Magistrat

délinquants et leur prise en charge. C’est pourquoi, la PJJ se consacre exclusivement à la prise en charge des mineurs au titre de l'ordonnance de 1945 et cesse ainsi de consacrer son activité à l'assistance éducative et aux jeunes majeurs. Les magistrats ne peuvent donc plus placer en hébergement au titre de l’assistance éducative les mineurs ayant commis des actes de délinquance ou des crimes. Le recentrage sur un public délinquant ou très violent nécessite d'élaborer de nouvelles pratiques éducatives

levée les propositions de décrets qui ont été préparées par la Boulée (Conseil de la cité). Les citoyens tirent au sort les magistrats (qui pour un an organisent la vie de la cité), ils prennent les décisions relatives à la guerre, ils ont le pouvoir d’ostraciser (bannir définitivement du territoire de la cité) et ils gèrent les finances. Les dix stratèges (issus des magistrats) ont un rôle important : ils s’occupent de la politique extérieure et notamment des guerre. Le pouvoir juridique est assumé

attribuent leurs absurdités à Dieu, alors Dieu doit être le contraire. Voltaire critique aussi les religieux tout comme les fanatiques. Ces derniers, s’ils entendent quelqu’un parler mal d’un maître, ils les dénoncent à un magistrat en pensant faire un geste juste. Les magistrats des âmes utilisent Dieu comme menace envers la population. Là encore, Voltaire critique ces discours infondés et tyranniques. L’athéisme est, selon voltaire, une conséquence de la tyrannie des mercenaires des âmes. Ces derniers

considérablement élargie après le Ier siècle B. Les droits des citoyens athéniens et romains A Athènes A Rome Droits politiques -voter et tirer au sort les autres magistrats -décider des lois, de la guerre et du budget et de l’ostracisme -occuper des magistratures -voter lors des élections aux Comices (assemblées) -être élu magistrat Droits civiques -posséder un droit et le léguer -se marier avec une athénienne -avoir droit à un procès et ne pas être torturé -porter les trois noms et la toge -se

à la fin pendant toute la durée de procès. Pour les membres du parquet : les 3 principes sont rigoureusement l’inverse. -le ministère public est soumis à une autorité hiérarchique. Tous les parquetier dépendent du ministre de la justice -les magistrats du parquet ne sont pas inamovibles : leur consentement n’est pas requis pour une mutation. Le ministère public est interchangeable au cours d’un même procès. Chaque membre représente le Parquet dans son ensemble. TITRE II : Les auxiliaires de

L’Organisation judicaire I Les principes fondamentaux de l’organisation judicaire. 1) La justice est le monopole de l’Etat Justice privée interdite, seuls les magistrats peuvent rendre la justice. Exception en matière commerciale : arbitrage (= forme de justice soit même). Arbitrage = faire appel a un autre commerçant Souhait de confidentialité (la justice et ses décisions) Le cout (moins cher car plus rapide) Contenue dans une clause du contrat entre commerçants = compromissoire

l'urgence, par des magistrats français ou étrangers. Aussi, l'exercice de la police judiciaire ne s'entend plus seulement dans le seul cadre national, mais se pratique également dans une dimension transfrontalière, régionale (c'est-à-dire dans l'espace européen), voire internationale. Dorénavant, dans un cadre juridique clairement identifié, selon un périmètre d'action soit limité aux États membres de l'Union européenne, soit élargi, l'entraide judiciaire permet aux magistrats et aux enquêteurs de

(art 64 à 66.C). Statut des magistrat qui les protège de toute influence du pouvoir politique (pour les magistrats du siège, pas les magistrat du parquet qui font les réquisitoires). Le CSM : Garantie d’indépendance de la magistrature >> protection des droits et des libertés. Mais une certaine méfiance perdure envers l’autorité judicaire > le CSM doit son indépendance au pouvoir politique (PdR pdt du CSM jusqu’en 2008) + réforme de 2008 a accru les membre non magistrat au sein du CSM afin d’éviter

montrent qu'il s'adresse à tout le monde ( financiers, créanciers, magistrat...)Il y a de nombreuses phrases interrogatives , Ubu est dans un jeu de questions/réponses. c-La violence du vocabulaire Le néologisme "bouffre", le champs lexical de la violence " crochet","férocité","massacre","décerveler"...qui connotent une certaine violence du langage qui connote une tyrannie. L'énumération des lignes 108 à 112 des magistrats et une phrase nominale exclamative montrent bien la tyrannie d'Ubu

obéissent à quelques principes fondamentaux qui ont été rappelés par une ordonnance du 8 juin 2006 aux articles L 111-1 et suivants. Principe de séparation des pouvoirs, important au regard du statut du magistrat et en ce qui concerne leur indépendance. Le principe de responsabilité des magistrats, aussi dans ces articles, la notion de droit à être jugé dans un délai raisonnable (origine CEDH), le principes de hiérarchie de juridiction, au 1er et 2nd degré, et il faut ajouter une distinction fondamentale