Macédonien

mais aussi les tributs payés par les territoires occupés. Le tribut constitua donc une des motivations majeures des conquêtes, ainsi Tite-Live écrit "tirer de l'argent des espagnols","La Sicile et la Sardaigne […] payaient un tribut", "ils [les macédoniens] paient au peuple romain la moitié du tribut…". Les tributs payés sous forme d'impôts par les territoires conquis enrichirent Rome et participèrent à sa vigueur économique. L'appât du butin fut particulièrement alléchant pour les citoyens les

La civilisation musulmane est une nouvelle forme du Proche-Orient. Braudel parle d’une civilisation « seconde » car elle prolonge l’Empire gréco-romain. Elle est héritière d’un riche passé, et est en charge de lui créer un avenir. Le peuple gréco-macédonien a colonisé le Proche-Orient, durant l’ère coloniale, la civilisation grecque a perduré face à l’invasion romaine. Cette civilisation a fait du Proche-Orient un immense carrefour en fondant de vastes Etats, des villes à influence, des grands ports

politique (l’État-Nation le plus souvent) dont ils sont membres » EN ÉGYPTE ANTIQUE, sous les Lagides, avec la création de grandes cités telles Alexandrie nommées par Alexandre le Grand ou Ptolémaïs, la notion de citoyenneté était réservée à l'élite macédonienne, puis avec le temps s'élargit alors aux habitants de ces cités, bien que les Égyptiens du quartier de Rakhotis dans l'Alexandrie antique n'eurent jamais vraiment accès à ce statut et la ville était constituée de quartiers bien délimités qui souvent

Une distinction claire entre clergé et moine apparait. Sous Michel III, deux personnages tiendront une place importante, le patriarche Photius, qui connaitra quelques querelles avec un dénommé Ignace puis Basile qui sera le père de la dynastie Macédonienne en 867. Mais deux questions semblent nécessaires, en quoi et pourquoi, le Concile de Constantinople de 861, tente-t-il de trouver une solution aux dérives morales et religieuses ? Quelles solutions nous apporte celui-ci ? Pour répondre à cela,

veut démonstratif et déductif. Ainsi il est écrit: « je loge Philotas, considérant les circonstances du procès qu'Alexandre lui fit, et le progrès de sa géhenne.» Cet exemple n'est pas anodin car nous savons que Philotas est un brillant général macédonien qui avoue sous la torture ce qu'il n'a pas fait, donc en choisissant un personnage historique intelligent et important l'auteur montre que n'importe qui peut céder à la douleur physique et surtout les innocents. Le recours à l'exemple historique

vives subsistent en Europe.- Limites des efforts d’unification :=> Dû à la présence de minorités nationales dans les vieux états nationaux (ex : Basque, Corses…)Exemple : Balkans=> Minorité albanaise (musulmans) en Macédoine alors que les macédoniens sont orthodoxes.Minorité serbe au Kosovo (massacrée par les kossovards). - Malgré le désir d’unification de l’Europe, il reste des tensions dans les vieux états-nation européens. 8.L’Europe unifiée: une utopie ?1) Quelles frontières, quelles limites

La nourriture pour les aristocrates était servie sur des plateaux en argent pur; ils mangeaient avec des ustensiles en argent et buvaient leurs boissons dans des coupes en argent. L'utilisation médicale de l'argent a une longue tradition, les Macédoniens plaçaient des plaques en argent sur les blessures pour aider à leur cicatrisation. La Grèce antique connaît l'apogée de la phytothérapie du temps d'Hippocrate (460-370 av JC), qui décrivit plus de 230 plantes médicinales dans son ouvrage "Corpus

(observation de la Nature). Section 2 : les Royaumes Hellénistiques * Crises intérieures, dérive du système : démocratie athénienne a dégénéré en démagogie. Le Royaume de Macédoine en a profité (royaume mi-grec mi-barbare), chef appelé le Roi des Macédoniens : royaume très militaire, les compagnons du Roi gouvernent avec lui, il consulte une assemblée de guerriers, qui prêtent un serment de fidélité au Roi. Philippe II (Roi de 359 à 356) veut reprendre la conquête de la Grèce, victorieux, il contraint

avec fierté, célébrer son courage car il a fait beaucoup de chemins. Parmi les langues slaves on retrouve principalement le russe, le polonais, le bulgare, l’ukrainien, le serbo-croate, le tchèque, le biélorusse, le slovaque, le slovène, le macédonien et les autres. On divise normalement ce groupe en trois sous-groupes, au sein desquels on remarque une ressemblance encore plus grande. Le russe appartient aux langues slaves de l’est, tout comme le biélorusse et l’ukrainien. |Groupes

après par les Mèdes et les Chaldéens dont les royaumes ( Seconde époque fastueuse de Babylone ) seront à leur tour« phagocytés» par la puissance Perse ( circa 555 - 330 av. J.-C. ). L'empire perse lui-même sombrera sous les coups de la phalange macédonienne conduite par les généraux d'Alexandre le Grand ( 333 ). § 2 - Les puissances occidentales. Les civilisations occidentales du monde antique s'identifient principalement à la Grèce et à Rome. Cependant le monde égéen qui sert de trait d'union entre