Magnitude absolue

suivants, dire si la proposition est vraie ou fausse puis le démontrer. 1) ∃x ∈ R/ sin(x) = x. 2) ∀x ∈ R, x2 + 1 6= 0. 3) ∀x ∈ C, x2 + 1 6= 0. Exercice no 5. 1) Montrer que la fonction sin n’est pas nulle. 2) Montrer que la fonction valeur absolue n’est pas dérivable sur R. Exercice no 6. 1) Montrer que la proposition : « (∃x ∈ R/ cos x = 0) et (∃x ∈ R/ sin x = 0) » est vraie. 2) Montrer que la proposition : « (∃x ∈ R/ cos x = 0 et sin x = 0) est fausse. Exercice no 7. Montrer que √

attribue à la III e et pour cause il fut utilisé durant toute la période où la III e république fut en place. Il sera repris en partie dans la V e république. Celui ci repose évidemment sur le principe de la majorité, le candidat obtenant la majorité absolue des voix que ce soit au premier ou deuxième tour est élu, à noter néanmoins qu'il existe un seuil d'accès pour atteindre le deuxième tour. Critiqué et préféré à la fois il conduit à la mise en place de « majorités stables » par le biais d'alliance

Variations de 1/u . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10 √ Variations de u . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11 3.4 4 La fonction valeur absolue 12 4.1 Définition . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 4.2 Sens de variation – Courbe représentative . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12 1 TABLE DES

Forme trigonométrique des nombres complexes Argument d’un nombre complexe non nul → → • Le plan est rapporté à un repère orthonormé direct (O, − u,− v ). z est un complexe non nul d’image ponctuelle notée M. M(z) On appelle argument de z toute mesure en radian de l’angle −−→ → orienté − u , OM . −−→ → → − u , OM (2π). arg(z) arg(z) = − v • Si θ0 est un argument de z, l’ensemble des arguments de z est → O − u l’ensemble des réels de la forme θ0 + 2kπ, k ∈ Z. z Détermination d’un argument. Si z est

sur l'offre : - primauté de l'individu rationnel - supériorité de l'économie de marché – limitation du rôle de l'Etat (justice, défense, sécurité) Les auteurs classiques (18ième siècle) - Adam SMITH : théorie de la main invisible (+ avantage absolu) - Jean-Baptiste SAY : l'offre crée sa propre demande : les consommateurs utilisant l’intégralité de leur revenu, pour stimuler la croissance, il faut stimuler l’offre. - David RICARDO : spécialisation des Etats dans l'échange : théorie de l’avantage

leur pays. Pour les pays Subsaharien, ces ressources produisent l’essentiel de leurs revenus. B°) Les différences de coûts Adam Smith, en 1776 a énoncé la théorie des avantages absolu en montrant qu’il est intéressant pour un pays de se spécialiser dans les biens pour lesquels ils possèdent un avantage absolu en terme de coût et pour les autres produits, il convient alors de les importer. Selon cette théorie, la production de richesse augmente au niveau mondial et tous les pays en tirent un

la suite se rapprochaient d'une valeur particulière, c'est-à-dire si, à partir d'un certain rang, on était aussi proche que l'on veut de cette valeur particulière. La notion de proximité est liée à une distance qui dans R est définie par la valeur absolue d'une différence, mais cette notion peut se généraliser à tout espace métrique. Plus tard, la notion s'est étendue aux espaces topologiques et « être proche » signifie alors « être dans un voisinage arbitrairement choisi ». Ensuite est intervenue

bénéfices de l'échange. la théorie des avantages absolu. Adam Smith démontre qu'un pays à intérêt à se spécialiser dans les biens pour lesquels il sipose d'un avantage absolu par rapport aux producteurs étrangers. Cela signifie t il que les pays n'ayant aucun avantage absolu sont exclu? la théorie des avantages comparatifs. David Ricardo démontre à l'aide d'un exemple, que les pays n'ayant aucun avantage absolu ont tout de même intérêt à participer aux échanges,

!"#$%&'(')*&+,-.+ + ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! ! Logistique de la Grande Distribution+ + + + BCCD*BCEC! ! "#$%$&'!%(#!)! * +,(#!-.! * /012%!34+5/46! * 72(1#0!"20##0!859/4! * 7(::;!=68! * 2% 444444444444444444444444444444444444444444444444444444444444 44444444444444444444444444444444444444444444?! A4! .B*"9(&)$(')*&+:*9)$')>2%+(/*&'+1%+:(+9"(&1%+1)$'");2')*&444444444444444444444444444444444444444444444444444444444444 4444444?! 64! .(+:*9)$')>2%+(C(:+1%+:(+9"(&1%+1)$'");2')*&

|lieu d’un point dont|[pic] | |(A POSITIF et | | | | |la valeur absolue de|Vertical : | |B, C NÉGATIFS) | |Asymptotes : | | |la différence des |[pic] |