Madame De Tourvel Dans Les Liaisons Dangereuses

EVALUATION DIAGNOSTIQUE PREMIERE SEPTEMBRE 2014 – 2h SUJET A A – GUILLERAGUES, Lettres portugaises (1669) B – MADAME DE SÉVIGNÉ, Correspondances, 5 octobre 1673. C – MONTESQUIEU, Lettres persanes, « Lettre CLXI »(1721) D – LACLOS, Les Liaisons dangereuses, « Lettre CXXVII » (1782) AU CHOIX QUESTIONS DE CORPUS 1) Quelle est la place dévolue au destinataire dans chacune de ces lettres ? 2) Quel est l’enjeu de chaque lettre ? INVENTION La fille de Mme de Sévigné s’empresse de répondre à la lettre

Fleurs du Mal, les poèmes qui disent l'amour ou que l'amour inspire représentent la majeure partie de « Spleen et Idéal » : c'est que ce sentiment est l'objet de variations très complexes dans l'esprit du poète et que ce dernier a connu plusieurs liaisons, auxquelles on peut faire correspondre plusieurs cycles l'amour baudelairien est bien plus riche et nuancé pour être condensé dans ces deux extrêmes : la jouissance spirituelle et sensuelle de l'esthète qui contemple la beauté, l'évasion

 [16a] D.R.  [16b] D.R.  [18] D.R.  [19] D.R. Philippe Leclercq Les Liaisons dangereuses, un film de Stephen Frears (Dangerous Liaisons, 1988), scénario de Christopher Hampton d’après sa pièce qui adapte le roman de Choderlos de Laclos, avec Glenn Close (la marquise de Merteuil), John Malkovich (le vicomte de Valmont), Michelle Pfeiffer (madame de Tourvel), Keanu Reeves (le chevalier Danceny), Uma Thurman (Cécile de Volanges). 1 h 56 min

LES PERSONNAGES DES LIAISONS DANGEREUSES / Mme de Merteuil : Dans la lettre 81, elle fait son autoportrait pour expliquer à Valmont qui elle est vraiment. Cette lettre, sans rapport avec l'action du roman, est cependant très importante. En effet, Mme de Merteuil tombe le masque et nous donne en quelque sorte la clef nécessaire pour comprendre ses agissements, ses comportements. Dés lors, plus aucune ambiguïté ne demeure, tout ce qu'elle dit, tout ce qu'elle fait est calculé.

Avec l’individu et sa subjectivité est apparue l’ambition qui anime les personnages de roman et tout particulièrement les trois protagonistes masculins des textes suivant : Les liaisons dangereuses de Choderlos de Laclos, Le Rouge et le noir de Stendhal et enfin Bel-Ami de Guy de Maupassant. . La notion d’ambition recouvre différentes formes et le personnage de la femme semble être un moteur de l’héroïsme. Elle est, chez le héros libertin qu’est Valmont bien différente de celle de Julien Sorel

Madame de Lafayette, La Princesse de Clèves Parcours : individu, morale et société. Ce sujet est celui prévu pour la session du baccalauréat 2020. Selon vous, Madame de Lafayette condamne-t-elle la passion amoureuse dans La Princesse de Clèves ? Vous répondrez à cette question dans un développement organisé en vous appuyant

désabusé, ne sachant même pas « comment lui faire une malheureuse comédie »1. C’est donc sans enthousiasme qu’il commence l’écriture d’On ne badine pas avec l’amour, finissant deux mois plus tard, pour enfin se tourner vers le projet de son roman. La liaison passionnée qu'il a entretenue avec George Sand a nourri en grande partie la pièce, ainsi la scène 5 de l'acte II reprend des passages des lettres écrites par George Sand lors du conflit amoureux (« Tous les hommes sont menteurs, inconstants… ») Musset

titre est repris → ce livre a été écrit pour mettre en garde des liaisons dangereuses. Il délivre des ____leçons : être libertin comme M. c'est mal (adressé aux libertins) + faites attention aux relations de votre ____fille (adressé aux non-libertins). (2) On va montrer que c'est la fin. Le commentaire : ___I)__La conclusion du roman. (côté narratif) _____1)__La marquise de Merteuil. ___■ Première phrase : « le sort de madame de Merteuil paraît enfin rempli » : d'emblée insistance sur

 Laclos : Les Liaisons Dangereuses Première Lettre Cécile Volanges à Sophie Carnay, aux Ursulines de. . . . . Tu vois, ma bonne amie, que je te tiens parole, & que les bonnets & les pompons ne prennent pas tout mon temps ; il m’en restera toujours pour toi. J’ai pourtant vu plus de parures dans cette seule journée que dans les quatre ans que nous avons passés ensemble, & je crois que la superbe Tanville[1] aura plus de chagrin à ma première visite, où je compte bien la demander, qu’elle n’a

effet pittoresque dans Paris. Chacun de ces murs est tapissé d'espaliers et de vignes dont les fructifications grêles et poudreuses sont l'objet des craintes annuelles de madame Vauquer et de ses conversations avec les pensionnaires. Le long de chaque muraille, règne une étroite allée qui mène à un couvert de tilleuls, mot que madame Vauquer, quoique née de Conflans, prononce obstinément tieuille, malgré les observations grammaticales de ses hôtes. Entre les deux allées latérales est un carré d'artichauts