Madeleine de Scudéry

Jeunesse Orpheline dès l'âge de 6 ans, c'est son oncle, un ecclésiastique, qui élève Madeleine de Scudéry, lui fait découvrir les lettres la danse la musique et, qui par ses entrées à la Cour, lui fait rencontrer des personnes influentes et intégrer le salon de l'hôtel de Rambouillet, au milieu des années 1630. Elle s'installe définitivement à Paris en 1640[1], suivant son frère Georges. Elle apprend également la danse. Elle est presséntie pour être la gouvernante des nièces du cardinal Mazarin[2]

Madeleine De Scudéry Présentation : Première femme primée par l'Académie Française, Madeleine de Scudéry fut une des romancières du courant précieux du 17ème siècle. En 1652, elle réunit dans son salon du Marais tous les samedis, des gens de lettres. Tous les ans, elle publie un ou plusieurs tomes de ses romans fleuves, dans lesquels les habitués du salon se reconnaissent sous des surnoms: Sapho, Acante, etc.. Une querelle surgit entre Madeleine de Scudéry et l'abbé d'Aubignac, qui se disputent

par Marie-Madeleine de La Fayette en 1678. Il s’agit d’un roman historique qui prend comme toile de fond la vie à la cour des Valois, dans les dernières années d'Henri II. Cette œuvre classique est considérée comme un des premiers romans d’analyse. Tournant dans l’histoire du roman à la période classique, il marque l’affirmation en littérature de la place des femmes dans la vie culturelle du XVIIe siècle. Avec la Princesse de Clèves, chef-d’œuvre de la préciosité classique, Marie-Madeleine de La Fayette

« Conceptions de l’amour au XVIIème » Texte 1 : Madeleine de Scudéry, Clélie, histoire romaine (1654-1660) Texte 2 François de la Rochefoucauld, Maximes (1664) Texte 3 : Jean Racine, Phèdre : Acte II scène 5 (1677) Texte 4 : Madame de la Fayette, la princesse de Clèves (1678) Questions : Ces extraits présentent-ils les mêmes conceptions de l’amour et de l’homme ? Ces textes 2 , 3 et 4 présentent tous des conceptions de l’amour et de l’homme pessimiste, cependant, les auteurs présentent

Conséquence de ce mépris, ils se propagent librement Les savants : littérature mineure, non codifiée par les anciens, genre bâtard frivole Les romanciers : libres de leurs expérimentations, stratégie d’autodérision dans le discours préfaciel Georges de Scudéry[2] Ibrahim ou l’Illustre Bassa[3] (1642) : préface fondamentale, poétique du roman, épopée en prose I – Le roman de l’âge baroque (premier tiers du 17ème siècle) 4 éléments en commun : - la prolixité : romans fleuves entre 3000 et 7000

sont nombreuses mais sans doute Mlle. De Scudéry est l’une des plus importantes. En effet elle a mit a la mode une préciosité plus savante, plus littéraire, plus culturelle. Une autre figure très importante est: Anne-Marie Bigot, femme savante ayant fortes influences dans les écrits des femmes, Marguerite Hessein de la Sablière distinguée par son esprit, sa bienfaisance et sa connaissance des sciences (Maths, physique, astronomie, …) |[pic]Mlle de Scudery

beümkgebükmmübegoüegoümbmüobegmüomgeboümüoegbümoübgemoüebgmükmügebümkegbkmüeükbgkümg Présentation Le site "Artamène" offre l'intégralité du texte du plus long roman de la littérature française, Artamène ou le Grand Cyrus (1649-1653) de Madeleine de Scudéry (13 095 pages dans son édition originale, 7443 dans cette édition en ligne). Présenté dans sa graphie d'époque, le texte est accessible, par le moyen d'outils de visualisation, dans des présentations différenciées (pagination originelle

des écrivains comme Malherbe, le Cavalier Marin, Racan, Vaugelas,Conrart, … De 1625 à 1648, les grands seigneurs s'y succédèrent, le duc d'Enghien, Mademoiselle de Bourbon, ....De nouveaux écrivains firent leurs arrivés, Voiture, Georges et Madeleine Scudéry, Sarasin, Mairet, Godeau, Ménage, Cotin, et de temps à autre Pierre Corneille vint y lire une nouvelle pièce. Hélas, l'Hôtel de Rambouillet commença à décliner suite à des évènements successifs (comme le mariage de Julie en 1645, les décès de

littéraires. Mais le but originel du salon fut la conversation raffinée dont le sujet principal était l’amour. Madeleine de Scudéry: Madeleine de Scudéry rassembla tous les samedis dans son salon des bourgeoises amoureuses de roman et de gens de lettres. Le salon de Mademoiselle de Scudéry fut moins aristocratique, moins mondain que celui de Madame de Rambouillet. Le salon de mademoiselle de Scudéry eut la bonne réputation de déterminer le ton de la préciosité littéraire et morale pendant de longues années

préciosité « L’amour, cette passion capricieuse, qui ne se satisfait que par elle-même »[1] Bibliographie : Honoré d’Urfé, L’Astrée, Folio classique, 1984 Madeleine et Georges de Scudéry, Artamène ou le Grand Cyrus, extraits, GF Flammarion, 2005 Madeleine de Scudéry, Clélie, histoire romaine, Folio classique, 2006 Madeleine de Scudéry, L’Amour tyrannique, in Œuvres complètes « Théâtre du XVIIème siècle », Bibliothèque de la pléiade, tome 2, p. 531-599 Molière, Les femmes savantes, in Œuvres