Macrocosme

Chapelle Sixtine, placé en dessous de la célèbre fresque "La création d'Adam" de Michel-Ange. Dans tout les cas, le sol représente un macrocosme, une représentation de l'univers dont le cercle centrale symbolise Dieu et les quatres cercles restantes représentent les quatres éléments (Eau, Feu, Terre, Air). Cela pourrait signifier que la vie des deux hommes posés sur le macrocosme (et par extension la vie des hommes en général) dépendent de Dieu. Anamorphose : L'arrière-plan dévoile un crucifix

l'ordre du corps et de l'esprit. Individu pensant supérieur à l'ordre de l'univers matériel. Contraste de taille : « Par l'espace l'univers me comprend, par la pensée je le comprends »; le microcosme qu'est l'homme par la pensée est supérieur au macrocosme de l'univers. Mais la pensée est aussi le drame de l'homme, car par elle il a connaissance de sa détresse et de sa misère. Mais cette conscience permet à l'homme d'accéder à la lumière de Dieu. Le fait que l'H connaisse sa misère fait qu'il en

une seconde partie le motif du paysage, et enfin dans une troisième partie le traitement moderne de ces deux motifs. I Le motif de l’amour A/ Un poète aimant B/ Une définition négative de l’amour II Le motif du paysage A/ Macrocosme et microcosme B/ Un paysage intérieur ? III La modernité du poème A/ Les héritages B/ Un poème d’amour sur le mot « amour » Conclusion

N'introduit-elle pas, en effet, sur la scène des principes dramatiques que partageront BECKETT, ADAMOV, GENET: une façon quasi rétrospective d'aborder la vie, en quelques sorte depuis le seuil de la mort; la réversibilité du microcosme (une chambre) et du macrocosme (l'univers); une relation interpersonnelle réduite à la trame des rapports maître-esclave ? Parcelles de vie prises dans les tourbillons du néant, êtres repliés sur eux-mêmes, enkystés dans leur "vieux coins" (BECKETT) et/ou perdus dans le no man's

scientifique. Stratégie de conviction grâce à la réflexion et au raisonnement intellectuel. Pascal va d'abord s'intéresser à l'infiniment grand pour ensuite passer à l'infiniment petit et terminer par la place de l'homme dans la nature. Le macrocosme (l.1-20) observation par la vue → champ lexical de la vue « contempler » (l.1), « regarder » (l.2), paraître (l.3), s'étonner (l.5). L'inquiétude apparaît avec « s'étonner », l'univers est donné en spectacle = mise en scène. Image de la

est l’occasion de s’évader § 2 : mon âme voyage → apparition du thème maritime qui est signe du voyage métaphore de l’hémisphère pour désigner la chevelure → la femme est un petit univers à elle seule (à travers sa chevelure)→ cela reflète le macrocosme La femme est une petite porte ouverte vers l’infini→ dilatation de l’espace mis en scène dans le poème : « éternel chaleur ». 2) La femme est comme présence charnelle et sensuelle Les sensations prennent une importance/place considérable

ces disciplines - mais ce n’est pas tout : Gargantua ajoute en effet, la connaissance du droit civil (l 19), et les sciences de la nature sous un double aspect : connaissance de la nature, le macrocosme, connaissance du corps humain, microcosme qui, dans la pensée de la Renaissance, est à l’image du macrocosme : « quant à la connaissance de la nature, je veux que tu t’y appliques avec soin : qu’il n’y ait mer, rivière ou source dont tu connaisses les poissons, etc. … jusqu’à…de tout l’Orient et du

même temps frustration de la part du poète. -5ème paragraphe : description détaillé du « pépin »: développement du mot qui clôt le premier paragraphe par la description ultime du « grain », réintroduit le lecteur dans un microcosme contenant le macrocosme initiale. Le poème en prose est clôt. II- Un investissement passionnel dans la présentation de l'objet • Le signifiant (forme matérielle) et le signifié (chose qu'il désigne) (le signifié : concept, idée désigné par le signifiant) La poésie

de grandeurs et pourquoi ils sont indispensables quand on parle des choses comme l’infiniment grand et l’infiniment petit, ensuite on va savoir c’est quoi l’infiniment petit et l’infiniment grand ou comme nous les appellerons le microcosme et le macrocosme et comment les voir. Ensuite une petite conclusion où on va répondre sur les questions posées à l’aide de la recherche. B. Développement : I. L’ordre de grandeur : « C’est une représentation simplifiée et synthétique d'une grandeur physique

cinq branches (étoile d’or) voir pages 305 à 308. La construction est mathématiquement rigoureuse. Utilisation des outils : Equerre et compas. L’équerre symbolise la terre, le compas le ciel. Rappel de l’étroite imbrication entre microcosme et macrocosme lorsque l’équerre et le compas sont entrecroisés. Au grade de compagnonne, l’écartement du compas correspond à la moitié de l’angle droit de l’équerre. Le compas a besoin de l’équerre pour réaliser ce dont le compagnon est potentiellement et virtuellement