les actes sont réputés comme

« validations préventives » mais refuse implicitement « les validations a posteriori ». DC, 19 et 20 janvier 1981, « Sécurité et liberté » : le Conseil constitutionnel confirme la valeur constitutionnelle de nombreuses normes : principe de la légalité des délits et des peines ; principe selon lequel l’autorité judiciaire est la gardienne de la liberté individuelle ; respect des droits de la défense, respect de la présomption d’innocence ; égalité devant la justice ; respect de l’indépendance des

citoyens Après la révolution, l’administration est à la fois juge et partie ,( surprenant car s’est contraire avec le principe fondamentale de la SDP , «  tout société dans laquelle la garantie des droits n’est pas assuré , ni la séparation des pouvoir déterminé n’a point de constitution « article 16 DDHC) . Obj : empêcher l’empiétement des uns sur les autres , notamment entre administratif et judiciaire . La création du CE , par la constitution de l’an 8 , va marquer le point de départ d’une