Madame Bovary Commentaire Une Vieille Domestique

VI Le père Fauchelevent .......................................... 289 Chapitre VII Fauchelevent devient jardinier à Paris .............. 295 –3– Chapitre VIII Madame Victurnien dépense trente-cinq francs pour la morale ......................................................................... 297 Chapitre IX Succès de Madame Victurnien ........................... 301 Chapitre X Suite du succès ..................................................... 305 Chapitre XI Christus nos liberavit ...

que l’homme ». - sens du XVIè européen, lié aux phénomènes de la renaissance. Face aux lettres divines ; les lettres humaines < humaniores littérae : les études profanes. Restauration de la lettre en réaction aux textes étouffés sous les commentaires. Retour aux textes originaux, retour aux sources de la pensée. Au sens strict, l’humaniste est celui qui fait revivre en lui la culture antique. Mise en avant d’un modèle de perfection humaine : Erasme, Budé, Léonard de Vinci, Dürer, Montaigne 

drame est le réel; […] tout ce qui est dans la nature est dans l'art": l'homme étant conçu, dans une perspective chrétienne, cô un être fondamentalement double (à la fois âme et corps), le théâtre doit unir le sublime et le grotesque et répudier la vieille unité de ton. Autres conventions du théâtre classique, les unités de temps et de lieu sont aussi refusées. Défini comme "un point d'optique", le drame romanesque ne connaît d'autre modèle que la nature. Se pose alors la question de la spécificité

exemple, Lorenzo n’hésite pas à employer des termes de la langue parlée, vulgaires et dépréciatifs. Le héros romantique est, au sens propre du terme, le porte-parole d’une nouvelle manière de s’exprimer. Les précurseurs du romantisme français Madame de Staël Germaine de Staël, fille du riche banquier genevois Necker. Elevée dans Paris, dans le salon de sa mère, toujours active dans la vie politique et, à cause de cela, insupportable pour Napoléon qui l’exile de Paris. Elle se met à voyager

mémoire M. Med Salah Dadci, maître assistant chargé de cours à l’université de Mentouri de Constantine. Nous tenons à lui exprimer toute notre reconnaissance pour son dévouement, la confiance qu'il nous a accordée, sa rigueur et la qualité des commentaires et suggestions dont il nous a fait part. Nous remercions aussi les membres du jury qui ont accepté de juger et d’évaluer notre travail. Nous remercions particulièrement nos familles, qui nous ont soutenus et encouragé durant toute la période de

au nom du peuple africain, revendiquer la liberté, les droits de l’homme, bref la justice sociale. Très logiquement, cet esprit critique animera certains écrivains qui recourent à la plume pour assurer leur rôle social en dénonçant le travail domestique des enfants et en sensibilisant le public sur ce fléau. Dissirarna Boutora-Takpa est l’un de ces écrivains qui ont été choqués et révoltés par l’exploitation des enfants. Son Journal d’une bonne est l’une de ces voix qui s’élèvent contre cette «peste

compagnie familiale – père, mère, jeunes frères et sœurs – avec lesquels elles peuvent à loisir jouer le rôle de « petite maman ». Les femmes sont présentées essentiellement à travers leur rôle de mère, avec deux activités principales : tâches domestiques et devoirs parentaux. Détail d’importance, les mères n’exercent pas d’activités professionnelles rémunérées, contrairement à la réalité. Lorsque les femmes – non mères – exercent un rôle professionnel, il s’agit de domaines peu variés et

surprise les perfidies que chacune profère sur son aînée. Puis il décide de reproduire l’expérience en sens inverse, en provoquant cette fois lui-même les réactions de vanité : « Nous avons assez monté ; descendons à présent, et commençons par la vieille qui est au sommet » (l. 20-21). L’image de la pyramide des âges est ainsi convoquée. Sans doute Montesquieu fait-il preuve d’une misogynie assez transparente dans cette construction en échos, qui montre la femme en plein déni de la vieillesse. L’aveuglement

Prénom : . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . Index des thèmes de corpus L’argent p. 42-43 La boîte de camembert p. 32-33 Le buffet p. 6-7 Les cadeaux p. 64-65 La casquette de Charles Bovary p. 36-37 Les commerces p. 34-35 La dématérialisation p. 30-31, 42-43 et 62-63 Les hippies p. 8 La nécessité des objets p. 55 Le luxe p. 4-5 La machine et l’homme p. 38, 66-67 Objet esthétique/objet utilitaire p. 14-15 L’objet magique p. 12 L’objet

chut ! » impérieux la font taire. « Dans l’immeuble d’en face, une vieille dame écrit. Tous les soirs, tous les soirs sans exception, cette vieille dame écrit. Je la vois en ombre chinoise derrière ses rideaux. Une lampe rose est posée sur son bureau, et reste toujours allumée très tard. Sa fenêtre est la dernière à être éclairée, et au milieu de la grande façade sombre, on dirait un écran de télé. Quelquefois, la vieille dame se lève, disparaît à l’intérieur de l’appartement, puis revient