Mahabharata

tous les êtres : dans cette croyance, l'animal est un frère malheureux en vertu d'une loi de justice, et qui ne parle plus le même langage. Ainsi s'explique le rôle considérable de la fable chez les Indiens, surtout dans les livres bouddhiques. Le Mahâbhârata, le Pantcha-tantrâ, le Djataka ou les Naissances et une foule d'autres ouvrages, contiennent bon nombre d'apologues. En Inde, l'apologue se répandit dans le Tibet et la Chine (cf. les Avadanas), en Perse, en Arabie (Calila et Dimna), où Lokman

communs comme le safran et le « oum ». C’est une religion polythéiste comprenant des dieux principaux ainsi que des milliers de dieux les entourant. Les référents communs sont des livres ( de grandes épopées qui influencent la mentalité comme le Mahabharata et le Ramayana ) avec des fêtes qui rappelent les grandes étapes de ces épopées

pesticides résiduels qui sont devenus préoccupants au premier chef. Sans doute depuis que la majorité de nos contemporains a pris conscience des outrages que notre monde a infligés à la Nature. Francis LAGET. CHRONIQUE La « Nature » dans l’épopée du Mahâbhârata, Tome I : la genèse du Monde, par Gilles Schaufelberger et Guy Vincent La Nature se dit prakrti en sanscrit, c’est-à-dire « production, accomplissement » ; le mot provient d’une racine pra-KR-, signifiant « produire, effectuer », mais aussi « épouser

scènes de baisers et même des tenues occidentales pour les actrices (bikinis, mini shorts...). Influences [modifier] On peut trouver six influences majeures ayant contribué à l'élaboration du cinéma de Bollywood : les anciens textes épiques du Mahabharata et du Ramayana, dont la structure narrative (étalonnée en maintes histoires parallèles) est souvent reproduite (Khal Nayak et Gardish en sont des exemples). les anciens drames en sanskrit (Natya Shastra), combinant musique et danse indiennes.

du XVe siècle (Musée Topkapi, Istanbul) Kalîla wa Dimna, édition syrienne de 1534. Le lièvre trompe l'éléphant en lui montrant le reflet de la lune. La fable a connu un succès remarquable en Inde. On en trouve déjà dans la grande épopée du Mahâbhârata, fondatrice de l'hindouisme, ainsi que dans les récits du Jātaka et le Kathâsaritsâgara17, mais la collection la plus importante se trouve dans le Pañchatantra. Originellement rédigé en sanskrit entre -300 et 570 par un brahmane du nom de Pilpay

le Ramayana) ; rien n'est imposé ; selon le Kâma-Sûtra, « on doit se servir du Kâma-Sûtra lorsque la passion est légère, et doit être cultivée, mais lorsque la roue de l'amour tourne, il n'y a plus de règles ni de prescriptions à suivre »... Ainsi, dans le Mahabharata, le Seigneur Krishna épouse Roukmini-Lakshmi, la fille du roi des Vidarbha, et s'installe ensuite dans une vie fastueuse avec ses 16 000 femmes et ses 80 000 enfants. La polygamie est possible chez les Brâhmanes (ceux qui ont le savoir sacré) et

musique et rituels est originaire de la région du Kerala, au sud-ouest de l’Inde. C’est un spectacle ancestral, où chaque geste, chaque mimique est codifié. Le plus souvent, les scènes sont inspirées des deux grands textes épiques indiens : le Mahabharata et le Ramayana. Mais si, à l’origine, le kathakali se jouait toute la nuit, on peut voir dans toute la région des spectacles de 1 ou 2 heures. Un maquillage savant La plupart du temps, on peut assister au maquillage, particulièrement élaboré et

lire. Même aujourd'hui, certains de ces anciennes formes de théâtre d'ombres religieux ont survécu dans le sud de l'Asie, notamment en Inde et en Indonésie. Là, les marionnettes d'ombre effectuer des scènes de grandes épopées religieuses, comme le Mahabharata et le Ramayana. Sur les îles de Java et de Bali, en particulier, le "wayang kulit" comme on l'appelle, est une forme très populaire de divertissement qui été mis au point pour les plus hauts standards artistiques. De l'extérieur de l'Inde et la

7 juillet 1896 par la projection de six courts métrages des frères Lumière à l'hôtel Watson de Bombay. En 1912, Dadasaheb Phalke, que l'on considère comme le père du cinéma indien, tourne le premier film de fiction, Raja Harishchandra, un épisode du Mahâbhârata qui est présenté à la presse et à quelques invités le 21 avril 1913. Le film, que son réalisateur emporte lui-même de village en village, connaît un énorme succès. Vers 1920, l'industrie cinématographique indienne produit une trentaine de films

classique pour agrémenter les actes de divertissement et leur donner un caractère exotique et surtout entraînant. L’asie, autres mœurs, autres danses : La plupart des danses d’Asie du Sud-Est sont d’origine indienne. Elles racontent souvent Le Mahabharata ou Le Ramayana, les deux grands récits fondateurs de le culture indienne. Qu’elles évoquent les divinités ou cherchent à conjurer le mauvais sort, elles sont très codifiées. En Afrique : La danse est essentiel au patrimoine culturel africain