Magasin Cora

secteur de la distribution des biens de consommation, ayant subit une très grande expansion dans le dernier quart du XXe siècle. Ce type de distribution a fait ses premiers pas dans les lors du second empire (entre 1850 et 1870) avec l'essor des grands magasins des centres-villes comme la Samaritaine, le Printemps ou les Galeries Lafayette, mais son développement d'aujourd'hui, aux marges des agglomérations, avec les hypermarchés et les supermarchés, s'est surtout poursuivi et accéléré à partir du début

morts, 1 est au Mexique et la dernière est Geneviève et vit avec eux. La mère s’appelle Elizabeth. Ils disent que leur magasin de drap ne marche pas. Mr Baudu est embarrassé pour les loger, Papé va donc aller chez Mme Gras, une dame s’occupant des enfants pour peu d’argent. Les Baudus parlent d’un Mr Vinçard, à la recherche de vendeuse pour leur magasin. Colomban, l’employé du magasin est amoureux de Geneviève. Ils veulent se marier. Lorsqu’ils vont chez Mr Vinçard, celui-ci est en conférence avec

et s'implanter a une cadence croissante des grandes surfaces. Cette évolution varie largement selon les types des magasins et les catégories des produits commercialisent. Depuis les années 60, la distribution au Maroc a connu de fortes fluctuations. Et ce n'est qu'a partir de 1989 qu'on a commencé à se captiver à la distribution moderne. Cette année a connu l'émergence du premier magasin hypermarché Marjane à Casablanca. Et ce n'est que par la suite que Makro (Metro) apparaisse comme l'initiateur de

Emile Zola, écrivain du XIX siècle nous présente dans Au Bonheur Des Dames, un grand magasin, son économie, ses forces, ses faiblesses et l'impact que ce dernier a sur les petits commercants des allentours, à travers l'histoire très réaliste d'une jeune fille opheline, Denise, chargée de ses deux frères. Zola nous dévoile l'économie de l'époque, en plaçant le lecteur à l'intérieur même de celle ci, dressant des portraits pointus des clients d'autrefois, des vendeurs, et du patron. L'alliance de ce

apporte à ses clients, au regard des opportunités amenées par les nouvelles technologies. a) La carte de fidélité Simply Market : La carte de fidélité Simply Market est remise gratuitement à toute personne majeure sur simple demande en magasin, après remise du bulletin d’adhésion dûment renseigné. (voir annexe) Les informations contenues dans le bulletin d’adhésion permettent à l’entreprise de mieux connaitre le type de clients qui adhérent à sa carte, mais aussi de répertorier pertinemment

de courriel:* | | Adresse: | | Ville: | | Code Postal : | | Quel est le magasin que vous fréquentez le plus?* |                                                                                          | À quel magasin vous référez-vous dans ce formulaire?* i  |                                                                                          | Date et heure de votre dernière visite au magasin:* | | 1) Qualité des produits alimentaires:* |   | Viandes:       |           

| |Boucheries-charcuteries |6,3 |5,2 |/// |/// | |Autres magasins d'alimentation spécialisée |4,7 |5,0 |/// |/// | |Petites surfaces d’alimentation générale et magasins de produits |8,6 |8,3 |0,8 |0,5 | |surgelés |

Elle se voit ainsi contrainte de rejoindre Paris afin de travailler pour son oncle Baudu, qui tient un vieux commerce dans la ville. Denise constate la déchéance des affaires du vendeur de tissu et de sa famille devant la montée en puissance d’un magasin : Le Bonheur des Dames, qui, malgré les propos dépréciatifs de son oncle à son sujet, fascine la jeune femme. Celui-ci, tenu par Octave Mouret, gagne les faveurs des femmes de Paris et ne cesse d’étendre son importance.

économique qui présentaient de nombreuses offres. C’est à partir de la révolution industrielle, que le concept de centre commercial change de tournure. En effet, le mode de consommation évolue et avec le développement de la publicité, de grands magasins font leur apparition. Aujourd’hui, les centres commerciaux sont devenus des points d’attractions touristiques où les fréquentateurs ne sont plus obligés d’acheter, mais peuvent seulement regarder. Les malls (définition !!!!!) ou les shopping centers

(1883), il s’intéresse à la peinture du milieu du commerce, et en particulier d’un grand magasin. Le propriétaire du magasin, Octave Mouret, a organisé une « journée de grande vente ». Alors que la journée touche à sa fin, il contemple, du haut d’un escalier, la cohue des acheteuses qui continuent à se presser dans les rayons. Zola, toujours habile à évoquer les foules, recrée pour nous l’atmosphère de ce grand magasin. A travers cette évocation, toutefois, il trace le portrait d’un homme, Octave Mouret