Magnificat

HOMELIE DU DIMANCHE 11 Décembre 2011 Ce 3ème dimanche de l'Avent est aussi appelé "dimanche de la joie". Cette joie, nous la voyons dans nos rues. Chacun se presse pour trouver paquets-cadeaux et autres, pour ne pas que Noel nous surprenne. Tout cela est beau. Mais ce 3ème dimanche nous invite à faire un pas de plus dans la foi. Il s'agit pour nous de nous réjouir dans le Seigneur. "Soyez toujours dans la joie, priez sans relâche, rendez grâce en toute circonstance." C'est cet appel à la joie

prend en même temps la direction du Collegium Musicum. C'est une période extrêmement fertile sur le plan créatif : Jean-Sébastien BACH compose ses Cantates et ses grands Oratorios, des suites, dont la suite en ré et son célèbre aria, son splendide Magnificat. Comme on peut le constater, Jean-Sébastien BACH n'est pas aux 35 heures ! Il mène une vie riche en connaissances, constituant une bibliothèque spécialisée en bibliologie, théologie et mystique. Sa femme l'aide beaucoup dans sa fonction de Cantor

le premier livre ; d'ailleurs, l'écriture « Sainte », c'est l'ancien et le nouveau testament. Dans cette conception rejetée, le monde n'est plus qu'un grand livre (le « Magnificat » v. 7 ; = magnifier, agrandir), qui se déroule devant nos yeux (« qui se déplie ») et dans lequel est enseigné « la bonne nouvelle ». Le « Magnificat », cantique latin chanté à la fin des vêpres, fait partie des Évangiles (Saint Luc), et l'on trouve du reste au vers 8 la préposition « selon » dans un contexte religieux

"Johannes-Passion" (Passion selon St. Jean) SWV 481, (1666) "Matthäus-Passion" (Passion selon St. Matthieu) SWV 479. (1666) • Schwanengesang" 119. Psalm (119ème Psaume) SWV 482 - 492, (1671) 100. Psalm (100ème Psaume) SWV 493 (1671) "Deutsches Magnificat" (Magnificat allemand) SWV 494. (1671) Heinrich Schütz influencera fortement l’art vocal allemand par sa capacité à mélanger la musique italienne à la musique polyphonique allemande. On retrouvera dans ses compositions l’utilisation des chœurs multiple

de compréhension du corps humain, mais aussi des enluminures religieuses, telles que la Vierge du Magnificat de Botticelli. Cette œuvre se présente sous forme de tondo, tableau circulaire né en Toscane des plateaux à douze côtés. Le tondo est très fréquemment réservé pour des représentations de la Vierge et son enfant, plus particulièrement par Botticelli et ses élèves. La Vierge du Magnificat – Sandro Botticelli Ce tondo de Sandro Botticelli peint en 1481 est exposé à la Galerie des Offices

Un exemple éloquent : celui du tableau circulaire de Sandro BOTTICELLI intitulé La Madone du Magnificat. Le peintre agence dans cette œuvre un harmonieux rythme concentrique graphiquement marqué. Dans la partie centrale, le paysage élargit et développe l’espace ers des lointains lumineux. L’Enfant Jésus tourne son regard vers sa mère et appuie sa main droite sur un livre où apparaît le début du Magnificat ; sa main gauche saisit la pomme grenade, symbole de la richesse spirituelle et de l’amour miséricordieux

UN POÈME MUSICAL, SUR LA MUSIQUE. Les perceptions auditives nous sont suggérées par les instruments de musique : viole, flûte, mandore, harpe dessinent un orchestre Renaissance ; le Magnificat évoque, lui, un chant religieux. Les sonorités du poème « appellent » elles-même la musique : douceur des sifflantes et des fricatives [s] et [f] tout au long du poème, persistance de la rime [an] dans les deux premiers quatrains, reprise en assonance dans les deux derniers : [ange] et [ance], continuité

1991 j'intègre la chorale classique magnificat de la cathédrale de Franceville Gabon à l'âge de 8ans en voix alto jusqu'en 1997et j'ai fait beaucoup des concerts dans la régions avec ma chorale . en même temps j'étais choriste dans un groupe d'animation présidentielle j'ai fait des concerts au Casino la croisette de Libreville Gabon avec mon cousin chanteur qui est en ce moment au conservatoire de Perpignan. 1998- j'intègre la choral classique de Don Bosco de Port-Gentil en voix de Ténor

Passons à présent au Rime et au Vers VERS ET Rythme de la poesie A la fenêtre recélant Le santal vieux qui se dédore De sa viole étincelant Jadis avec flûte ou mandore, Est la Sainte pâle, étalant Le livre vieux qui se déplie Du Magnificat ruisselant Jadis selon vêpre et complie : A ce vitrage d’ostensoir Que frôle une harpe par l’Ange Formée avec son vol du soir Pour la délicate phalange Du doigt, que, sans le vieux santal Ni le vieux livre, elle balance Sur le plumage

d’apoplexie. Se désolant d’« être privé de travailler dans un temps que je ne fais que commencer à connaître les difficultés de mon art », il réussit à se rendre assez habile de la main gauche pour peindre, de cette main, plusieurs toiles dont le Magnificat ou l’Innocence poursuivie par le mensonge et cherchant un refuge dans les bras de la Justice et le plafond du Parlement de Rouen. Plusieurs de ses œuvres sont exposées au musée du Louvre, notamment la Résurrection de Lazare, ainsi qu’au Musée des