Légitimité Du Roi

écart ? Oui, si la véritable légitimité d’un pouvoir est principalement dans un savoir. Mais relativement à cette condition, une différence apparaît. On ne décide pas d’un savoir ou d’une compétence par des suffrages. Des suffrages disent si quelqu’un est jugé digne d’assurer la responsabilité de la réalisation d’une fin politique en tant que non technique. La difficulté naît donc dans une tension entre les savoirs disciplinaires et les pouvoirs institués. La légitimité, c’est-à-dire la conformité

normales (dans un régime démocratique). Dans les régimes autoritaires, les autorités politiques ne sont pas élues, mais soit elles sont cooptées, soit un système électoral biaisé les désigne. L’accès au pouvoir renvoie à un problème complexe : la légitimité des autorités politiques. b-      L’exercice du pouvoir Renvoie au mécanisme constitutionnel : quelles relations entre les différents pouvoirs ? Les régimes autoritaires refusent d’organiser une compétition loyale pour la conquête du pouvoir

Gervais de Belleme. Ce métropolitain Gervais du son intronisation d’archevêque de Reims à la demande du roi Henri Ier au pape Victor II en 1055. Suite à la procession de Philippe Ier, il sera une figure importante à la mort de son père Henri Ier. En effet, il était membre du conseil de régence de 1060 à 1066 au coté d’Anne Kiev mère de Philippe Ier & du comte de Flandre Baudouin V, oncle du futur roi en attendant sa majorité. Comme indiqué dans le procès verbal, ce texte date de 1059. Extrait du Recueil

// vie monastique). • Essor culturel et artistique (« Renaissance carolingienne »). I – Un royaume, une religion. A – La dilatatio regni et l’évangélisation. • Conquête territoriale – évangélisation / conversion : le roi est le représentant de Dieu sur Terre → ses sujets = l’Ecclesia. • Expansion des Francs v. NE (Frisons – Saxons) mais résistance. → néc. de les impliquer dans pratiques et valeurs chrétiennes (fondement de l’U. du royaume).

étant, la violence n’a pas le monopole absolu de la légitimation du pouvoir politique (2). 1) Le monopole de la violence légitime comme essence du pouvoir politique La force serait le fondement du pouvoir politique (A), elle trouverait sa légitimité dans différents facteurs selon Max Weber (B). A) La force comme fondement du pouvoir politique : le moyen d’asseoir l’autorité Machiavel (1469-1527) et « Le Prince » : c’est chez le prince de Machiavel que l’on rencontre cette théorie à l’état

compléter son pouvoir temporel. A- Les origines divines du pourvoir royal. - Le roi est légitimé par le sacre : Il gouverne un peuple chrétien et est le représentant le plus proche de Dieu sur terre par le lien spirituel qu’il entretient avec la divinité. (On ne peut lui attribuer un pouvoir spirituel sans l’intervention du sacre qui noue le lien entre le roi et Dieu.) - Le roi tire donc son pouvoir du sacre conférant, par l’élection de Dieu, du pape, des grands, puis du peuple

(préambule)19-28 : la légitimité de la demande19« Les mères, les filles, les sœurs, représentantes de la Nation » Enumération ternaireGradation qui instaure une solennité. Le lien affectif est souligné grâce au lien qui unit chacune de ces femmes. O insiste sur la solidarité de celles-ci. Les épouses ne sont pas évoquée pour mettre en avant l’indépendance des femmes vis à vis des hommes20« demandent d’être constituées à l’Assemblée nationale »registre juridique, demande de légitimité Les femmes doivent

française de 1789. On peut définir la légitimité comme un caractère qui s'attache à un pouvoir jugé. C’est à dire qu’elle n'est pas immanente au phénomène du pouvoir mais qu’elle lui est attribuée à partir du moment où celui-ci est jugé comme la norme. La légitimité exprime donc nécessairement une valeur subjective puisqu’elle traduit un choix ou un parti pris. De fait, elle n’est impérative que si elle est reconnue comme telle par le groupe. Cette légitimité est également tributaire d'une

postulat que le roi dispose « de la puissance de commander et de contraindre sans pouvoir être commandé ni contraint par qui que ce soit sur la terre ». Cette puissance est perpétuelle, absolue, indivisible et elle permet au roi d’exercer tous les attributs de la souveraineté. La théorie du droit divin (Jacques Bossuet, La Politique tirée des propres paroles de l’Ecriture Sainte, 1670-1679). Selon cette théorie, tout pouvoir émane de Dieu, le roi tire ses pouvoirs de Dieu lui-même. Le roi ne doit de

sans parvenir à mettre un terme aux justices privées des grands propriétaires, le pouvoir impose l’émergence d’une justice royale, organisée autour du « tribunal du palais », qui constitue une juridiction d’exception par l’intermédiaire de laquelle le roi se réserve le droit d’intervenir dans certains procès. Plus tard, Charlemagne tente de réaliser l’unité et la centralisation du territoire par la création d’une administration centrale dotée de contrôleurs itinérants, les missi dominici , chargés notamment