Madame Bovary Portrait De La Servante

Français : Livres 1°/ Sommaire * L’Assommoir de Zola * Le Mariage de Figaro * Phèdre de Racine * Gargantua de Rabelais * Madame Bovary de Flaubert * Les Femmes Savantes de Molière * La Parure de Maupassant * Jeannot et Colin de Voltaire * Le Mariage de Figaro de Beaumarchais * L’Avare de Molière * Une Vie de Maupassant * Le Tartuffe de Molière * Un Secret de Philippe Grimbert * Rhinocéros de Ionesco * La Leçon de Ionesco * Ruy

des personnes vicieuses ». D’où l’analyse des défauts humains à travers des types humains. Nous sommes ici au début d’une série où DB peint galerie de portraits satiriques (sonnet 64 : type du bâtard ; sonnets 65, 66, 67 : type du pédant). Caractérisation Dans cette continuité avec le sonnet 62 qui a programmé le sonnet 63, on a ici le portrait type de l’hypocrite : il s'agit a priori d'un homme particulier (« Quel est celui ») et en même temps, le sonnet reste dans l’indétermination. Structure

Humanisme (1530-1600) L'humanisme est né en Italie à la Renaissance au XIVème siècle et s'étendit à l'Europe au XVIème siècle. Les textes de ce mouvement se réfèrent à l'Antiquité en servant de modèle de vie. C'est une vision du monde où tout gravite autour de l'homme. L'Humanisme va se propager en premier lieu à l'Allemagne, à la Hollande puis enfin à la France. C'est en 1530 que ce mouvement touchera toute l'Europe. C'est surtout grâce au poète Pétrarque et Boccace que l'humanisme prendra

Le portrait dans les romans du XVIIème au XXème siècle Problématique : Quel rôle le portrait joue-t-il dans la construction du personnage ? Objet d’étude : Le personnage de roman, du XVIIème à nos jours. groupement de textes (lectures analytiques d’extraits) : 1. Paul Scarron, Le Roman comique (portrait de Mme Bouvillon) 2. Stendhal, Le Rouge et le Noir (portrait de Mr de Rênal) 3. Gustave Flaubert, Madame Bovary (portrait de Catherine Leroux) 4. Alain Robbe-Grillet, La Jalousie (portrait de

comme celle-là. Je vous dis que tout le monde en fait autant», lui déclare l’abbé Picot qui ne s’en formalise pas ! Paul, dont le portrait rappelle étrangement celui de son père, a été conditionné par lui, et les déceptions multiples qu’il cause à sa mère ne sont que la répétition de celles qu’elle a connues avec Julien. Rosalie n’est pas seulement la servante au grand coeur : elle est la figure inversée de Jeanne, car, si elle est aussi victime de Julien, elle parvient néanmoins à donner à

« les épaves » publiées à Bruxelles les immortalisant à tout jamais . Il ne fut pas le seul à être victime de la censure, qui sous le second Empire était très fréquente, comme l’atteste le cas de Flaubert peu de temps avant pour son roman : « Mme Bovary». Tous deux furent accusés « d’atteinte à la morale publique et aux bonnes mœurs ». Les sujets abordés dans ces six pièces évoquent principalement le thème de l’homosexualité féminine, de la prostitution et surtout de la sexualité en générale ( des

qualifiée, il annonce une platitude extrême, une banalité que renforce l'épigraphe «L'humble vérité», qui est tout à fait dans l’esprit des romanciers réalistes. Le personnage n’est pas nommé alors qu’à la même époque on trouve des titres tels que “Madame Bovary”, “Germinie Lacerteux”, “Thérèse Raquin”, etc.. Mais ces femmes sont des héroïnes au sens dynamique du terme, qui agissent, qui mènent combat, alors que Jeanne est une anti-héroïne. En fait, le mot « vie » est à prendre comme une antiphrase, car

exempt de calculs. Il évite soigneusement toute dépense vestimentaire ou ménagère et tire profit de tout et de tous 10 ». Il est dévoré par l’or qui vient seul dans son cabinet. Sa passion envahit non seulement sa vie mais celle des autres. Nanon, sa servante, par exemple est devenue aussi avare que son maître. L’avarice de M.Grandet est prouvée par ses dépenses limitées. Il ne dépense pas beaucoup. Il n’achète rien ; toutes les nécessités de la famille viennent de ses fermes ; des poulets, des œufs,

panorama de l’idée esthétique proposée par Jules Barbey d’Aurevilly dans Les Diaboliques, recueil de six nouvelles paru en novembre 1874, à Paris, chez l’éditeur Dentu3. L’ouvrage a été vite jugé comme scandaleux, et son auteur mesuré à partir des portraits qu’il a dressés de ses personnages. Or, nous vou- drions regarder de près les fils de la trame d’une de ces nouvelles en par- ticulier : Le bonheur dans le crime dans le but de mettre en exergue ce qui se constitue comme une conception particulière

de calculs. Il évite soigneusement toute dépense vestimentaire ou ménagère et tire profit de tout et de tous 10 ». Il est dévoré par l’or qui vient seul dans son cabinet. Sa passion envahit non seulement sa vie mais celle des autres. Nanon, sa servante, par exemple est devenue aussi avare que son maître. L’avarice de M.Grandet est prouvée par ses dépenses limitées. Il ne dépense pas beaucoup. Il n’achète rien ; toutes les nécessités de la famille viennent de ses fermes ; des poulets, des œufs